Chapitre 19 - Décision difficile
Le regard émeraude de mon amie se voilà aussitôt de tristesse en réalisant ce que je lui annonçais. Malheureusement, je me devais d'aider les deux ninjas comme je leur avais promis. Même si cela signifiait que je ne les reverrai plus jamais.
Sans dire mot, je me tournais vers les deux intéressés, qui comprirent aussitôt ce qu'il se passait à mon regard brillant.
Au loin, on pouvait voir le soleil commencer à apparaître par-delà la cime des arbres. La nuit s'achevait tranquillement, faisant place à un nouveau jour. Le ciel commençait à prendre des teintes de bleue et de violet, mêlées de tons rosés. Le début d'une nouvelle journée, le début d'une nouvelle terrifiante. L'heure des adieux.
Au prix d'un grand effort, je me relevais pour faire face aux deux personnages qui avaient tant bercés mon enfance et que j'avais eu la chance inespérée de rencontrer et d'apprécier leur personnalité, à la fois si différentes et complémentaires. Je me rappelais encore leur rencontre de chacun, même si l'une m'avait plus marquée que l'autre.
De leur arrivée improbable dans cette grande étendue d'eau. De leur ahurissement quant à ce nouveau monde dont ils ne connaissaient rien. Des liens que nous avions tissés au fur et à mesure des jours, des semaines passés. De nos aventures à tous les trois. De nos soirées passées à rigoler autour d'un bon film, un grand bol de ramen en main et à veiller jusqu'à pas d'heure.
De ces mains qui semblaient moulées aux miennes. De ses doigts qui s'emmêlaient parfaitement aux miens. De ce corps chaud contre lequel je me blottissais tous les soirs. Des douces caresses auxquelles j'avais droit régulièrement, du matin au soir. De ces baisers passionnés qui signifiaient tant pour moi.
Tout ça n'allait bientôt plus représenter que de simples souvenirs qui finiront irrémédiablement par s'altérer au cours du temps. Mêmes les quelques clichés pris de ces précieux instants ne remémoreront qu'une partie de notre complicité, qui pâlirons sous les effets du temps.
Je ne pouvais soutenir le regard triste des deux hommes. Le mien se terminait inexorablement sur le sol alors que des sanglots me gagnaient. Quel minable spectacle je leur offrais ! Mais ma gorge nouée était incapable de prononcer le moindre mot. Naruto affichait un sourire triste, et s'avança vers moi pour m'enlacer avec vigueur. Son torse était secoué de spasmes sous l'effet de son chagrin. Après plusieurs minutes d'accolades, son visage se rembrunit et il s'éloigna pudiquement, nous laissant seul Kakashi et moi-même. Même s'il ne montrait pas autant d'émotions que son élève, ses traits trahissaient son état d'esprit.
- Tu as pris la bonne décision, finit-il par dire. Merci pour ta précieuse aide, sans laquelle nous n'aurions jamais pu être là aujourd'hui. Tu nous as sauvés.
- C'est... C'est rien, fis-je entre deux sanglots.
La main gantée de l'homme se glissa sous mon visage pour me relever le menton, me forçant à soutenir son regard hétérochromes, bien plus brillant que d'habitude.
- J'ai été très heureux de t'avoir rencontrée. Tu es une belle personne, n'en doute jamais. Je penserai à toi toutes les heures, toutes les minutes, toutes les secondes et ce jusqu'à mon dernier souffle. Tu es bien trop précieuse pour que je t'oublie un jour.
Les larmes que je retenais eurent raison de moi et s'écoulèrent par flot de mes yeux embrumés. Ces quelques phrases prononcées par l'argenté m'atteignirent en plein cœur et me touchèrent au plus profond de mon être. Je savais que ma décision serait difficile, mais je n'avais pas imaginé que ça irait jusqu'à déchirer une partie de moi qui ne reviendra probablement jamais.
- Kakashi... Je t'...
