Chapitre 1
PDV (pointde vue) serra en gras et souligné
Paroles seront en gras
Pensées sont en italiques
Autre serra noté normalement
~💣💥~
PDV Izuku :
La vie n'a jamais été complètement rose ou noir.
Dans la vie, il y a souvent des hauts et des bas.
Dans la vie, chacun à tout les jours une nouvelle épreuve à surmonter.
La vie est loin d'être simple, mais il faut s'y accrocher coûte que coûte.
On peut en douter, espérer, prier, se lamenter, regretter, s'excuser à tout va...
Mais tout cela ne sert strictement à rien.
La vérité de la vie nous reviendra toujours de plein fouet, tel un boomerang.
Ça, on y peut absolument rien...
C'est triste, dure, insoutenable, regrettable, mais loin d'être insurmontable, au contraire.
C'est ce que je vis au quotidien avec ma mère.
Mais malgré tout ce grabuge, nous sommes heureux.
Nous nous soutenions et nous entraidions tout les jours et cela depuis déjà 13 longues années.
__________
Le tintement aiguë de la petite clochette, accrochée en haut de la porte d'entrée de notre épicerie résonna. Cela signiait chaque entrée et sortie d'un client. Je releuva la tête, apercevant une vielle dame se tenir dans l'encadrure de la porte vitrée de notre boutique.
Je déposa le ver, que je tenais entre mes mains, dans l'étagère conçue à cette effigie. Je me déporta en direction de notre cliente. Je dégaina un grand sourire, le plus doux possible, tout en saluant énergiquement la grand-mère de la main.
- Bonjour madame Keisuke !
- Bonjour Izuku, c'est un réel plaisir de te revoir.
- Non, tout le plaisir est pour moi !
Je la delesta de son vieux châle turquoise et je la guida jusqu'à sa table "dédiée", en tant que cliente régulière. Je m'arama habillement d'un stylo et de mon petit calpin à feuilles blanches pour prendre sa commande.
- Un café.
- Double, simple, concentré, dk, allongé ?
- Un allongé s'il te plaît Izuku.
Je griffonna quelques mots clefs pour être plus efficace. Je me courba en avant, la saluant avant de retourner en cuisine. Dès que je franchis le seuil de la porte menant à la cuisine, une douce odeur de café moulu me parvient jusqu'aux narines.
Je contourna le plan de travail, me dirigeant aux côtés de ma tendre mère. Arrivé à sa hauteur, je l'enlassa par derrière, la faisant légèrement sursauter. La verte fit volte face, posant délicatement ces deux mains chaudes sur mes joues.
- Izu, tu m'as fais peur mon trésor.
- Oups, désolé maman, mais je voulais te transmettre cette commande.
- Merci mon chéri !
Suite à mes paroles, j'arracha la feuille d'un revers de main, puis la lui tendit. Elle m'embrassa la joue dans un bref claquement sonore avant de se détourner et de se remettre aux fournos.
Je quitta d'un pas lent la cuisine, m'orientant cette fois-ci en direction d'un chocolat chaude et d'un croissant tout juste prêt à être servis. Je pris la commande à l'aide d'un plateau en bois lisse de châtaigner et je retourna au réfectoire.
En chemin, mon regard feuilta alternativement chaque tables, vérifiant qu'aucun client ne désirait d'avantage. Satisfait du milieu paisible m'entourant, je me reconcentra brievement sur le plateau.
Je decolla précotionneusement le postite jaune fluot du bois, ou dessus y était inscrit le numéro de la table associé à cette commande.
Table n°13.
Je couina, froissant le bout de papier de couleur vive. Cette table je ne l'aimais guère. Elle portait en tout cas bien son numéro. "13", ce nombre était destiné au malheur, faisant trembler la plus part et même la faisant maudire par d'autre.
Mon regard vert menthe se posa avec discrétion sur l'homme assis à cette fameuse table, comme à son habitude. Je deglutis difficilement tout en admirant sa silhouette. Ce cendré est assez curieux, je n'arrive pas à le cerner complètement. Il m'effraie, me déstabilise, me paralyse même par fois.
Allé, je lui déposé simplement sa commande et je repars rapidement...
Je me mordis la lèvre inférieure. Pourquoi fallait-il que face à cet homme, je perde tout mes moyens ? Et sa au point de ne plus réussir à formuler la moindre phrase sans bégayer.
