Chapitre 39 : Alain Giraudeau
Salut à vous ! Je trouve que j'ai de moins en moins de personnes qui lisent et qui aiment ou/et commentent ma fiction. J'avoue que j'y passe beaucoup de temps mais je suis un peu déçue d'avoir aussi peu de ... Enfin vous avez compris.
J'aimerai justement parler de quelque chose. Les personnes qui lisent ma fiction hors de Wattpad et qu'il n'y sont pas connecté pourrait s'y inscrire très facilement. Pas spécialement pour ma fiction mais ainsi vous pourrez en lire d'autre vraiment génial sur NCIS par exemple.
J'hésite aussi à la continuer encore alors que j'ai l'impression de parler à un mur.
Je ne vous embêtes pas plus.
Place au nouveau chapitre. ^^
Depuis que Ziva a quitté le sol Américain, une semaine s'est écoulée. Les recherches ont bien avancés sur le poseur de bombe. Il ne reste qu'un seul suspect encore introuvable.
Tony n'est plus le même depuis le départ de sa bien-aimée. Il ne fait plus de blagues idiotes, il rend ses rapports lisibles et à l'heure. Même le matin il est à l'heure. Au fond de lui, il espère que Ziva reviendra un matin, comme si rien ne s'était passé mais il sait pertinament que cela n'arrivera pas. Abby non plus n'est plus comme d'habitude. En réalité, personne n'est vraiment pareil depuis le départ de Ziva. Abby est encore plus accro à la caféine et passe ses journées dans son laboratoire avec la musique à fond, McGee passe ses journées sur son ordinateur et avec Abby, Gibbs, lui, est différent mais ne le montre pas. Quant à Jenny, Ziva était, est et restera sa meilleure amie. Depuis son départ, elle ne dort plus et reste toutes ses journées au NCIS, ainsi que tard le soir.
Gibbs arrive dans les bureaux, son café à la main, le neuvième de la journée.
Gibbs : '' McGee ! Vous l'avez trouvé ? ''
McGee : '' Oui patron. Il s'appelle Alain Giraudeau, professeur d'Histoire dans un collège. Il a 30 ans. Il s'est marié une fois avec une certaine Judith Barker qui a été tuée en Irak. Alain est un ancien soldat de la Navy. ''
Gibbs : '' Casier ? ''
McGee : '' Vierge. ''
Gibbs : '' Vous avez une adresse ? ''
McGee : '' Oui. 1562 Melopard Avenue. ''
Gibbs : '' Prenez vos affaires. ''
McGee et Tony prennent leurs affaires et ils s'apprêtent à entrer dans l'ascenseur lorsque le directeur les interpelles de la rambarde de l'escalier.
Directeur : '' Etes vous sûr qu'il s'agit de notre poseur de bombe ? ''
Gibbs / McGee / Tony : '' Sûr ! ''
Directeur : '' Prenez l'équipe de l'agent Shepard. Vous ne serez pas de trop. ''
Jenny se lève de son bureau ainsi que ses trois nouveaux agents :
- L'agent Conrad Spelling. Appelé par son prénom par Jenny. Il a la trentaine, les cheveux mi-long et les yeux verts. C'est un peu le même style que Tony mais il n'est pas un '' dragueur ''.
- L'agent Justice Thomson. Âgé de 40 ans environ. C'est un remarquable agent de terrain. Il a les cheveux courts et noir, les yeux marrons foncés et il sourit toujours.
- L'agent Walter Ford. Un homme musclé mais un peu peureux. Il est meilleur en recherche scientifiques et informatique que sur le terrain mais il est courageux. Il a les yeux noir et les cheveux châtains. Il a dans la trentaine lui aussi.
Jenny : '' Conrad, Justice, Walter en route. ''
Les trois agents : '' Oui Madame. ''
Jenny se retourne doucement vers eux et plisse les yeux. Ils comprennent immédiatement et se rachètent.
Les trois agents : '' Oui Jenny ! ''
Elle sourit et ils entrent tous dans l'ascenseur.
Arrivés sur les lieux, Gibbs fait signe à ses agents de passer par derrière et Jenny fait signe aux siens de passer par devant. Gibbs rejoint son équipe et Jenny la sienne.
Jenny : '' Conrad, vous enfoncez la porte à mon signal ... 1 ... 2 ... 3 ! ''
Conrad enfonce la porte avec son pied et ils entrent sur leurs gardes en pointant leur arme devant eux.
Gibbs : '' A mon signal Tony tu entre en défonçant la porte. 1 ... 2 ... 3 ! ''
Tony donne un violent coup de pied dans la porte qui cède immédiatement et les agents de Gibbs prennent les mêmes positions que ceux de Jenny.
Conrad et Tony : '' RAS ! ''
Walter et McGee : '' RAS ! ''
Gibbs : '' RAS ici aussi. ''
Jenny : '' RAS. ''
Ils se rejoignent dans le salon du rez-de-chassée car c'est une maison à un étage.
Jenny : '' Où est Justice ? ''
... : '' C'est lui que vous cherchez ? ''
Tous les agents se tournent vers cette voix grave et viril. Tony écarquillent les yeux en se rendant compte que c'est celui qui avait parlé à Ziva l'autre fois au parc.
L'agent Justice est détenu par Alain, l'arme sur la tempe.
Alain : '' Baissez vos armes ou je tire. ''
Jenny : '' Posez vos armes. ''
Tous les agents posent leur arme sur le sol et donne un coup de pied dedans qui les envois loin derrière eux.
Alain : '' Les mains sur la tête allez ! ''
Ils font ce qu'il dit mais Gibbs veut savoir la vérité.
Gibbs : '' C'est vous le poseur de bombe ? ''
Alain : '' Très perspicace agent Gibbs. ''
Jenny : '' Pourquoi ? ''
Alain : '' Alors voilà, il y a deux raisons qui m'ont poussé à faire ça. La première c'est ma fille de 12 ans, Lou. Elle avait besoin d'un père qui soit présent pour elle comme sa mère n'est plus là mais malheureusement, je ne pouvais pas l'élever. J'ai rencontré alors Ziva David. Je me suis dit qu'elle serait parfaite en tant que nouvelle mère pour ma fille mais j'ai remarqué qu'elle était déjà en couple. Alors si je ne pouvais pas l'avoir, personne ne l'aurait. ''
McGee : '' Ça ne fait qu'une raison. ''
Gibbs : '' La deuxième ? ''
Alain : '' J'aime bien les choses qui explosent. ''
Il avait dit ça avec un immense sourire ce qui ne fit qu'aggraver la colère des agents et surtout celle de Tony. Jenny regarde Justice dans les yeux et celui-ci compris aussitôt. Il donne un coup de pied violent dans la partie intime d'Alain qui se pli en deux de douleur. Jenny et Tony récupère leur arme et les pointent en direction d'Alain tandis que Justice les rejoints.
Tony : '' Deux solutions. Vous vous rendez ... ''
Jenny : '' Ou on tire. ''
Alain : '' D'accord d'accord, je me rends. ''
Les agents McGee et Walter menottent l'homme et il est directement envoyé en prison, sans jugement. La fille de l'homme est confiée au NCIS le jour de l'emprisonnement de l'homme, soit, aujourd'hui.
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