Chapitre 69 : Nuit étoilé

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Adessa se regarda dans le miroir, elle n'était plus la même qu'elle l'était avant de fouler le plancher de cette suite. Tant de choses s'étaient passés, si vite, si incongru que même elle avait du mal à y croire . Pourtant tout était vrai, elle avait affronter vent , marée , tempête. Elle avait insulté, soigné, puis tenté d'assassiner le ténébreux. Elle avait comploté avec lui, s'était disputé. Et elle avait été blessé, il l'avait blessé bien qu'elle l'y avait poussé en quelque sortes. Mais tout à l'heure contre son corps, sous ces baisers, elle s'était sentit différente. Elle s'était sentit désirée, aimée par cette homme. Elle avait compris, depuis un moment ce qu'il s'était passé. Mais elle s'était obstinée, et avait résister. Mais il était trop tard, les faits était là.

- Tu l'aimes. Et tu ne peux plus rien faire pour lutter. Souffla Adessa à son reflet

Pourtant, elle n'arrivait pas à s'en vouloir pour cela. Elle était tombée amoureuse de l'ennemi oui, et elle ne comptait pas lutter contre ces sentiments. Car elle savait qu'elle échouerait lamentablement. Elle était à un tournent décisif de sa vie. Tout à l'heure, elle savait que si cet homme n'était pas intervenu, elle aurait céder. Oui elle se serait abandonnée à cette homme qu'elle aimait au-delà de tout le reste.

Finalement, elle finit par s'habiller correctement d'une toge grise, dont son épaule gauche était dénudé. Puis rejoint la suite, au moment où le ténébreux fit son entrée.

- Qu'est-ce que tu as décidés ? Demanda Adessa

- Je ne sais pas encore. Fit Drhàn

La commandante de Théis acquiesça sans dire un mot de plus, elle n'en pouvait plus de cela. Elle voulait que cela se finisse un bonne fois pour toute. Elle se servit un verre d'eau, mais elle ne s'aperçut pas que sa main tremblait. Ce qui ne passa pas inaperçu, aux yeux du commandant.

Avant qu'elle puisse faire quelque chose, en douceur lui il avait retirait le verre de la main et l'avait attiré à lui. La forçant à le regardant, ancrant ces yeux gris clair dans les siens braise.

- Qu'est qu'il y a ? Demanda Drhàn

- Je. Nous ne pouvons pas continuer comme cela Drhàn. Commenta Adessa

- Hé, calme toi d'abord. Tu trembles. Demanda Drhàn, d'un ton doux

Le commandant de Thès était conscient que revenir ici, être si près de chez elle l'avait bouleverser. Elle avait beau se montrer forte, mais elle était a bout. Il savait qu'être ici, avait réveiller des choses qu'elle avait enfuie. Et elle en était submerger désormais.

- Drhàn, je ne peux pas continuer comme ça. Souffla Adessa

- Je te l'accorde. Affirma Drhàn

Il savait de quoi elle parlait, ils ont avaient déjà parler, mais il hésitait, il n'arrivait pas à trancher. Avec douceur, il saisit le visage de la jeune femme. Avant qu'elle ne puisse dire quelque chose de plus, il l'embrassa. Leurs lèvres ne purent se quittés, même quand ils retombèrent mollement sur le lit.

Drhàn eut la décence, de se rattraper de ne pas complètement écraser la jeune femme . Il ne la quitta pas des yeux, gardant ces yeux obstinément ancrée dans ceux de braise de la jeune femme.

- Tu as sans doute raison, je dois te libérer. Commença Drhàn en caressant de son pouce les lèvres de la jeune femme

Il se mordit la lèvre oui il le devait, mais il n'arrivait pas à s'y faire. Pourquoi ? Car il aimait cette femme, oui le grand commandant de Thès, connu pour être cruel, sans regret. Oui il était tombait amoureux d'elle cette femme. Cette théisienne qui avait réussi à faire tomber tous ces barrières, s'aventurait au-delà . Il savait que c'était le cas pour elle aussi, mais les circonstances ne leur était pas favorable.

