Chapitre 51 : Rapport maudit

Après l'incident avec Paris, la princesse de Théis avait été reconduit dans la cabine du ténébreux.

Pourtant, elle n'arrivait point a rester tranquille, faisant les cents pas. Elle avait désormais peur de ce qu'il allait se passer désormais.

Drhàn rentra dans ces quartiers assez tard, mais trouva la jeune femme a l'attendre.

- Tu ne dors pas? S'enquit Drhàn en s'approchant  de son armoire

- Je n'ai pas réussit a trouvé le sommeil. Commenta Adessa

Le commandant de Thès la détailla, tout a l'heure,  il avait eut si peur que Paris lui ôte la vie.

Finalment, il vint a sa rencontre contrairement a d'habitude,  il n'y avait plus cette haine. Il n'y avait plus cette haine flamboyante qui animait ces si troublantes pupilles. De plus, elle ne reculait plus devant lui, elle ne le craignait plus.

- Tes marques? Demanda Drhàn en se plantant juste devant la jeune femme

- Plus de peur que de mal. Tu es arrivé a temps. Fit Adessa

- Laisse-moi m'enquir personnellement de cela. Conclut Drhàn

Le commandant de Thès decalla délicatement les boucles brunes de la jeune femme. Ces doigts vinrent frôler les marques d'étranglements rouge vif qu'avait laisser Paris sur le cou de celle-ci.

La princesse de Théis frissonna au contact des doigts du ténébreux sur sa peau, pourtant elle ne le repoussa pas. Se contentant de le laisser faire et de le regarder.

*Que les dieux me préserve du charme et le beauté de cet homme*pria Adessa

Le commandant de Thès retracta ces doigts, et serra les dents.

- Ce n'est pas de ta faute Drhàn. Affirma Adessa, sans le quitté des yeux

Le commandant de Thès fut surpris qu'elle ait comprit ces pensées. Mais depuis un moment, il s'était aperçu a son plus grand damne. Qu'elle pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert ce qu'il faisait a son égard.

- Tu savais qu'il avait changé. Pourquoi ne pas m'avoir prévenu? Reprocha soudainement Drhàn

- Il est parfois plus difficile d'admettre et de faire face a ceux pour qui on aurait donner sa vie. Et je n'étais pas certaine que tu me crois. Plaida Adessa,  avec sérieux

Ô le commandant de Thès dût reconnaître qu'elle avait raison, oui terriblement raison. Si Paris n'avait pas tenté de tuée la jeune femme, et avouer qu'il était a l'origine de son empoisonnement jamais il ne l'aurait crut.

- Comment l'as tu découvert? Voulut savoir Dhràn curieux

- Peu avant ma prise d'otage. Quelque chose, avait changé dans son regard dqns ces gestes. Et je l'ai vu verser le poison dans ta coupe. Hazel était aussi au courant. Raconta Adessa

- Hazel? Déclara en serrant les dents Drhàn

- Il avait peur de te le dire, c'était sa parole contre la sienne. Tu aurais crut Paris, pas Hazel. Trancha Adessa avec fermeté

Le commandant de Thès ne dit rien, mais était furieux contre lui-même. Comment avait t-il put si aveugle? Si bête? Il finit par se détournait d'elle.

- Hé. Lança Adessa en retenant le bras du ténébreux

Le commandant de Thès tenta d'ignorer le doux frisson qui le saisit au contact de sa peau contre celle de la jeune femme.

- Ce n'est pas de ton fait. Affirma Adessa

Mais elle savait qu'il n'en tiendrait pas compte. Le ténébreux jeta un énième coup d'œil au cou de la jeune femme. Il serra les poings, puis tourna la tête.

Mais elle ne laissa pas faire, et posa l'une de ces paumes sur la joue du ténébreux l'intimant à la regardait.

- Ces marques disparaîtront. Affirma Adessa sur d'elle

Le commandant de Thès ne quitta pas des yeux  la jeune femme. Ces yeux gris argenté ancrée dans ceux braise de  la jeune femme. Les yeux du ténébreux s'attadèrent avec intensité  sur les lèvres de la jeune femme. Des lèvres qui semblait le tentait beaucoup trop.

Finalement, le ténébreux céda a cette femme, a ce fruit defendu, a ce péché.

Le ténébreux attira la jeune femme a lui, et l'embrassa avec passion. Et contre tout attente, elle ne le repoussa pas.  

Bien que déconcerté, la princesse de Théis ne réussit pas et ne tenta même pas de résistait au ténébreux.

Elle répondit volontiers au ténébreux, alors qu'il la serrait davantage contre lui.

Oui, Adessa s'abandonna à ce baiser,  à cette étreinte que le ténébreux lui donnait.

Finalement, Adessa mit fin au baiser, alors qu'elle reprenait tant soit peu son souffle. 

Drhàn colla son front a celui de Adessa.

- Nous n'avons pas le droit. Affirma avec regret Adessa

- Ce qui est fort dommage. Affirma Drhàn

Le couple se détacha, mais alors que la princesse de Théis lui tournait le dos.