J'expira une bonne fois pour toute, m'élancant presque d'un pas indécis. Ayant dû mal à aligner deux pas, je ralentis. Une fois arrivé à sa hauteur, je l'interpella, la voix tremblante, traduisant mon stresse.
- Voi-ci ta c-ommande B-akugo.
Le jeune agent immobilier se retourna vers moi, lâchant à moitié la paysage a travers la fenêtre du regard. Je compris rapidement su'il cherchait à m'intimider. Cherchant sans relâche a s'accaparer mon attention tentant en vain de croiser mon regard.
- Oï Deku !
J'octa de surprise, n'appréciant clairement pas le surnom qu'il venait d'utiliser à mon égard. "Deku" comme il aime m'appeler signifit "bon à rien". Je ne suis pas un bon à rien, je travail dure, tout les jours, sans jamais réellement penser à autre chose.
- Regarde moi Deku !
Je préféra m'abstenir, je n'ai pas à lui obéir, je ne lui dois absolument rien. Pourtant, quelque chose au fond de moi souhaiterait que je nois mes iris dans les siennes chaque secondes. Je refuse catégoriquement de paraît faible face à lui, c'est un ennemi.
Il veut détruire ma raison de vivre, ma boulangerie à la qu'elle je tient tant. Je déposa son casse croûte ainsi que sa boisson chaude devant lui, faisant mine de rien. Ce dernier s'exaspéra, j'avais oublié qu'il etait facilement irritable...
- Tu es sourd ? Ou peut être muet ?
Je secoua négativement la tête de gauche à droite. Ma température corporelle fit un bon quand il me se dit fermement le poignet. Je chassa rapidement des images malsaine de mes pensées. Là, je n' eu d'autre choix que de répliquer le plus posément possible.
- La-ches moi...
- Essayerais-tu d'éviter mon regard ? Pourtant tout à l'heure, tu ne t'es pas gêné pour me relooker.
Je pria pour ne pas qu'il remarque les rougeurs sui ornaient a présent le haut de mes pommettes. Je fis signe que "non" de nouveau de la tête. Tentant de nier l'evident, même de mon point du vue. Oui je le regardais, mais non je ne le marais pas.
Au même moment, une voix féminine m'interpella à l'entrée, me sauvant de justèce. Sans elle je serrais peut etre mort de honte. Je me retourna, étonnée, en direction de la jeune de la jeune femme brune.
-Izuku, on pourrait aller parler dehors ?
- Ochaco ? Oui, j'arrive.
__________
Un legé vent frais vint se fréer un chemin jusqu'à moi. Tout deux assis sur un banc, personne n'osait briser le silence pesant, assez étonnant venu d'Ochaco. Je forts énergiquement mes mains entre elles, tentant de les réchauffer.
Je pouvais sentir que la brune, à ma droite, était tendue. Ce n'était pas de ces habitudes de venir me rendre visite en pleine heure de travaille, alors qu'elle était elle aussi sensée travailler en tant que avocate. Alors si c'etait le cas, cela devait être très important.
- Écoutes Izuku...
Je me redressa le long des planches peintent de vert. Je la vie du coin de l'oeil serrer son manteau, froissant le tissus coûteux. Elle me fit enfin face, le nez rougis par le froid et le regard mal à l'aise.
- Je voudrais rompre avec toi...
- Pourquoi ?
- Notre couple ne fonctionne pas... enfin plus.
- Je vois.
Ochaco et moi sortons ensemble depuis la fac, c'est à dire trois ans et demi. Mais en toute cette longue période, aucun de nous deux n'avait jamais évoqué le moindre problème dans notre couple.
Pour cause, je ne parvenais pas a comprendre cette decision si soudaine. Elle se mit à me fixer, toute sanglotante. La brune m'attrapa les mains tout en renifflant. Elle finit par me questionner d'une voix remplie d'amertume et a la fois brisée.
- Je te répugne ?
- Quoi ? Pourquoi me demandes-tu sa ?
- En trois ans de relation tu n'as jamais, ne ceresse que prit ma main...
- Désolé.
J'avoue ne pas savoir quoi répondre à ce moment prédit mise à par cette minable et petite excuse. Ochaco lâcha mes mains, ne parraissant guère apprécier ma réponse à sa question. Elle finit par marmoner tout en ce relevant et en epoustant son manteau en cuir.
- Le pire c'est que tu n'essaie même pas de m'en dissuader. M'as-tu aimée ne serait-ce qu'une seule fois ?