Mais il ne me laissa pas le temps de finir ma phrase. À la vitesse de l'éclair, il fondit sur moi pour s'emparer de mes lèvres et les embrasser comme si sa vie en dépendait. Je sentais son désespoir et sa frustration de devoir me laisser ici, dans un monde qui ne me ressemble pas vraiment mais qui a su m'accueillir malgré ma différence. Je sentais qu'il savourait chaque instant de ce contact si intime entre nous, cherchant à s'imprégner du moindre bout de ma personne. Et je lui répondais. A travers mon baiser, je lui disais qu'il était la plus belle personne qui m'ait été donnée de rencontrer. Que je n'avais jamais placé autant de confiance en quelqu'un, et que je n'avais jamais senti quelqu'un me correspondre aussi bien, complétant les morceaux de vide en moi. Mon âme sœur. Que je devais laisser partir pour son bien.
Notre longue étreinte finit par s'achever, me provoquant un pincement au cœur. L'Hatake avait replacé son habituel masque sur le nez et rejoins son élève d'une démarche lourde. Je regardais une dernière fois, à tour de rôle mes deux compagnons. Je savais que je vivais mes derniers instants en leur compagnie.
- Vous allez me manquer. Beaucoup trop. Prononçai-je d'une voix tremblante.
- Toi aussi, (T/p) me répondit Naruto avec autant d'émotion que moi.
- Je ne vous oublierai jamais.
- Nous non plus, conclut Kakashi. Tu auras toujours une place dans mon cœur.
Je ravalai difficilement ma salive, tachant de me concentrer sur la tâche qui m'incombait. Je répétais une à une les étapes que j'avais effectuées il y a peu, me focalisant cette fois-ci sur le village de Konoha. Je me remémorais la maison du Hokage, les rues adjacentes et les petites habitations le long des routes. Je revoyais l'académie où Naruto avait eu du mal à faire ses débuts, avec la balançoire où il avait passé des heures à ressasser sa peine. Je revoyais Ichiraku et ses ramens dégustés à longueur de temps par Naruto et ses amis. Et lorsque je rouvris les yeux, ils n'étaient plus là.
Mes jambes faillirent, et je me laissais tomber au sol envahie par la peine insupportable qui m'envahissait. Même le soutien de ma meilleure amie ne pouvait consoler mon cœur déchiré en miettes.
***
Je tournais et retournais sans relâche dans mon lit. Mon corps épuisé était à l'opposé total de mon esprit qui fulminait.
Avais-je pris la bonne décision ? Avais-je bien fait de privilégier un endroit où j'avais des personnes qui m'aimaient mais dont aucune n'appartenait véritablement à ma famille ? Était-ce la vie que je souhaitais au fond de moi ?
Résignée, je finis par me lever pour aller me servir un verre d'eau dans la cuisine. Il faisait encore jour. Étant donné que je m'étais jetée sur mon lit dès mon arrivée chez moi, je n'avais pas dû dormir très longtemps, si l'on pouvait qualifier mon agitation ainsi. Il faut dire que tout me rappelait la présence des deux shinobis. Tout, jusqu'à l'odeur si particulière et agréable de l'argenté qui avait imprégnée mes draps, m'apportant à la fois un sentiment de réconfort, rattrapé par un sentiment de manque inconsolable. Alors que je buvais doucement le liquide, mon regard se perdit dans le vide. Même en essayant de rationnaliser, de me dire que tout finira par rentrer dans l'ordre, j'avais l'impression d'entendre un mensonge. J'avais la sensation que je ne pourrai jamais vivre comment avant, comme si rien ne s'était passé en l'espace d'à peine quelques mois. Oui, j'avais l'intime conviction que maintenant que j'avais conscience de ma véritable identité, je ne me reconnaissais plus dans le monde contemporain. Et si je n'étais pas destinée à vivre une vie normale, en continuant mes études de médecine comme je l'avais prévu ? Et si j'étais plutôt faite pour défendre mes valeurs, et celle de ma patrie ? Après tout, j'avais déjà fait mes preuves quelques heures auparavant. Et surtout, avais-je une autre solution pour me sentir à nouveau moi ? C'était peu probable.
En toute hâte, je rassemblais le maximum d'affaires dans un sac à dos. Vêtements, affaires de toilette, photos, presque tout y passait. Je réussi à fermer le contenant tant bien que mal, et posai ce dernier devant la porte d'entrée.