- Fais de moi une femme. Demanda soudainement Adessa

- Adessa. Souffla Drhàn, déconcerté

Il ne s'était pas attendu à cela, bien qu'au fond de lui il la désirait plus que tout depuis la première fois qu'il l'avait vue. Pourtant, il voulait être certain de ce qu'elle voulait, car il savait pertinemment, qu'elle était pure.

- Adessa, il faut que tu en sois certaine, tu ne peux pas me dire cela sans en mesurer l'ampleur. Rappela Drhàn avec sérieux

- Il n'y qu'à toi que je veux m'abandonnée . Je veux que ce soit toi, et seulement toi, personne d'autre. Révéla Adessa,en saisissant le visage de Drhàn entre ces mains

Il perçut dans les propos de la jeune femme de la sincérité, et cet amour qu'elle lui témoignait sans le criée à haute voix. Il sentit son cœur se remplir de bonheur, mais aussi être embrasé par la passion qu'il avait tant refoulée. D'un geste habile de la main, il la ramena à lui, et scella avec passion ces lèvres aux siennes. Sans cesser de l'embrasser, son autre passa sous la tissue de la toge de la jeune femme. Et avec douceur, il entama une longue caresse le long de la jambe de son amante. Qui ne put que trembler sous la douceur, du geste de son amant mais ne l'arrêta pas.

- Oh Drhàn ! Gémit Adessa alors que les lèvres du ténébreux quittait les siennes

Le ténébreux dévora le cou de sa belle, déposant des baisers brûlants. Des baisers plus passionnés les uns que les autres. Adessa se cambra sous la torture exquise que lui faisait subir son amant. Ces mains allèrent courir dans les cheveux ténébreux de son amant, et sur les épaules de celui-ci.

- Tu es bien trop vêtu. Fit Adessa, avec un petit sourire espiègle

- Toi aussi. Rétorqua Drhàn

La seconde d'après, les vêtements du couple allèrent s'échouer on ne sait ou dans la suite du ténébreux. Contre toute attente, Adessa ne fut pas gêné de se retouvée nue devant le commandant de Thès. Il la contempla un instant, alors qu'un sourire vint ornée ces lèvres.

- Tu es magnifique. Complimenta Dhràn

Adessa sourit à son amant, ne bougeant pas, laissant ces orbes braises découvrir le corps du ténébreux. Des épaules saillantes, un torse musclé aux pectoraux et abdominaux parfaitement dessinés. Elle ne fut tout même pas effrayé à la vue du membre masculin de son amant.

L'attention du ténébreux fut attirée par la poitrine bien développée de la jeune femme. Des seins fermes, et qui tentait le ténébreux. Il y cédait, la seconde d'après , il dévorait les tétons de sa belle, qui se cambrait en criant de plaisir. Drhàn se mit à malaxer, câliner, et choyait la poitrine de sa belle. Adessa ne savait plus ou donner de la tête, cambrait, elle s'agrippait désespérément aux épaules du ténébreux. Dont les caresses, et les baisers, la faisait trembler.

- Drhàn ! Gémit Adessa, en se cambrant

Le ténébreux crut devenir fou à l'entente de son nom, il saisit de nouveau son amante et l'embrassa avec douceur.

- Drhàn, fais de moi une femme. Je ne peux plus attendre. Supplia Adessa avec amour

Oui, elle avait envie de le sentir au creux d'elle, de partager d'autres étreintes plus charnels avec lui. Le ténébreux ne se fit pas priée, il embrassa l'intérieur des cuisses de la jeune femme. Qui gémit son nom, puis se plaça correctement au plus près d'elle. Dans un ultime baiser, il la saisit charellement dans une étreinte passionnée. Adessa se crispa face à leur union, mais Drhàn la rassura, en lui procurant des caresses et des baisers emplie d'amour et de douceur. Alors qu'il allait se retirait d'elle, elle le serra contre lui davantage, et lui demanda de continuer.