Je resta là, immobile, ne voulant pas lui causer d'avantage de peine. La vérité est que je ne suis jamais tombé amoureux de personne. Si j'ai accepté ces avances s'est simplement parce que je la trouvais jolie et gentille, rien de plus.
- Je prends donc ton silence pour un "non". Mais qu'est-ce qu'est devenu l'Izuku qui a fait battre mon coeur il est à trois ans ?
- Vraiment désolé Ochaco...
- Ça ne sert plus à rien de t'excuser maintenant, ma décision est prise. Adieu !
Elle enfouit sa tête dand son écharpe faite de laine, cette écharpe, c'est moi qui le lui avait offert pour son anniversaire et fit demi-tour, disparaissant au coin de la rue. Je suis vraiment horrible, je ne suis qu'un monstre au coeur de pierre. Le pire s'est que notre séparation me laisse près au indifférent.
Elle méritait tellement mieux que moi...
Je finis par me relever à mon tour, ne sentant plus mes doigts ni même mes orteilles, engourdient par le froid. Cette rupture aurait vraiment dut m'affecter, mais ce n'était pas du tout le cas. Le pourquoi du comment m'était encore inexplicable pour le moment, mais je comptais bien le découvrir.
Je remonta lentement les marchés givrées menant à l'épicerie, chassant d'un revers de pieds la neige sur ces dernières. Entrant de nouveau dans le salon commun, je me delesta de mon bonnet et de mon manteau.
Pour mon plus grand plaisir, je pus constater que la place ou se trouvait le blond était à présent vide. Je pris place du côté fenêtre. Je colla ma joue contre le ver gelé de la grande fenêtre. Me laissant m'affaisser, je me detendis, laissant mes nombreuses pensees divaguer.
Pourquoi Ochaco ne m'a t'elle jamais attiré ? Pourquoi aucune fille ne m'a jamais attiré ? C'est étrange... À moins que !
Je pensais connaître la réponse, mais j'etait loin d'en être persuadé. Cette réponse, enfin plutôt cette hypothèse m'effraie, mais je me devais de la vérifier. D'en être sur, même si je savais que j'allais très certainement le regretter par la suite.
Mais comme le dit le proverbe, "qui ne tente rien n'a rien".
__________
Mon coeur tembourinait a vive allure dans ma poitrine. L'aire glaciale vint se mêler à mon souffle pesant et irrégulier, descendant jusqu'à mes poumons. Je ne pouvais m'empêcher mon corp de trembler, non dut à la saison, mais plutôt dut à la panique. Je déchiffra en puissant les yeux le nom et puis le slogan du bar devant le quel je me trouvait, me laissant mal à l'aise.
"ゲイバー"
"Bar gay..."
"1 つは失くし、もう 1 つは見つけて最高の夜を過ごしました"
"Un de perdu, un de retrouvé pour l'une des meilleurs nuits..."
Tout mon être me hurlait de rebrousser chemin, mais je n'en avais plus la force. Je voulais avoir le coeur net surce que je ressentais au quotidien. Surtout sur mon orientation sexuel, car apparement je n'étais pas hétéro ou pas que en tout cas. J'empoigna la poignée, la basculant et deverouillant le mécanisme.
À peine ai-je passé le pas de la porte que de vives lumières violettes et roujoyantes vinrent m'eblouir. Un song puissant et raissonnant se freya un chemin jusqu'a mes timpents. Une at ta odeur de cigarette et d'alcool pénétrames narines.
Bordel...
Je deglutis avec beaucoup de difficulté. Apercevant un petit coin tranquille dans un bar a l'écart, je décida de m'y aventurer. Je me foffila parmis la foule, que des hommes entre 17 et 45 ans. À de nombreuses reprises on me sifflota, m'attrapa, m'agrippa, m'interppella, mais je n'y porta aucune attention, me dégageant simplement.
Une fois arrivé à bon port, je m'installa sur l'un des nombreux tabourets tournant disposés à part et d'autre du comptoir. Je soupira bruyamment tout en me massant les tempes. Mais quelle idée de venu ici sérieusement.
- Tient, sa fait du bien de voir une nouvelle tete. Je te sers quoi ?
Je sursauta, me redressant activement, reprenant une posture droite. Je fixa quelques secondes le beau barman qui venait tout juste de s'adresser à moi. Il portait des cheveux rouges braise tenus par un bandana noir cendre. Sa tenue quant à elle était simple, mais lui allait à la perfection.