Ensuite, je pris une feuille blanche et un stylo avant de m'installer sur le bureau de ma chambre. Je réfléchis longuement à ce que je pourrai écrire. Par où commencer ? Comment annoncer cette nouvelle, si inattendue ? Finalement, je décidais de laisser libre court à mon esprit et de laisser ma main transcrire tout ce qui me venait en tête. Je me relisais longuement, effectuant de temps à autres des corrections ou rajoutant des détails. Une dernière lecture me confirma que j'étais entièrement satisfaite de ce que je venais d'écrire. J'agrippai fébrilement une enveloppe qui trainait sur mon bureau et glissais la feuille de papier à l'intérieur. Je pris une profonde inspiration et je partis en direction de la maison de Lucy. En effet, une longue discussion nous attendait, au bout de laquelle je lui demanderai un service que je savais difficile.
Je me retrouvai devant la porte de sa maison bien plus rapidement que je ne l'aurai voulu. Je pris une profonde inspiration avant d'appuyer sur la sonnerie qui entama aussitôt une mélodie caractéristique. La porte s'ouvrit aussitôt sur mon amie aux traits tirés mais qui ne semblait pas sortir de ses songes.
- Tu ne devais pas dormir ? S'étonna-t-elle en reluquant mon accoutrement.
- J'ai changé d'avis, l'informai-je. Est-ce qu'on peut parler ?
- Bien sûr, dit-elle en se poussant pour me laisser passer.
Je retirais promptement mes chaussures et m'assis sur le canapé en tailleur, comme j'avais l'habitude de faire à chaque fois que je venais chez mon amie. En attendant qu'elle s'installe à son tour, je me triturais nerveusement les manches, touchant régulièrement la précieuse lettre que j'avais posée à côté de moi.
- Ça va (T/P) ? S'inquiéta la rousse. Je ne t'ai jamais vue aussi nerveuse.
- Je le suis, lui confirmai-je de but en blanc. Mais ça va, ne t'en fais pas.
Elle arqua un sourcil en s'asseyant, mais resta silencieuse.
- Tu veux me raconter ce qu'il s'est passé, c'est ça ? Devina mon amie.
- Oui.
Et c'est ce que je fis. Je lui appris comment j'avais rencontré Kakashi et Naruto. Comment nos relations avaient évolué, en particulier celle avec l'Hatake. Ce que nous avions progressivement appris, sur eux, sur moi. Les yeux de Lucy s'écarquillèrent aussitôt alors que je lui révélais ma véritable généalogie.
- Mais... Ce n'est pas possible ! On est amies depuis notre tendre enfance.
- Et pourtant... Les faits sont là. Jamais je n'aurais pu créer de portail si je n'avais pas de lien direct avec les shinobi.
Mon amie hocha doucement la tête, assimilant tant bien que mal la nouvelle.
- C'est vrai qu'après réflexion, d'un point de vue physique, tu ne ressemblais pas vraiment à tes parents. Inconsciemment, j'avais toujours mis ça sur le compte de la génétique et des surprises qu'elle peut faire.
- Et ça peut se comprendre. D'un côté je comprends qu'ils aient gardé le secret pour me protéger de cette horrible sensation de ne pas appartenir à une famille. Mais d'un autre, je me suis sentie affreusement trahie par les personnes auxquelles j'avais le plus confiance...
- Cela a dû une sacrée épreuve pour toi. Je suis navrée de ne pas avoir été suffisamment présente pour toi.
- Arrête de t'excuser voyons ! Et d'ailleurs, comment tu vas toi ? Ton quotidien ne devait pas être évident avec Obito...
- Je n'ai été son otage que quelques jours, m'appris la rouquine. Et, malgré son caractère spécial, j'étais bien traitée, ne t'en fais pas. Je ne sais pas comment l'expliquer mais il était juste bizarre... Pas vraiment méchant. J'avais l'impression qu'il avait plus besoin de ma personne pour avoir une compagnie que vraiment pour se servir de moi.
Je secouais négativement la tête, connaissant bien le caractère de ce fameux personnage.
- Il a certainement dû trouver son compte autrement. Après tout, tu es ma meilleure amie et il se doutait bien que tu détenais en toi des précieuses informations.
