Chapitre 61 : Attaché

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- Vous mentez ! Affirma Revyh en larmes

- Et pourquoi cela ?! Mon ami, mon frère Kiyun est mort ! Et le prince Meros aussi ! Il n'y aucun commentaire à dire dessus ! Répliqua avec colère Vyk en la repoussant

- Meros ne peut être mort, mon cousin ne peut l'être ! Contra en larmes Revyh

Mais Revyh savait que le théisien disait vrai, elle l'avait senti, elle l'avait pressenti au plus profond de son être . Pourtant , elle refusait de l'admettre, maintenant .

- De tout manière que vous l'acceptez ou non, il ne reviendra pas ! Et de tout façon, vous récoltez ce que vous semez ! Répliqua avec colère Vyk

- Comment osez-vous ?! Fit Revyh en arrêtant soudainement par le bras Vyk

- Vous les Thésiens, vous n'avez apporter que le malheur ici dans mon royaume , sur Miris ! Maudit soyez-vous autant tous autant que vous êtes !Jura méchamment Vyk

Ce fut la goutte d'eau qui fit déborder le vase, la gouttelette qui créerait le déluge, l'éclair de trop. Sans que le prince de Théis puisse faire quelque chose, il se prit une claque monumental qui le fait reculé.

- Taisez-vous ! Hurla Revyh

Comme déchaîné, elle se jeta sur le prince , et elle le martela de ces poings, avec rage. Dans la tourmente bien que surpris , par ces actes, Vyk tenta de maîtriser la jeune femme . Alors qu'il avait saisi une des poigne de la jeune femme, elle l'avait violemment mordu . Le prince de Théis laissa échapper un cri de douleur, choqué et déconcerté par le geste. Mais elle ne s'arrêta pas là , malgré sa chevelure courte , Revyh lui tira les cheveux avec rage . Ces attaques arrivèrent à son paroxysme, quand elle planta violemment ces ongles dans l'avant-bras gauche de celui-ci.

- Ça suffit ! Hurla violemment Vyk, en la plaquant sur ces draps avec rage

Surprise, tout d'abord, elle tenta de se débattre, mais Vyk saisit sa dague à sa ceinture et la menaça durement. La lame froide vint se nichait sous la jugulaire de la jeune femme qui s'arrêta net, tétanisé. Elle avait cessé de se débattre, mais ces perles salées s'échappait toujours de ces yeux si beau. Vyk ne put que l'admiré, sa colère s'en était allé. Elle avait vu le prince hésité , puis il l'avait relâché et ranger sa dague.

Malgré la colère qu' il avait ressenti, il n'arrivait pas à en vouloir à cette femme. Il n'arrivait pas à éradiquer ce sentiment de malaise et de culpabilité qui le saisissait lorsqu'il rencontrait ces perles grisâtres. Ces perles grisatres inondés de larmes, dont il en était la cause. Il n'arrivait pas à s'y faire, une rage s'emparait de lui, il se détestait pour la faire pleurer. Il n'avait jamais été un homme violent, irrespectueux , ou même blessant avec les femmes, il les respectait toujours. Mais elle, il y avait bien plus, il l'avait sut dès la nuit ou il l'avait vue emprisonné.

Finalement, il secoua la tête, puis rangea sa dague dans la commode la plus proche. Et sans s'occuper d'elle, il se passa une main dans la chevelure en grimaçant. Il ignora non seulement la morsure qu'il avait sur l'avant-bras, les traces d'ongles sur son autre bras, en passant par la marque sur sa joue .

- Une vraie sauvage . Souffla Vyk

La soeur du commandant de Thès se mordit la lèvre inférieur, et s'asseyant en tailleur. Elle risqua un regard vers son hôte, qui semblait avoir tout les peines du monde. Elle avait certes réagit avec excès, mais il n'y avait pas qu'elle qui souffrait. Et elle l'avait comprit, le prince de Théis aurait très bien put faire d'elle ce qu'il voulait, mais rien.

Revyh ne se comprit pas elle-même, mais elle s'approcha du prince. Sans réfléchir, elle saisit le visage du prince à la dérobée. Puis elle scella ces lèvres aux siennes, bien que surpris, Vyk  répondu à son baiser. Avant qu'elle ne comprenne plus, Vyk lui déroba un autre baiser auquel elle s'abandonna. Front contre front, ils reprirent doucement leurs souffles, les yeux clos.