- Alors tu veux boir quoi ?
- Oh euuuuh... de l'eau.
- De l'eau ?
- Oui s'il te plaît.
- Si tu veux de l'eau fraîche, tu en trouvera dans les WC. Ici je ne sers que des boissons alcoolisées, désolé.
Je me sentis rougir de honte. Je m'attendais à quoi sérieusement ? Je suis dans un bar de rencontre pour homme "majeur". Je me remotiva intérieurement, je n'avais plus e ans, j'en ai 22 et même bientôt 23. Je me corrigea timidement.
- Bon alors un petit cocktail légèrement alcoolisé.
- Ok, je te fais sa le nouveau !
La barman s'empara habilement de plusieurs bouteilles, les vidant dans un tchequeur, puis il secoua le tout en sifflotant un air qui m'était inconnu. Il ne lui fallut pas longtemps pour m'apporter un cocktail fumant. J'écarquilla les yeux, impressionné et z la fois envoûté par l'apparence de la boisson.
- Voilà pour toi !
- Je paye comment ?
- Le premier cocktail est offert pour les nouveaux.
- Oh ! Merci.
Je lui lança un sourire reconnaissant avant de finalement porter la coupe en ver à mes lèvres. Je bus une première gorgée, le regrettant presque instantanément. Je toussota, puis grimassa, l'alcool me brûlant la gorge.
Je n'avais jamais vraiment consommé ne serrais-ce la moindre goutte d'alcool et cela devait se voir vu comme le rouge se retenu du mieux que possible de rigoler. Je me grata péniblement l'arrière de la tête, ne sachant pas quoi faire d'autre.
Le jeune homme aux cheveux de braises me tendit amicalement sa main droite tout en me souriant brièvement. Je lui serra en retour poliment la main, encore legerement embarrassé. Ce dernier se présenta d'une traite à moi.
- Eijiro Kirishima !
- Izuku Midoriya, enchanté !
- Tu sais, tu n'as pas besoin d'être aussi formel avec moi Midoriya.
__________
PDV Katsuki :
Je me leva enfin du siège, peut confortable tout en descendant du taxi, épuisé. Quoi de mieux qu'aller boir un ver un soir aussis moche, pourrit et deplaisant. Je lança quelques billets comme pourboir au conducteur qui se jeta presque dessus, tel un vautour sur un lapin. Je poussa la lourde porte rouillé du petit bar.
Rejoignant mon coin, je pouvais sentir de nombreux regards me transpercer la dos, étonnés qu'un type aussi riche vienne dans ce type de dépotoir. J'alla machinalement m'asseoir au comptoir comme à mon habitude. Enfin sa l'aurait été si quelqu'un n'y était pas déjà. Je sentis les traités de mon visage se rendre, du a l'accumulation excessive de rage.
C'est MA place !
Je choppa l'épaule du geneur avec force et désinvolture. Je reserra chaques secondes de plus en plus ma poigne, le contraignant à me laisser cette place. Tête d'enclume débarqua au même moment, se précipitant dans ma direction.
Il veut quoi lui ?!
- Kat's lâche Midoriya tout de suite !
- Deku ?!
Je posa mon regard sur la petite touffe de cheveux verts qui se tenait sur mon tabouret. Le buisson se retourna progressivement, me faisant face. Je deglutis en croisant son regard émeraude. Ses joues routiers par l'alcool et parsemées de taches de rousseurs lui procurait un certain charme bien à lui.
- K-katsu-ki ?
Tient, je n'ai aucun souvenir de l'avoir autorisé à m'appeler par mon prénom.
Je poussa un long soupir, lâchant l'affaire et prenant frontalement place a côté du vert. Kirishima vint me servir une bière blonde comme à mon habitude. Lappant la mousse avec ma langue, je pus remarquer le regard persan du nerde sur moi. Aimant me délecter de son air innocent et désireux, le rendant complètement désemparé, je décida de le questionner d'une voix suave.
- Qu'est-ce que tu fabriques ici ?
- Je... p-pour réfléchir...
- Ouais et de quoi ?
- De mon... orientation...
J'écarquilla les yeux, surpris par sa seconde réponses. Il est vraiment bizarre ce soir. Depuis quand il se pose des questions comme ça le puceau ? Depuis qu'il est sortit dehors cet après-midi avec le crâne d'oeuf pour soit disant "parler".