Dhràn se glissa derrière elle, passant l'un de ces bras par-dessus les épaules de celle-ci.

Adessa tembla mais se retourna a peine, Dhràn sourit et scella de nouveau ces lèvres aux siennes.

Quand le baiser prit fin, le ténébreux serra fortement contre lui, et lui embrassa la tempe.

Oui, ils n'auraient pas dût ils le savaient pertinnement. Mais le mal était fait.

Le soir venue,  ils ne dormirent pas séparément et l'un contre l'autre.

Là contre son coeur, contre lui et surtout dans ces bras, blottit au plus près de son coeur.

Adessa sût, oui pour cet homme elle savait qu'elle pourrait faire n'importe quoi.

Elle avait comprit enfin, pourquoi elle n'avait sut se resoudre a l'éliminer. Car son coeur lui savait à l'instar de sa raison qui lui avait crier de l'achever.

- Tu vas bien? Demanda Dhràn

- Oui. C'est rien. Affirma Adessa

Le ténébreux savait ce qui préoccupait la jeume femme, ce qu'il s'était passé la taraudait.

Non, il était certain qu'elle ne regrettait rien mais il n'y avait pas qu'eux malheureusement.

Bien au-delà de tout chose, elle était cette chose qu'il s'était defendu de détenir, défendu d'approcher et de trop s'en approché.

Mais il avait faillit, car il savait qu'elle était cette part de lumière,  cette flamme qui brillait dans la nuit, cette étoile qui ne brillait que pour lui.

Cependant, il savait aussi qu'ils ne pourraient  rester éternellement comme cela.

- Nous ne pouvons...Souffla finalement Adessa en se relevant

- Oui. Accorda Drhàn

Le ténébreux commandant se garda de luibdire. Qu'il ne la voulait que pour lui, qu'il ne pouvait la laisser s'en aller.

Mais il le devait.

Finalement, le ténébreux déposa un baiser chaste sur le haut du front de la jeune femme.

Qu'importe le reste, il n'y avait plus rien qui compter si ce n'est leurs doigts entrelacées, et la présence de l'un de l'autre.

- Commandant. Appela Ombras, en frappant trois coups distinct à la porte de la cabine de son commandant

- Entre. Recommanda Drhàn

- Ombras entra finalement dans la cabine du commandant ténébreux et le salua le poing sur le cœur.

Adessa se demanda si elle devait sortir ou pas, mais le commandant choisit pour elle.

- Tu peux parler. Fais-moi ton rapport. Qu'est-ce qu'il y a ? Un problème? Demanda Drhàn en arrêtant d'étudier les cartes sur lequel il était penché

Intérieurement, le commandant de Thès remercia le soldat car il était sur le point de chiffonner et réduire en charpie les cartes de navigation. Dont il ne comprenait rien, mais trop fière il n'avait pas voulu demandé de l'aide

- Je suis vraiment désolée de vous opportune commandant Drhàn mais je me dois de vous informer. Commença Ombras, le ton grave

Le commandant de Thès sentit comme un mauvais pressentiment le saisir. Il savait qu'il n'allait pas aimer et apprécier le rapport de Ombras.

- Parle. Intima Drhàn

- Navré de vous l'apprendre mais... Dame Revyh de Thès, votre sœur a été enlevée. Lâcha Ombras, d'une voix grave

Le commandant de Thès qui tenait une coupe de verre dans les mains, vu celle-ci volait en éclats.

Sous la stupeur, Adessa laissa échapper un petit cri et porta ces mains devant sa bouche, choquée.

*Sa sœur kidnappé mais par qui?!* songea la commandante de Théis

- Tu dois faire erreur. Affirma Drhàn sans se soucier des éclats de verres

- Je regrette commandant mais je suis formel. Affirma Ombras d'un ton sérieux

- Ma sœur ne peut être victime d'une telle chose! Tu sais pertinemment que sa garde personnel ne la quitte jamais. Qui plus est, Karhan est avec elle. Répliqua Drhàn d'un ton sec

- Je suis vraiment désolée commandant. Mais tout la garde personnel de Dame Revyh a été décimé, même Karhan a été éliminé. Confia gravement Ombras

*Karhan éliminé?!* songea avec horreur le commandant de Thès

Il serra les poings à un tel point que ces jointures devinrent blanches.

- Qui? Demanda sombrement Drhàn

Ombras hésita devait-il parler? Il ne sut quoi faire mais adressa un regard à la princesse de Théis qui tique.

Quand elle perçût l'éclat du regard de Ombras, elle comprit qu'elle y était mêlait.

*Grandeur des dieux*songea la commandante de Théis en avalant difficilement sa salive

- Ce sont les miens n'est-ce pas? Souffla d'un ton grave Adessa

Le commandant de Thès détourna violemment son attention sur la jeune femme Théis qui semblait être au pied d'un gouffre.

- Oui. Lâcha soudainement Ombras

Adessa savait qu'elle allait prendre chère oui car elle savait que le ténébreux penserait qu'elle été complice de tout cela.