Il entama alors des vas et viens doux, qui fut accompagnés, par la jeune femme. Puis peu à peu, la cadence s'accéléra. Bientôt seuls leurs gémissements et l'union de leurs corps vinrent emplir la suite du commandant. Sans cesser d'aller et venir en elle, le ténébreux l'embrassait, la cajolait. Adessa était transportée par leur plaisir, par leur étreinte, et ne voulait pas s'en délivrait. Elle s'accrochait aux épaules de son amant, réclammant toujours plus, tout en le serrant contre elle.

Dans une ultime étreinte, ils s'écroulèrent l'un contre l'autre sur leur lit. Essoufflé mais heureux, le ténébreux ramena la jeune femme contre lui. Drhàn releva le menton de sa belle, serrait contre lui, ancrant ces pupilles grises dans les siennes braise.

- Je t'aime. Souffla Drhàn

Adessa ne s'attendait pas a sa, ne sut quoi dire, mais l'amour et la sincérité qu'elle vit dans e regard du ténébreux, la fit fondre.

- Je t'aime aussi Drhàn. Souffla Adessa, émue

Le ténébreux sourit, l'embrassa et la serra contre lui. Ils finirent par s'endormir l'un contre l'autre, alors que l'étoile d'Erxen venait de s'unifiait à celle d'Onyx.

Finalement, alors que la lune était à son apogée, une barque rejoint le port de Théis. Celui-ci était vide, désert, aucune âme qui vive. Le commandant de Thès avait les sens aux aguets, puis il suivit la jeune femme qui le guida dans un endroit reculé du port et de la plage. La princesse de Théis avait déduit, que l'entrevue se tiendra au sanctuaire lunaire. C'était un place surplombant le port de Théis, un ancien temple dédié aux astres de la nuit et du jour en ruine.

- C'est là. Fit Adessa

La princesse de Théis appréhendait ce moment, son cœur battait la chamade mais elle tint bon. Finalement, le prince Vyk finit par sortir de l'ombre d'un pilier.

- Tu es donc venu. Commença Vyk, plus sérieux que jamais

- En effet. Fit Drhàn, sans quitté des yeux le prince de Théis

- Tu n'as pas t'en faire, personne ne se cache dans l'ombre pour attendre le moment opportun pour t'éliminer. Fit remarquer Vyk, avec un petit sourire

Le commandant de Thès perçut de la sincérité dans les propos du prince de Théis, il se détendit. Mais il reste sur ces gardes, ne voulant pas envenimer d'une quelconque manière.

- Tu m'as enlevés ma sœur Adessa. Accusa Vyk, en serrant les poings

- Tu sais pertinemment, comment cela c'est passer. Contra Drhàn

La tension était palpable, les deux hommes se toisaient avec froideur et attention. Pourtant, aucun ne fit quelque chose d'irréfléchi.

- Personne ne le sait en ces lieux, si ce n'est moi et les généraux de la flotte de Miris. Personne ne sait qu'Adessa est morte. Révéla Vyk, plus sérieux que jamais

- Est-ce un reproche ? Demanda Drhàn

- Non. Pas du tout. Cependant, je sais qu'il y a quelque chose, ou plutôt quelqu'un dont tu souhaites avoir des nouvelles. Déclara Vyk

Le commandant de Thès eut un instant le souffle court, il espérait de tout cœur que son cœur ne le trahisse pas.

- Je tiens tout de même à ce que les choses soient claires avec toi. Je n'ai jamais accepté de tel procédé, et étant le prochain monarque de ce royaume. Je n'utiliserais jamais ce genre de méthode, que je n'adhère pas. Mes sœurs ont choisi cette voix, mais pas moi. Et c'est pour cela, que je t'ai envoyé cette lettre. Expliqua Vyk, d'un ton sérieux

Le commandant de Thès ne sut quoi dire, abasourdit, et désarmer par l'acte du prince de Théis. Vyk prit une grande inspiration, puis tendit la main vers le pilonne avoisinant.

- Tu peux sortir. Souffla Vyk

A la grande surprise du duo, une main féminine saisit celle du prince de Théis, et une silhouette se dévoila. Une bourrasque de vent, vint faire tomber la capuche de la mystérieuse silhouette.