Je le vis du coin de l'œil engloutir dune traite le reste de son cocktail. Tout s'explique à présent. Il n'est pas bizarre, enfin pas plus que d'habitude, il a simplement un peut trop bu.
Je me redressa sur le tabouret tournant. Je porta la chope à mes lèvres, ingurgitant son comptenu. J'essuya le tour de ma bouche avec ma langue sous le regard ardente du buisson. Il est vraiment chelou. Je questionna tête de cailloux d'une voix grave malgré moi.
- Tu lui as fait boir quoi au nain ?
- Le cocktail le moins alcoolisé que je sache faire.
- Tu en es sûr ?!
- Oui, calme toi mec.
- Tch !
Alors il ne tient vraiment pas l'alcool, quel amateur...
Soudainement, la petite voix du brocolis s'éleva au dessus de la musique. Sa voix était neutre, mais refermait tout de même une pointe de culpabilité. Son regard était plongé avec insistance dans son ver vide. Il devait sûrement chercher ses mots. Puis sans prendre garde, il lâcha une bombe.
- Ma copine ma quitté aujourd'hui...
Mes poings se contractèrent automatiquement. Alors il etait bel et bien en couple avec cette foutue nana de pacotille ?! Rien que cette simple affirmation avait réussit à m'agacer. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Je grinça rageusement des dents, évacuant ainsi ma forte envie de refaire le portait de cette sale garce.
De son côté, la nain demanda un seconde cocktail au rouge. Tête de cailloux m'adressa un regard dubitatif, voulant mon accord pour lui servir un autre ver. Je detourna simplement le regard, lui faisant comprendre que je m'en contre fichai.
Ce dernier poussa un long soupir avant d'accéder à la demande de ce stupide nerde de mes deux. Deku ne mit guère longtemps avant d'entamer la suite de son monologue, le visage rougit et alourdit par l'alcool.
- Je suis venu ici dans l'espoir d'avoir des réponses. Pour savoir ce que je désir réellement. Mon ex, je ne l'ai jamais vraiment aimé, enfin pas en amour... Je crois que j'ai eu tore en pensant être hétéro, d'où ma venue ici.
J'arqua un sourire moquer et remplit de dédain face à ces dires. Il est encore plus idiot que je ne me l'étais imaginé. Je termina ma chope de bière blonde et amère et je me leva, reajustant mon manteau en cuir sombre. Je déposa un gros billet sur le comptoir.
- Tient, garde la monnaie tête d'ortie !
- Okay, merci mec.
Je lança un regard méprisant au vert qui ne se laissa laissa de me déshabiller du regard. Ses yeux de couleur concombre parcouraient chaques parcelles de mon visage, puis redescendaient sur la haut de ma chemise entre-ouverte. Je me sentis me tendre, nef plutot quelque chose en moi se tendre.
Fait chier !
Je tape tape pied, sa bouille si innocente était affreusement craquante je devais bien l'admettre. Je me detourna, face a la porte de sortie dissimulée derrière la foule. Mais je me sentais étrangement coupable de le laisser seul ici sachant que n'importe qui pourrait lever la main sur lui.
Je fis donc demi-tour, me redirigeant vers "ma" place. Eijiro me regarda faire, un sourire moqueur collé au visage, haussant les sourcils. Je l'ignora, venant me planter fermement devant le plus jeune. Ce dernier releva la tete dans ma direction, surprit.
- Oï Deku, ramènes toi !
- Moi ?
- Non le tabouret, débile !
- Il sait bouger ?
Le vert se leva, examinant le siège avec intérêt. Il fit quels tour autour de l'objet pendant que je me passais vigoureusement les tempes, agacé. J'espère J'espère J'espère l'alcool qu' lui fait dire sa et qu'il ne le pense pas vraiment.
- Je te parle à toi Deku !
- Ah bah faudrait savoir...
- Tch ! Dépêches !
Le nain tituba malgré lui jusqu'à moi, venant s'agripper à mon haut pour ne pas tomber. Je ne sais la où il habite, mais le chemin risque d'être long. Réfléchissant rapidement à m'adapter a cette situation défavorable, je ferma les yeux pour me concentrer. Soudainement me vint l'idée du siècle, enfin plutôt de secour pour le coup. Bref une idée à ne me deplaisait pas.
Lui habite peut être loin, mais pas moi...
