Trois , ou peut-être quatre . Qui sait le nombre d'heures que j'ai déjà passé ici ? Que je passerai ?

On m'avait dit de l'arborer fièrement cette étoile, cette religion.....
Un an après l'ordre de mon père fut de la cacher.

Il y a un enfant a côté de moi , certainement tout ce qu'il y a . La cellule est vide , tout comme mon esprit qui se fait ronger par la peur . Cet enfant, lui ne semble pas avoir peur, il chante des chants militaire que je ne connais pas, que je ne veut plus connaître.

- " Mon papa , moi il m'a dit que tout irait bien ! Alors pourquoi tu pleures ?" Me demanda t'il fièrement

- " J'ai peur de la mort, de la guerre"

- " Moi c'est Jean Maréchal , et avant que je ne me fasse arrêté papa m'a dit que ça irait , alors ça ira "

Il fait sombre et je n'ai rien à faire alors j'engage la conversation.

-" Simon Frank. Comment est tu arrivé ici ?"

-" J'en sais rien . J'étais tranquillement assis en famille. Du moins ce qu'il en reste." Il marqua un temps de pause comme pour se vider l'esprit et repris .

"Et mon père m'a demandé d'aller chercher chez ma tante Nancy des soin pour ma sœur malade. Les allemands m'ont vu arrêté demandé des papiers, frappé et assommé. Alors tu comprends il faut que je sorte. Ma sœur a besoin de moi et mon père va s'inquiéter si je ne rentre pas"

Son monologue fini j'entreprends moi même de raconter mon histoire.

"Une blague, une stupide blague qui as mal tournée. Mon ami, mon seul ami ne m'a pas trahit. Il voulait seulement rire."

Je marqui à mon tour un temps de pause pour laisser aux larmes le temps de disparaitre.

-"Il plaisantais en disant qu'un jour les allemands découvrirai que les papiers était faux. Ils étaient à côté, ils l'ont entendu."

Mon récit raconter le nommé Jean se blottit contre moi.
Il est jeune après tout. Il a toute aux plus huit ans. Il a juste peur.

-" Il va se passer quoi maintenant ?" Me murmura t'il a l'oreille

-"Je pense qu'il vont nous amener combattre à l'armée.
Pas toi, tu es trop jeune. Mais moi j'ai bientôt seize ans. Alors j'irai combattre.
Et toi ?
T'en penses quoi ?"

Il ne prend même pas la peine de réfléchir.

-"Ils vont nous relâcher. On a rien fait de mal."

Il avait raison. Si ce n'est croire qu'avons nous fait ? Je m'apprêtais a répondre mais ce ne fut pas possible.
Il c'était déjà endormi.

C'est vraiment nos seul option ?

Vivre ou mourir ?

La vie est-elle si hétérogène que cela ?

Je n'eu le temps d'y penser que le voilà dans les bras de Morphée.

En espérant seulement me réveiller en vie demain.

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Hey les gens c'était ma rédaction pour le brevet blanc je vais vous donner la consigne qui était

: Jean et Simon sont deux juif qui se sont fait emprisonné et se demande ce qu'il va leur arrivée Vous redigerez leur dialogue.

21/40

Je pète le seum
Ok elle est pas ouf
Ok j'aurais largement pu faire mieux

Mais 21 wshhhhhhhhhhh abusé