La Fête Des Mères

Pdv Didier 

Je suis sur le canapé de notre maison à regarder la télé en attendant l'heure pour aller chercher Mia et Amaro à l'école. Antoine lui ira chercher Enzo Amélia et Alba à la crèche. Depuis se qu'il c'est passé pendant le rassemblement je stress un peu moins d'être tout seul et nous n'avons plus reparler de ça et il à posté un message sur les réseaux sociaux pour tout mettre au clair sur cette histoire. Au moins les journalistes ne m'emmerderont plus. 

16 heures arrive. Je me lève et prend les clés de voiture. Je conduit jusqu'à l'école et me gare. Une fois descendu je remarque la maitresse, Ariane, tenir par la main Mia et Emile , un de ses camarades de classe et fils d'un riche banquier, et parler vivement avec la mère d'Emile, Pilar. Je marche presque en courant vers eux. 

Moi : quesqu'il se passe ? 

Ariane: messieurs Deschamps je

Pilar : ah le voila enfin lui. 

Je le regarde de haut en bas cette femme. Ok quesqu'elle a à me parler comme ça ?

Moi : vous pouvais m'expliquer ce qu'il se passe ? 

Pilar : votre peste de fille à agresser mon petit trésors!

Ariane : madame Méli s'il vous plait calmer vous. Messieurs Deschamps Mia a donner une claque à Emile. 

Moi : pardon ?! vous devais vous tromper ma fille n'est pas violente. 

Ariane : je l'ai vu messieurs Deschamps. 

Je regarde Mia qui fui mon regard. Donc c'est bien vrai. 

Ariane : et je vous attendez pour régler cette histoire. 

Moi : nous allons en parler avec son père se soir à la maison. En attendant tu t'excuse auprès de Emile Mia. 

Mia : non ... 

Pilar : malpoli. 

Moi : Mia. 

Mia : il à dit que tu était pas ma maman ...

Je reste bloqué devant son visage et lui tend ma main quelle prend et se colle à moi. 

Pilar : il à dit la vérité. Elle n'a pas de mère. 

Ariane : madame Méli arrêtez ! 

Pilar : c'est la vérité ! Sa vrai mère et en prison à cause de lui ! 

Je sers les poings pour me contenir surtout devant Mia. 

Ariane : partez maintenant madame Méli. S'il vous plait. 

Elle prend la main de son fils qui nous regarde avec un air dédaigneux et se dirige vers leurs limousine. 

Ariane : je suis désolé messieurs Deschamps. 

Moi : ce n'est rien. Pour Mia je vous laisserai la punir demain. 

Ariane : d'accord. Je vais vous chercher Amaro. 

Elle rentre dans la cour et je me baisse pour être à la hauteur de ma fille qui garde sa tête baissé. 

Moi : regarde moi ma chérie. 

Elle me regarde et je lui sourit gentiment. 

Moi : tu .. Tu sais que je ne suis pas ta vrai maman ?

Mia : oui mais toi tu nous aime comme une maman. 

Je fond devant son petit air. 

Moi : on en parlera à la maison avec papa. 

Je me relève au moment où Ariane me ramène Amaro qui court vers moi.

Amaro : maman ! 

Je le prend dans mes bras en souriant. 

Ariane : et voila. Ah j'oubliais nous organisons une petite fête la semaine prochaine pour la fête de mère j'espère vous y voir avec votre époux. 

Moi : je ne crois pas que se soit une bonne idée vu se qu'il vient de se passer. 

Ariane : réfléchissez Mia et Amaro serait tellement heureux de vous voir. En plus ils vous ont préparez un petit cadeau. 

Moi : bien je ..Je verrai si j'ai du travail. Au revoir. 

Je prend la main de Mia et me dirige vers la voiture pour mettre les enfants dans la voiture. Je m'installe au volant et roule jusqu'à la maison. Seul Amaro parle et me raconte sa journée. Mia reste silencieuse et triste. Nous arrivons à la maison peu de temps après Antoine. J'ouvre la porte et Amaro court vers ses frères et sœurs et après avoir fais un bisou à son papa. Moi je tien la main de Mia. 

Antoine : et salut ma puce ça va ?

Moi : on doit parler. 

Vu mon regard il comprend que c'est sérieux. D'un signe de tête il me désigne la cuisine. Nous rentrons et après avoir vérifier que les enfants jouent referme la porte. 

Antoine : quesquil se passe ? 

Moi : Mia dit à papa se que tu à fait à un de tes camarades enfin Emile Méli. 

Antoine : oh non pas lui...

Mia : je lui ai mis une baffe...

Antoine : Quoi?!!! Mais quesqu'il t'a pris ? 

Moi : ne crie pas ! 

Antoine : mais tu te rend compte qu'elle à frapper un de ses camarades ?!!

Moi : elle la fait parce qu'il lui à dit qu'elle n'avait pas de mère !!!

Aussitôt il se calme et pose son regard sur Mia qui commence à pleurer. 

Antoine : ma puce ... 

Mia: avec Amaro ont ... on à fait un cadeau pour maman ... 

Antoine : pour la fête des mères ? 

Mia: oui et Emile il m'a dit que je devais pas en faire parce que tu était pas ma vrai maman...