__________
J'enfonça mes clefs dans la serrure serrure ma porte d'entrée. Après deux tour dans le sens des aiguilles d'une montre, cette derniere céda dans un horrible grincement. Le brocolis me suivit dans la pénombreSan se poser la moindre question. Je referma la porte derriere nous.
Je retira à la rache mes chaussures cirées. Le petit vert m'imita maladroitement et je ne pus m'empaicher de pouffer grossièrement. Je passa ma main dans mes cheveux, y remettant vaguement un peut d'ordre.
Je pouvais de nouveau sentir le regard du nerde me dévorer, ce qui avait d'ailleurs été le cas tout le long du trajet retour. Je me retourna pour lui jeter un regard noir, ne voulant pas admettre que cela me plaisait énormément. Son regard vert pomme pétillait tel un diamant diamant juste poncé. Je fronça les sourcils tout en le questionnant agressivement.
- Pourquoi tu n'arrête pas de me fixer Deku ?!
- Tu es... beau... Kacchan.
Toute ma soit disant colère s'évapora d'un seul coup. Sous le choque et pris au dépourvu, je me content a de detourner le regard, abasourdis. Mon coeur tambourinant à vive allure dans ma poitrine. Mes pensées se contre-choquèrent, bien trop nombreuses.
Il me trouve beau ? Et puis ce surnom, Kacchan... il me plaît !
Je serra les dents, tentant de contenir mes émotions diverses. Je ne devais pas craquer, je devais me retenir, il est soud, il ne le pense pas réellement. J'agrippa mon t-shirt et le serra de toutes mes forces. Je finis par craquer, s'en était de trop pour moi.
- Et puis merde !
🍋Je me jette sur lui, m'emparant de ces fines lèvres, les emprisonnent dans un baiser. Il me répondit prèsque automatiquement, encerclant mon cou de ces bras. En tant qu'expert en la matière, je repris confiance, me freantun chemin en cherchant d'avantage.
Ce fut dans un premier soupir de bien être que je viens caresser sa langue avec la mienne. Je plaqua Izuku contre l'un des murs de mon petit salon. Ce dernier laissa echapper un premier gémissement, m'encourageant à poursuivre.
Je souria, prolongeant notre baiser, l'accentuant de plus en plus. Je le tira délicatement sur le sofa installé au milieu de la pièce. On se sépara les souffles courts et saccadés. Sans crier gare, le nain reprit l'assaut sur mes lèvres.
S'est si bon...
D'humeur joueuse, je l'allongea et me positionna au dessus de lui. Je passa ma main sous son t-shirt, le faisant sursauter.Je retraça les courdes de son buste. Je parcouru avec amusement son torse, nu. Je lui retira son haut, rompant de nouveau notre baiser. Il poussa une pliente, déçu.
- Kacchan...
Sa voix... Elle est belle... Si excitante...
Je comptinua de m'acharner sur ces boutons de chaires, me délectant de chacune de ses réactions. Les mains du plus jeune se montrèrent timidement, découlant petit a petit ma ceinture. Je g loussa, me léchant sensuellement les lèvres.
- Tu es bien pressé dis-moi~
Il me lança un sourire charmeur et à la fois remplit de désir. Il vint s'amuser a carresser mon bas ventre, à travers mon pantalon, déjà bien éveillé malgré moi. Je l'aissa échapper à mon tour un légé gémissement. Sa me faisait mal de l'admettre encore une fois, mais il est sacrément doué.
Je me redressa, venant lui mordiller le lobe de l'oreille, qui se cambra d'avantage. Le plus jeune me renversa, se plaçant a son tour au dessus de moi. Le petit brocolis commença à frotter son bassin contre le mien, m'exitant d'avantage. Je ferma les yeux, appréciant cette sensation unique en son genre.
Putain, j'adore...
Un liquide chaud et collantvint se déverser sur mon bas ventre. Intrigué, j'ouvris les yeux. Izuku se tenait endormi sur mes jambes alors qu'il me chauffait il y a même pas quelques secondes. Je déporta mon regard sur une flac jaunâtre sur mon t-shirt.🍋
Il vient de me vomir dessus ?!
À suivre...
3984 mots
~💣💥~
Hello !
Vous allez bieng ???
Vous en avez pensés quoi ?
Bon désolée pour le lemon, il etait super légé, mais dans le chapitre 3 je vous promet un gros lemon ^^
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