- Revyh. Souffla Drhàn

Adessa qui était restait de l'ombre, cacha sa surprise bien qu'au fond cela ne l'étonna guère venant de son cousin. Elle regarda de plus près la sœur du commandant de Thès. Elle était assez grande, brune, à la chevelure ondulée nacré. Elle dût se rendre à l'évidence, Revyh était bel et bien la copie féminine de Drhàn, à ne point douter.

- Drhàn. Souffla Revyh, les larmes aux yeux

Jamais le commandant de Thès n'avait été aussi reconnaissant et plus heureux qu'à cette instant.

- Pourquoi ? Voulut savoir Drhàn

- La guerre n'est pas ce que je souhaitais. De plus, ta sœur n'avait pas y être mêler tout comme le devait être Adessa. Mais les circonstances ne nous ont pas été favorable. Et je te rends ta sœur, car si c'était la mienne, tu aurais fait la même chose. Révéla Vyk

Un profond respect, et reconnaissance envers le princes de Théis naquit dans le cœur du commandant de Thès.

- Il n'y a une chose dont tu t'es trompé prince de Théis. Commenta Dhràn en tendant la main vers Adessa qui était rester dans l'ombre

- Qu'est-ce donc ? Voulut savoir Vyk, surpris

- Adessa n'est pas morte. Et en voici la preuve. Révéla Drhàn

La princesse de Théis se dévoila enfin, alors qu'elle abaissait sa capuche, et qu'elle attrapa la main de Drhàn. Vyk n'en crut pas ces yeux, abasourdit, alors qu'il échangea un regard désabusé avec Revyh .

- Tu es libre. Souffla Drhàn

- Drhàn. Souffla Adessa, ébranlé

La princesse de Théis ne se comprenait plus, elle avait tant rêvé de ce moment. Mais désormais elle hésitait, elle ne savait plus quoi penser. Elle savait pourquoi elle hésitait, mais elle savait que c'était le mieux à faire. Le commandant de Thès finit par hocher la tête, les yeux ancrés dans ceux braise de la jeune femme.

Elle comprit que s'il fallait qu'elle parte, elle devait le faire maintenant. Et elle le fit, bien au-delà de la douleur que criait son cœur. Pourtant, le ténébreux l'arrêta, elle fit volte-face l'interrogeant du regard. Le commandant de Thès délia de son poignet un bracelet, c'était un bracelet en argent. Dont les branches était entremêlés à plusieurs pierre grise orage, un magnifique bijou. Il passa le bijou autour du poignet de la jeune femme, qui ne fit rien pour s'en défaire.

Le prince Vyk fronça les sourcils, surpris mais en profita pour saisir le bras de la sœur du ténébreux.

- Il est temps pour toi de retourner auprès à ton frère . Puisses-tu trouvez ce que tu cherches, et vivre des jours heureux. Déclara Vyk, sincère

Revyh retint ces larmes, elle était contente de revoir son frère et de pouvoir avoir l'opportunité de le rejoindre. Mais désormais son cœur se déchirait en deux, car elle savait qu'elle ne pourrait plus revoir le prince de Théis. Et son cœur en se serra à cette pensée, mais il était temps, ils le savaient tous. Revyh dénoua de son cou, une chainette argenté ou pendait un pierre nacré comme l'était ces yeux, et la passa autour du cou du brun.

- Ainsi je serais toujours avec toi. Souffla Revyh

Le prince de Théis acquiesça longuement, et se retint de l'embrasser et le prendre dans ces bras. Car s'il le faisait il ne pourrait pas la laisser partir. Les duo finirent par se détacher les uns des autres, le cœur lourd.

- Vyk. Souffla Adessa

- Drhàn. Souffla Revyh

Sans attendre, chacune d'entre elle rejoint à la hâte la chaleur des bras de leur frère respectif. Ils échangèrent de longue étreintes le cœur lourd, et soulager.

- Il est temps. Fit Vyk

Pour de bon, les duo finirent par se séparer. Le duo Drhàn et Revyh purent rejoindre sans aucun incident le navire du commandant de Thès.

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