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Je m'appelle Merry Holmes, petite fille de la talentueuse Enola Holmes, sœur des célèbres Sherlock et Mycroft Holmes. Tout comme eux, je suis détective et, comme le diraient si bien les gens qui me connaissent, je suis psychopathe, même si je dirai plutôt sociopathe, et assez excentrique pour que les gens m'évitent. Je suis plutôt très intelligente, je ne vois pas de mal à détester les gens au point d'être tout le temps sarcastique, dire ce que je pense d'eux et les mettre assez mal à l'aise pour qu'ils partent et ne me revoient plus jamais. Il y a quelques années maintenant, en 2010, Je me suis installée en France, plus précisément à Gaillac, pour ne plus avoir à croiser les stupides gens que je connais. Un peu plus tard, je reçu un appel de la proviseure du collège Louis Amstrong, Mme Brown, m'annonçant qu'un jeune garçon de sixième avait été assassiné. Je sautais de joie et m'empressais d'enfiler mon manteau et de rejoindre le collège. J'entrais dans le collège où la police avait déjà tout baliser de la fameuse rue balise " scène de crime" qui m'était si familière. Je trouvais rapidement le commissaire et prenais le temps de l'observer avant de partir à sa rencontre. Il était plutôt enveloppé, devait être dans la quarantaine, une moustache équilibrant le peu de cheveux qu'il avait sur la tête. Celui-ci vint à ma rencontre et je l'abordais :
" ah! vous êtes là, Commissaire Torson !
- Comment connaissez-vous mon nom et mon grade? demanda-t-il l'air intrigué. En fait, cela ne m'intéresse pas. Et vous êtes... laissez-moi réfléchir...
- Ne grillez pas les derniers neurones qui vous reste pour trouver mon simple nom. Je m'appelle Merry. Merry Holmes. dis-je d'un ton sarcastique.
- Ah! C'est donc de là que vous viens votre manque de finesse... grogna-t-il.
- Elle ne sert qu'à user la salive pour des choses futiles. Où est la victime? répondis-je d'un nonchalamment.
- Venez avec moi."
Je suivi l'homme dans les couloirs qui débouchaient dans une salle de classe où régnait une atmosphère lugubre. La proviseure, accompagnée de deux personnes, surement ses parents, m'accueillir non sans cacher leur idiote tristesse Un jeune garçon gisait au sol. Je m'approchais de la victime et commença à chercher la blessure. Le mort avait des marques sur le cou. Je continuais mon inspection, enlevais son tee-shirt et découvris un large bandage sur son plexus solaire. Je le défit et trouva une plaie béante, et sous la blessure, une phrase écrite dans la peau " Repose en paie". Quelque chose dans la phrase m'intriguais. Puis je compris. Paix s'écrit avec un " x" et non pas un " e " ! Je cherchais une cause à cette faute d'orthographe, un code, mais , n'en trouvant pas, je dû en conclure que le tueur avait un problème d'orthographe ou... Mais oui!! Le tueur était un enfant! Les marques sur le cou étaient trop petites pour que ce soit celles d'un adulte, et les traces de pas laissées dans la poussière ne sont pas profondes, signe d'un poids léger, et assez petites pour que ceux soient celles d'un enfant.
Je redescendais dans le hall et demandais tous de se mettre en rang. J'interrogeais brièvement tous les élèves et conclus que seuls trois personnes étaient dans les alentours au moment du meurtre, La sœur de la victime, un garçon de sa classe et une cinquième qui affirmait ne pas le connaître. Après l'avoir interrogé plus profondément, celle-ci me fit vite comprendre que ce n'était pas elle. Il me restais le garçon de la classe de la victime et sa sœur. Je leur demandais d'écrire ce qui leur passais par la tête, puis je leur fit une dictée. seule la sœur de la victime écrivit paie et non pas paix. Je demandais à ses professeurs si elle faisait des fautes d'orthographes, et sur quels mots. Le mot "paix" revint souvent. Je fis un dernier test, je demandais au deux enfants d'attraper un cylindre en mousse que je leur donnais et de le serrer le plus fort possible. Les empreintes de la jeune fille étaient les mêmes que celle sur le cou de la victime. Je dû réfléchir pendant de longues minutes et fût obligée de me résoudre à accepter cette conclusion: La fillette avait tué son frère et elle se rendit ensuite compte de ce qu'elle avait fait. Elle avait voulut s'excuser et, ne trouvant rien, écrivit cette phrase dans sa chair. Après l'avoir interrogé plus longtemps, elle éclata en sanglots amers et hurla qu'elle avait tué son frère car elle voulait l'aider à partir. Le jeune homme lui aurait dit qu'il voulait partir et elle avait pensé qu'en le tuant, ce serait plus facile pour lui de s'en aller. La petite affirma que son frère lui avait supplié de l'aider à s'en aller, à être libre.
Après être passée devant le juge, la petite fût placée dans une pension pour enfants atteint maladie psychologique pouvant nuire à quelqu'un.
Ma première enquête en France s'avéra beaucoup plus intéressante qu'à Londres, et l'équipe de la police fût beaucoup plus drôle qu'en Angleterre.
FIN
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