- Je ne lui ai rien dit, je te jure ! Se défendit aussitôt Lucy.
- Et je te crois, la rassurai-je aussitôt d'une voix apaisée. Néanmoins, cela ne l'a pas empêché de tirer des informations sur moi si tu veux mon avis. Il cherchait avant tout à savoir le maximum de choses sur moi pour savoir si je pouvais l'intéresser. Comme savoir si je n'avais pas manifesté de signes paranormal lors de notre enfance.
- Oh.
Le visage de mon amie blêmi aussitôt.
- Rassure-toi fis-je en balayant l'air de ma main. C'est du passé, c'est fini.
- Mh...
Je marquai un silence de plusieurs minutes avant de poursuivre.
- Maintenant que tu sais tout... J'ai besoin de toi pour un service s'il te plaît.
- Oui, lequel ?
- J'ai besoin que tu donnes cette enveloppe à mes parents... S'il te plaît.
Le regard émeraude de mon amie se posa aussitôt sur moi pour me sonder.
- Puis-je savoir de quoi il s'agit ?
- C'est une simple lettre. Tu peux la lire si tu veux, ce sera plus simple...
Sceptique, Lucy pris délicatement l'enveloppe et l'ouvrit pour en sortir le contenu. Elle s'éclaircit la gorge, avant de lire avec attention :
Chers Papa et Maman,
Aujourd'hui, j'écris ces mots avec un poids immense sur le cœur, car il est temps que je partage avec vous les émotions complexes qui m'ont poussée à prendre une décision difficile.
Tout d'abord, je tiens à vous rappeler à quel point je vous aime. Votre amour a été le phare qui a guidé chaque étape de ma vie, chaque sourire et chaque étreinte ont été la source de mon bonheur. Vous avez été mes piliers, mes confidents, les personnes en qui j'ai toujours trouvé refuge, et je ne peux pas exprimer à quel point je vous suis reconnaissante.
Pourtant, il y a cette vérité, cette révélation qui a secoué les fondations de mon existence. J'ai récemment appris que je n'étais pas votre fille biologique et que vous m'aviez adoptée. Cette nouvelle m'a frappée comme un coup de massue et m'a laissée désemparée et perdue. Je me demande pourquoi vous avez gardé ce secret si longtemps, pourquoi vous ne m'avez pas dit la vérité malgré l'amour que vous me portez.
Je ne peux pas vous cacher que cette nouvelle a fait naître en moi un tourbillon d'émotions, une véritable tempête intérieure. J'ai ressenti de la trahison, de la colère, de la douleur, et je me suis sentie déchirée entre la confiance que j'avais placée en vous et la réalité qui me semblait soudainement incertaine. J'ai été furieuse contre vous pour ne pas m'avoir dit la vérité, pour avoir gardé cette part de mon identité cachée. J'étais furieuse contre moi-même pour ne pas avoir vu les indices, d'avoir été si naïve.
Mais j'ai réfléchi depuis plusieurs jours. Malgré tout cela, et malgré les émotions qui m'ont traversée, je tiens à ce que vous sachiez que mon amour pour vous reste inébranlable. Vous êtes ma famille, les personnes qui m'ont aimée, élevée, soutenue, et cela ne changera jamais.
C'est pourquoi ma décision de partir est si déchirante. Je pars, je quitte ce deuxième monde que nous avons partagé, pour un avenir incertain. Cette décision a été le résultat d'un choix cornélien, une bataille intérieure entre mon amour pour vous et ma quête de vérité. En effet, j'ai appris que j'appartenais à un autre monde, d'une toute autre sorte, où les habitants vivent différemment de nous. Un monde dans lequel je me suis instinctivement reconnue depuis ma plus tendre enfance.
Je veux que vous compreniez que ce départ n'est pas un rejet de vous, ni un reniement de notre lien. C'est, comme je vous l'ai dit, une nécessité pour moi, afin de comprendre qui je suis vraiment, pour résoudre les questions qui me hantent, pour trouver la paix intérieure. Et par-dessus tout, retrouver les miens, particulièrement ceux avec qui j'ai développé des liens extrêmement forts et à qui je confierai ma vie entière sans hésitation s'il le fallait.
