Dylan

PDV Didier 

Antoine se gare devant l'adresse indiquée sur l'enveloppe que j'ai reçu à Noël du père Noël.

Moi : c'est là tu est sur ?

Antoine : oui. Tu veux que je vienne avec toi ?

Moi : oui s'il te plaît.

Il me sourit doucement et sort de la voiture. Je le suis et prend sa main que je sert fort.

Antoine : ça va le faire mon cœur. Explique bien la situation.

Moi : oui...

Je sonne et le stress monte. Je sers encore plus fort la main. Je dois même lui broyer vu la grimace qu'il fait.

La porte s'ouvre et une femme d'une soixantaine d'années nous ouvre.

Moi : bonjour. Excusez nous de vous dérangez. Je m'appelle Didier Deschamps et...

Elle : vous êtes Didier Deschamps?

Je regarde Antoine qui hausse les épaules sans comprendre.

Moi : oui.

Elle : entré. Messieurs Lippi vous attendais.

Antoine : Lippi comme Marcelo Lippi?

Elle : oui et vous êtes ?

Moi : c'est mon époux Antoine Deschamps.

Un sourire se dessine sur son visage. Il adore quand je le nomme ainsi. Alors oui sur le terrain il porte son nom de jeune homme mais sur son passeport et sa carte d'identité c'est le mien. Comme pour nos enfants.

Nous l'a suivons à travers la somptueuse de mon ancien entraîneur à la juventus. Je continu de tenir la main de mon mari stresser des révélation que mon anciens coach va me faire.

Elle nous ouvre la porte d'une terrasse, qui donne sur toute la ville, eet ou un vieil homme est assis sur un fauteuil la contemplant.

Elle : messieurs Lippi. Didier et ici avec son époux.

Il se tourne vers nous et sourit en me voyant accompagné d'Antoine.

Marcelo : Didier cela fessait si longtemps que j'attendais ta visite. Maria prévenez le vite.

Maria : oui messieurs.

Elle dort un grand sourire aux lèvres.

Antoine : prévenir qui?

Il sourit à mon homme et me regarde.

Marcelo : et bien ton fils Didier.

Moi : c'est un garçon...

Marcelo : oui un garçon. Qui ressemble beaucoup à sa mère.

Je sourit et regarde Antoine les larmes aux yeux.

Moi : tu entend ça Antoine? C'est un garçon.

Antoine : je les bien entendu mon cœur.

Marcelo : venez vous assoir près de moi je vais tout t'expliquer.

On s'exécute. Il me regarde et me prend les mains.

Marcelo : tu as commencé le soir de tes 27 ans. Zizou et les autres t'ont emmener en discothèque pour fêter ça. Sauf que vous avez beaucoup trop bu. Et tu a disparu 2h environ.

Moi : 2 heure ?

Marcelo : oui. Il m'ont appeler paniquer alors je me suis lever et je les ai rejoint la bas. Nous t'avons chercher 2h de plus jusqu'à se qu'on te retrouve torse nu 2 rue plus loin.

Antoine : comment il est arrivé là ?

Marcelo : ça on n'en sait rien. Tu ne te souvenais de rien. Alors on t'a ramener chez toi. 8 mois plus tard nous préparions la finale de la ligue des champions quand tu t'es effondré sur le terrain d'entraînement en te plaignent d'énorme maux de ventre. Je t'es envoyer directement à l'infirmerie. A la fin de l'entraînement les dirigeants du club sont venu me voir pour me dire que tu étais enceinte de 8 mois. Personne n'avait rien pu détecter.

Moi : j'avais fait un premier déni de grossesse.

Marcelo : exactement. Tu étais sur le pont d'accoucher. Alors j'ai demandé à se qu'on te remplace pour la finale. Mais ils n'ont pas voulu. Tu était beaucoup trop précieux pour l'équipe.

Antoine : quesque vous avez décider alors ?