Vyk finit par saisir le visage de la jeune femme entre ces doigts, avec délicatesse. Une tel douceur, qui ébranla le cœur de la thèsienne. En croisant ces yeux bleus, qu'elle qualifiait d'hypnotisant et de magnifique, elle comprit. Alors qu'elle allait de nouveau l'embrasser, le prince l'arrêta net .

- Il faut que tu sois certaine de ce que tu veux. Fit Vyk, le plus sérieux du monde

Vyk ne put s'empêcher de caresser du dos de sa main, la joue de la jeune femme, appréciant sa douceur. Mais surtout le contact de sa propre peau contre la sienne. Il n'était pas dupe, elle avait bouleverser son quotidien, mais elle avait aussi fait plus. Elle lui avait dérobé ce qui lui faisait vivre, ce qui lui faisait respirer. Il l'avait compris dès l'instant où elle s'était tenu devant lui, il avait essayé dur comme fer de la repousser. Mais en vain, pourtant quand elle l'avait embrasser de son propre chef. Il avait entrevue autre chose que cette foutu guerre, ces morts , ces cris d'agonies. Il avait vue , la vie, l'amour, le bonheur.

- Je n'ai jamais été aussi certaine de tout ma vie. Affirma Revyh , les yeux ancrés dans ceux du prince.

Oui , elle voulait cet homme auprès d'elle, être dans ces bras , le soutenir , l'aider. Oui malgré le peu de temps qu'elle avait passé avec lui. Elle ne pouvait niée l'évidence, elle était tombé éperdument amoureuse de lui. Malgré les disputes, malgré la haine, la méfiance, elle n'avait pas réussi à rester de marbre face à lui.

Vyk finit par saisir la nuque de la jeune femme et sceller ces lèvres aux siennes. La seconde d'après une froissement de tissu se fit entendre , et la toge de la jeune femme, s'échoua sur le sol plus loin. Alors que Vyk ne cessait d'embrasser Revyh, en ajoutant plus de passion et de sensualité. Vyk enleva sa tunique qu'il envoya valser plus loin. A peine ces mains avaient quittés le corps frêle de la jeune femme, que celles-ci revinrent continué ce qu'elle faisait.

Vyk ne put s'empêcher de frissonner au contact des mains de la jeune femme sur son torse. Ces mains caressait chaque parcelle de peau de sa belle, sans cesser de l'embrasser. Alors que Revyh entremêler dans tout ces nouvelles sensations, s'abandonnait . Elle frissonnait à chaque baiser, chaque caresse de la part de son partenaire, désirant toujours plus.

C'était un supplice et un véritable plaisir pour elle, et pour lui aussi. Désormais, elle se retrouvait allongeait sur les draps, et les seuls remparts des vêtements qui lui restait. Enfin vêtement, était des morceaux de tissus, qu'elle avait soigneusement bandés autour de ces parties intimes, et sa poitrine.

Vyk s'arrêta, ancrant ces pupilles dans celles de la jeune femme, lui demandant son autorisation. Revyh acquiesça ébranlé par la tendresse, et le désir mêlés brillant dans les yeux de son compagnon.

Vyk la délia de ces derniers remparts de tissus sans attendre, adoptant des gestes délicats et emprunt de passion.

Alors que Revyh se retrouvait mise à nue devant Vyk soudainement gêné , elle chercha à caché son corps. Mais ce n'était pas de l'avis du prince, qui l'arrêta d'un geste, un sourire narquois sur les lèvres.

- Tu es magnifique. N'en doute pas. Souffla Vyk

Pour la détendre, Vyk l'embrassa ce qui eut l'effet estompé elle y répondit volontiers. Puis la seconde après, Vyk malaxa, et câlina la poitrine généreuse de sa belle. Il savoura chaque parcelle de peau ,chaque téton, chaque gémissement, plainte de sa belle.

- Oh Vyk ! Soupira d'aise Revyh en se cambrant

Vyk sourit tandis qu'il déposa une traînée de baisers brûlants sur le corps de la jeune femme, en s'attardant sur sa poitrine. Revyh était submerger par des sensations divines, des émotions si forte. Elle saisit de nouveau le visage de son amant entre ces mains et l'embrassant avec passion.

- Fait de moi une femme. Demanda Revyh , sérieuse

Vyk comprit que malgré son désir envers cette femme, qu'elle était pure et que malgré le désir qu'ils ressentaient. Il voulait être sûr de sa décision, car ils ne pourraient revenir en arrière.