Je sais que cela vous attristera, et cela me déchire profondément d'être le cause de votre peine. Mais je veux que vous sachiez que je vous aime toujours de tout mon cœur, que votre amour continuera de briller comme une étoile dans ma vie, où que je sois.
Je penserai à vous tous les jours qui passent.
Avec tout mon amour,
(T/p)
À la fin de sa lecture, mon amie renifla avant de soutenir mon regard, les yeux brillants.
- Tu es sûre de toi... ? As-tu conscience que nous ne nous reverrons plus jamais ? Es-tu prête à laisser notre amitié derrière toi ?
Le ton de Lucy n'était pas véhément. Elle cherchait simplement à savoir si je n'allais pas finir par regretter une décision aussi radicale.
- Oui j'en suis sûre. Je sais que c'est là-bas que j'appartiens. Tu vas me manquer fortement, je ne te le fais pas dire. Mais malgré tout, je sens que ma place est là-bas.
- Dans ce cas, fonce, sourit tristement la rousse. Va retrouver l'amour de ta vie, et ton précieux ami Naruto.
Reconnaissante, je couru en la direction de ma plus grande confidente pour la serrer dans mes bras. Je respirais à grand poumon son odeur de vanille qui l'accompagnait depuis toujours. Elle allait cruellement me manquer. Mais j'avais fait là mon choix définitif, et je me devais de l'honorer. Je n'avais pas la force d'affronter mes parents, laissant cette lourde tâche à la fille qui me connaissait encore mieux qu'eux, encore mieux que moi-même. Une personne en or comme il n'en existe peu sur Terre.
- Prends soin de toi, lui dis-je dans une dernière accolade.
- Toi aussi, (T/p). Éclate-toi dans cette nouvelle vie. Et ne m'oublie pas s'il te plaît.
- Comment le pourrai-je ? Répondis-je d'un sourire amusé. Oublier une fille comme toi relève de l'impossible !
- C'est pas faux, sourit-elle en me rendant la pareille. Allez, file jeune fille, tu as mieux à faire !
Après un dernier au revoir, je couru en direction d'un endroit que je voulais voir une dernière fois. Là où tout avait commencé... Et où tout allait finir. Comme un pied de nez au destin, je réitérais à nouveau et pour la dernière fois ici, le portail qui allait m'emmener au pied de mes racines.
J'atterris sur une surface moelleuse, qui amortir ma chute sans difficulté. Mes yeux eurent du mal à s'adapter à la forte luminosité environnante, mais je reconnus rapidement les lieux. Le cœur battant, je me dirigeais à toute hâte vers des silhouettes lointaines mais reconnaissables entre mille. Les guerriers aguerris sentirent rapidement une présence, et se tournèrent aussitôt prêts à un éventuel affrontement. Leurs yeux s'écarquillèrent à l'instar où ils me reconnurent.
-Bonjour et enchantée, cantonnai-je gaiement devant leur mine abasourdie. Je m'appelle Kagome et je suis nouvelle à Konoha.
***
Et voilà, c'est ainsi que se clôture cette histoire ! 🤗
J'ai essayé de la rendre la moins terne possible, en incluant quelques rebondissements, notamment sur la fin. 🫠
N'hésitez pas à me faire un retour si vous en avez l'envie bien sûr, je serai ravie de les lire et de savoir ce que vous avez pensé de mon travail ! 👌
Si vous voulez en savoir un peu plus sur ce que je prévois prochainement... Eh bien, j'ai bien envie d'écrire une love story toute simple, mais pas sur la thématique de la fanfiction ! Je sais que ça va en décevoir certain.e.s mais pour le moment j'ai l'impression d'avoir fait un peu le tour avec Kakashi. Bien sûr, d'autres idées peuvent me venir d'ici là, et ça sera certainement le cas, mais j'ai envie de m'essayer à d'autres exercices et voir ce que ça donne si je tente de nouvelles choses... 😝
En attendant, n'hésitez pas à faire un tour sur mon profil, peut être qu'il y a des histoires qui vous intéresseront ou qui sait, que vous aurez envie de relire ! N'hésitez pas également à vous abonner pour être tenu.e.s informé.e.s de mes actualités ! 😎
A très vite ! 👋🫡
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