La voix d'envoi
Crissent crissent les grandes fusées arrêtées
Vomissant les âmes aux portes décédées.
Fin des rails, fin du grand et long voyage,
Fin du grand tourment pour les âmes de tout âge.
La voix brisa le rythme et la masse suivit
Les courants s'affrontèrent, heureux qui survit
Et surpasse la concurrence partira
Dans le train, paré au décollage immédiat.
Nous autres, oiseaux, fouinons parmi les voies
Ainsi dans le train sommes-nous prêts à l'envoi
La voix est notre phare sensationnel.
La voix, appartient-elle donc à tous ces trains ?
Heureux suis-je de ne point l'écouter en vain,
Cette inconnue à la voix plus que sensuelle.
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