Marcelo : pas moi. Eux. Que nous t'emmènerions dans une clinique privé pour te faire accoucher la bas. C'est ce qui as était dans la plus grande discrétion. Tu était dans les vapes à cause des médicaments qu'ils t'avaient refiler. Et tu n'a rien dit. 24h plus tard le 3 mai tu a accoucher d'un petit garçon. J'était a tes coter ne voulant pas te laisser seul souffrir. Je me rappelle tes hurlement de douleurs et que tu me supplier d'arrêter tout ça. Puis le petit est né tu était à bout de force et moitié dans les vapes. J'ai poser ton fils sur toi quand le médecin et revenu avec les dirigeant. Ils ont exigé que l'ont fasse disparaître l'enfant. Parce qu'il savait très bien que tu n'aurai jamais voulu jouer sachant ton enfant tout juste né.

Antoine : ils... Ils ont voulu le...

Marcelo : oui mais ils n'ont pas eu le temps. Des qu'ils sont sorti j'ai reprit le bébé de tes bras. Croit moi Didier que ça m'a fendu le cœur de t'enlever ton bébé. Tu étais encore dans les vapes mais tu a prononcé un mot.

Moi : lequel ?

Marcelo : Dylan. C'est ainsi que j'ai nommer ton fils. Je les ramener ici et je les élever.

Antoine : mais pourquoi ne pas l'avoir dit à Didier ensuite ?

Marcelo : il ne se rappeler plus de rien et les dirigeants se sera t venger sur Dylan. Je devais le protéger pour toi Didier.

J'essuie mes larmes rageusement. Ses connard mon fait accoucher seul, sans ma famille, avec mon coach comme seul soutient et ensuite ils ont voulu faire disparaître mon bébé ! Tout ça pour une finale de ligue des champions !

Marcelo : sache que Dylan sait depuis longtemps qu'il est ton fils mais ils avait peur de ta réaction si tu l'apprenais.

Antoine : et son père ?

Marcelo : un inconnu avec qui Didier a coucher une seule fois.

Moi : je veux le voire. Tout de suite.

Marcelo : tu as de la chance. Il est à Turin aujourd'hui.

Antoine : il ne vit pas avec vous ?

Marcelo : oh non. Il vit à Londres où il fait des études de commerce.

Maria : messieurs Dylan est là.

Marcelo : faite le rentre vite. Sa mère a hâte de le voire.

Je regarde Antoine qui me sourit tendrement. Maria revient avec un jeune qui est mon portrait cracher.

Je pose mes mains devant ma bouche, des larmes coulent sans que je puissent les contrôler.

Marcelo : bonjour mon garçon.

Dylan : bonjour messieurs. Maria ma appeler et disant de venir de toute urgence ici.

Marcelo : oui. Ta mère est juste là Dylan.

Il pose sont regard sur moi et je me figé ne sachant plus quoi faire. Une main me caresse le bras. Antoine. Il me sourit et me fait signe de me levé.

Ce que je fait en tremblant. Il se lève aussi est se met derrière moi sûrement de peur que je m'évanouisse.

Dylan : alors c'est vous ma mère ?

Moi : ou... Oui.

Un sourire se dessine aussi sur son visage d'ange et il me saute dans les bras. Je le sers aussi fort que possible contre moi en pleurant. Ça fait des mois que j'attends se moment.

Moi : mon bébé je t'aime.

Dylan : moi aussi... Maman.

Un sourire se dessine sur mon visage en l'entendait m'appeler ainsi. Antoine Maria est Marcelo nous laisse seuls nous retrouver.

Dylan : j'avais tellement espérer se moment.

Moi : moi aussi mon ange moi aussi. Je m'en veux tellement de t'avoir oublier.

Dylan : je ne t'en veux pas maman. C'est ces mecs qui nous ont séparer. Messieurs Lippi ma élever en me disant qui était ma mère et se qu'il était.

Moi : tu me ressemble tellement.

Il me sourit et m'embrasse la joue. Nous parlons un peu et je lui montre une photo de ses frères est sœurs.

Dylan : j'ai hâte de les rencontré maman.

Moi : eux aussi surtout Mia. Elle est heureuse d'avoir un grand frère ou une grande sœur.

Dylan : et moi d'avoir des petits frères et petites sœurs.

Je sourit et le sers contre moi. Je n'arrive toujours pas à croire que je les retrouver. C'est vraiment un merveilleux cadeau. Et aussi l'un des plus beau moment de ma vie. 

A suivre...

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