- Tu en est certaine Revyh de m'accorder ta pureté ?Demanda Vyk, sérieux

- Oui, je ne veux t'accorder qu'à toi un tel privilège, je veux t'appartenir. Affirma Revyh plus que jamais sérieuse

Vyk se mordit la lèvre inférieur, puis finit par sceller ces lèvres à celles de la jeune femme avec passion. Désormais, ils étaient nus comme le premier jour de leur naissance. Pour la détendre, le prince embrassa la jeune femme, et la rassura. Il finit par se positionnais entre les jambes de celles-ci, et attendre, qu'elle lui dise oui.

Sans la saisir charnellement, il se positionna au plus près d'elle, sans l'écrasait non plus. Puis, il noua ces doigts aux siens, puis alors qu'il l'embrassa avec passion, ils ne firent plus qu'un . Revyh se crispa, face à la douleur, alors que Vyk la rassura. Alors que la douleur sembla s'estompe, et que Vyk allait se retirait de sa belle. Elle l'arrêta net.

- Je ne suis qu'à toi. Souffla Revyh

Le prince de Théis la serra contre lui, en l'embrassant. Sans attendre, il entama des vas et viens tout d'abord, doux puis encourager par les gémissements de sa belle, il accéléra. Sans cessait de l'embrasser, de la cajoler, Vyk apprécia leur union charnel. Revyh entraînait dans leur plaisir, accorda ces mouvements à ceux de son amant. Appréciant le sentir au plus profond d'elle mais aussi, si passionné. Elle ne savait plus donner de la tête, tellement le plaisir qu'ils ressentaient était enivrant, exaltant.

Vyk accéléra la cadence davantage, alors que les draps étaient froissés par leurs étreintes charnels. Mais encore alors, que le claquement de leurs corps distinct se faisait entendre, tout comme leurs gémissements de pure plaisir.

- Mon amour ! Gémit Revyh en lacérant le dos de Vyk de ces ongles

- Ma chérie...Gémit Vyk, sans s'arrêter

Le lit du prince tremblait sous leurs étreintes charnelles, alors que les gémissements redoublaient d'intensité.

Dans un ultime embrasement des corps , le couple atteignirent l'apogée de leur ébat. Ils finirent par s'écrouler l'un contre l'autre, rebût. Revyh et Vyk s'embrassèrent ,puis le prince se délivra de l'emprise de sa belle. Tout de suite, après il ramena la jeune femme contre lui, et lui embrassa le front.

- Je t'aime. Révéla Dyk en regardant la jeune femme

- Je t'aime aussi. Répondit Vyk

Le couple échangea une étreinte, puis s'endormirent l'un contre l'autre sans se souciait du reste.

Vyk se réveilla en premier, il porta ces yeux sur la jeune femme qui dormait contre lui. Il avait passait une magnifique nuit, et aurait préféré que jamais le jour ne se lève.

Mais la réalité les avait rattrapés, et il ne pourrait pas l'éviter. En jetant un coup d'œil à celle qui dormit. Il prit sa décision, même si cela lui faisait mal au cœur.

Sans attendre en délicatesse, il décala doucement la jeune femme, puis alla prendre une douche. Il finit par quittait en douce ces appartements.

- Tout est prêt ? Demanda Vyk à la l'orée de la forêt

- Oui mon prince. Répondit Romir

- Bien, vérifie que tout soit prêt je m'occupe du reste. Fit Vyk

Romir s'inclina avec respect puis disparut du champ de vision du prince. Il revint à ces appartements, et trouva Revyh en train d'observer la palais.

- Tu es réveillé. Souffla Vyk , en apparaissant

Avant que la jeune femme ne puisse faire quelque chose, Vyk l'avait attiré à lui, et l'embrassa fougueusement . Ce fut à ce moment- là que Nyk fit une entrée fracassante dans la chambre de son frère les interrompant.

- Navré de vous interrompre. Mais la flotte de Miris est arrivée. Expliqua Nyk

Revyh se cacha honteuse derrière Vyk qui finit par la saisir et la serrait contre lui.

- Reste là. Demanda Vyk

Elle acquiesça tandis qu'il lui embrassait le front , et rejoint son frère. Ils disparurent par un passage secret, alors que Nyk indiquait à la jeune femme que sa fiancée n'allait pas tarder .

- Fermes-là. Je ne veux pas t'entendre. Fit Vyk en marchant rapidement

- Quoi ? Mais je n'ai rien dit. Affirma Nyk, faussement outré

- Oui, c'est cela en effet. Affirma avec ironie Vyk

- Elle embrasse bien ? Taquina Nyk

- Nyk ! S'écria Vyk

Ni une ni deux, le prince Nyk déguerpit vers le port dans un grand éclat de rire pourchassait par son frère aîné.

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