Moi : alors tu l'a giflé. 

Mia : oui...Je suis désolée papa et maman....

Moi : va jouer avec tes frères et sœurs ma chérie. 

Elle sors de la cuisine et j'explose mon poings contre une porte d'un placard. 

Antoine : chéri...

Moi : ça me soulage Antoine. Ce môme se moque d'elle et sa salope de mère m'a humilier devant la maitresse! Tout ça depuis que Erika m'a enlever !!! 

Antoine : et calme toi s'il te plait. 

Il me prend dans ses bras et je lui sourit. 

Moi : excuse moi mais ....ça ma rendu fou de la voire comme ça se faire humilier. 

Antoine : je te comprend mais tu sais très bien que pour elle et Amaro leurs maman c'est toi peu importe se que les gens diront c'est toi leurs mère pas Erika. En plus je te signale qu'ils portent le nom de Deschamps. 

Moi : c'est vrai. Et tu as raison je suis leurs maman. 

Antoine : j'ai toujours raison mon amour. 

Moi : pas toujours. 

Nous rions ensemble et il m'embrasse. 

Moi : au faite la semaine prochaine l'école organise une fête pour que les enfants offrent leurs cadeaux de fête des mères et la maitresses serait ravies de nous voir tout les deux. 

Antoine : excellente idée j'aurai un compte à régler avec les Méli. 

Moi : Antoine...

Antoine: quoi je tient de mon basque de mari. 

Je rie de nouveau. 

Mia: maman papa. 

On se tourne vers elle toute penaude. 

Moi : oui ma chérie? 

Mia : je vais être puni ? 

Antoine : oui parce que c'est mal de frapper les gens donc tu sera privé de dessert se soir.

Mia : et pour la fête? 

Moi : on viendra ma puce. Croit moi qu'on viendra. 

La semaine prochaine 

Je descends de la voiture suivi de Antoine. Il me prend la main et nous rentrons dans la coure d'école où Ariane nous accueille avec le sourire. 

Ariane : Antoine Didier je suis heureuse que vous êtes venu. 

Antoine : nous n'aurions raté ça pour rien au monde. 

Ariane : venez nous avons prépare un petit buffet avant que les enfants ne donne leurs cadeaux.

Moi : très bonne idée. J'ai un petit creux. Tu viens chéri? 

Antoine : je te suis mon amour. 

On se dirige vers le buffet et on prend chacun une part de gâteau. Au loin j'aperçois le couple Méli. 

Moi : amour regarde. 

Antoine : parfait. On attend juste que les enfants te donne leurs cadeaux. 

Moi : yes. 

On se sourit malicieusement et c'est le moment des cadeaux. On s'assoit. Les enfants arrivent avec des paquets à la main. En nous voyant elle et son frère nous font des petits signes de mains. La maitresse appel les enfants par ordre alphabétiques pour qu'il donnent leurs cadeaux. 

Ariane : Mia et Amaro Deschamps. 

J'entends des chuchotement et on se regarde avec mon mari. Bien sur ça fait parler. Notre fille et son frère se donne la main et se dirige vers moi en sourient. 

Mia et Amaro : bonne fête maman. 

Moi : merci mes amours. 

Je leurs embrasse le front chacun et ouvre le paquet où je découvre deux bracelets de perles : un bleu et l'autre blanc et rouge. Je les mets à mon poignet.   

Moi : ils sont très beau merci beaucoup mes chéri. 

La petite cérémonies se termine et nous retournons au buffet avec les enfants. Le couple méli se dirige vers nous. 

Antonio : bonjours messieurs Deschamps. Comment allez vous?

Antoine : oh très bien. Hein mon amour? 

Moi : parfaitement bien chéri. C'est vraiment une excellente idée cette petite fete pour la fête des mères . N'est ce pas madame Méli? 

Pilar: oui. Enfin pour les mamans.

Antoine : vous avez quelque chose contre mon époux madame Méli ?!

Tout le monde nous regardent et je sourit doucement. 

Antonio : non pas du tout Antoine. 

Antoine : votre femme à une langue de vipère donc elle peut parler toute seule. 

Pilar : pardon ? Une langue de quoi ? 

Moi : de vipère. En plus vous ressembler à une vipère. 

Antonio : dites à votre mari de bien se comporter avec ma femme. 

Antoine : pourquoi je lui dirai ça alors que votre "femme" se permet de l'humilier en public ? Où quand votre gâté de fils se permet d'harcelé notre fille par rapport à notre famille. 

Tout les deux nous regardent et ne savent pas quoi répondre. 

Moi : voilà se que ça fait de se faire humilier en public. 

Antoine : chéri prend les enfants ont rentre. Respirer le même air que ses deux bourgeois me file des migraines. 

Moi : à moi aussi . 

Et nous sortons tout en riant avec les enfants. 

Moi : bien joué mon cœur. 

Antoine : personne ne t'humilie mon amour. Alors pour fêté ça se soir c'est Mac do !!

Mia et Amaro : Ouiiii !!! 

Je sourit en montant dans la voiture . Je suis une maman comblé même si je ne suis pas leur vrai maman, ils me considères tout comme et moi aussi. 

A suivre....  

                                         

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