Le commandant de Thès comprit alors enfin. C'était sûrement un coup monté de la part de cette vil femme. Elle l'avait attiré à lui telle une araignée dans sa toile, ou tel une rose dont il avait fini par oublier dard menaçant et les épines.

Sans demander son reste, le commandant de Thés prit d'une rage sans précédent brisa la distance qui les séparait.

Il saisit violemment la princesse de Théis, et l'étrangla a un tel point qu'elle ne touchait plus terre.

- Espèce de ... Commença Drhàn enragé, sa poigne enserrant davantage le cou de la jeune femme

- Drhàn...Tenta Adessa tout en essayant de se défaire de la poigne du commandant de Thès

Ombras ne s'était pas attendu a sa, mais il s'empressa d'intervenir.

- Commandant Drhàn je vous en prie! Pria Ombras, en tentant de défaire la poigne de son commandant sur la gorge de la commandante de Théis

- Pourquoi la défends-tu?! S'écria Drhàn en repoussant sans ménagement le soldat, mais en enserrant davantage le coup de la jeune femme

- Mon commandant. Quel que soit les accusations que vous lui portez. Dame Adessa reste une femme, est une femme respectable à qui je dois beaucoup! Et ce n'est point dans vos habitudes de traiter une femme ainsi, même si elle est notre ennemi. Confia d'un ton sérieux Ombras sans quitté des yeux le commandant de Thés

Il était rare que Ombras s'oppose à son commandant. Mais le commandant ténébreux avait vu, et remarquer que ces soldats quel qu'ils soient s'étaient on ne sait comment, attacher à Elle, attaché à Adessa.

Et c'était cette attachement envers elle qui pousser même le plus dévoué de ces hommes, à s'opposer avec verve et ferveur envers lui.

Adessa sentit les larmes perlait, et le souffle lui manquait tandis qu'une fois de plus, elle sentit la mort l'approcher pour la cueillir.

*Et moi qui voulait une mort honorable et digne*songea avec ironie Adessa

La vue de la commandante de Théis se brouilla, et tout commença à perdre de sa couleur.

Le commandant de Thès sentit le relâchement de la pression qu'elle exerçait sur sa poigne pour s'en délivrait brusquement.

Ces pupilles grise métal croisèrent ceux braises éteintes de la commandante de Théis.

La seconde plus tard, il relâcha sa prisonnière qui s'écroula telle une poupée de chiffon sur ces draps. Quasiment presque sans vie.

*L'ai-je tuée?*songea avec une soudaine culpabilité le commandant de Thès

Il n'osa même pas s'approcher de nouveau d'elle.

Ombras resta interdit croyant que la mort avec emporté la dame.

La commandante de Théis finit par reprendre son souffle, et se relevait tant bien que mal pour reprendre son souffle.

Adessa réussit à s'asseoir et essuya du revers de sa main, les larmes qui s'écoulait sur ces joues. Elle frôla imperceptiblement les marques qui ornaient son cou. Elle frissonna en repensant comme elle se l'était faite. Cette fois-ci celles-ci n'étaient pas une erreur mais réel et cela lui lacerait le cœur.

- Laisses-nous. Ordonna d'une voix froide Drhàn

Ombras ne se fit pas prier et s'en alla bien qu'il aurait aimé rester.

Le timbre de la voix du commandant de Thès fit trembler la jeune femme. Oui, elle avait désormais si peur, jamais elle n'avait eu si peur même quand elle avait été enlevé par le passé.

Drhàn avait montré cette facette de lui-même qui faisait de lui l'homme le plus craint de Thès.

- C'était un piège non? Tout cela n'était une mise en scène ? N'est-ce pas? Fit remarquer Drhàn survolté

- Comment cela? Demanda Adessa , d'une voix métallique

- Tout cela n'est donc que fourberie et mensonge non? Tu m'as approché, m'a quasiment envoûté. Et comme un con, un abruti j'ai fonçais tête baissé. Reprocha Drhàn

- Tu te méprends sur mes intentions sur toute la ligne. Quel intérêt aurais-je eut de me faire capturer par toi ?! J'ai eus maintes occasions de te tuer pourquoi ne l'ai-je pas fait dans ce cas? Et personne ne peut avoir un esprit aussi tordu! Ne le crois-tu donc pas? Plaida Adessa en faisant face au ténébreux

Mais la commandante de Théis, sut qu'il ne la croyait pas. Ces perles grises étaient froides, sans chaleur, et une haine qu'elle ne lui connaissait pas briller dans ces yeux. Cette haine qu'il ressentait dès à présent envers elle.

- Peut-être était-ce aussi dans tes plans? Te montrait si frêle, si fragile afin de susciter mon intérêt et mon attention non? Tu parles de Hazel, du roi Ilan mais tu ne vaux pas mieux qu'eux. Au moins eux, ne cachait pas leur sombres plans, derrière des bonnes intentions et des sourires. Crasha Drhàn

*Quoi?! Elle comme eux?* songea avec horreur Adessa

La commandante de Théis sentit sa main la démangeait et la leva dans l'intention de le frapper.

Mais son geste fut arrêter, et elle fut violemment plaquer contre le mur le plus proche.

- N'essaye même pas! Contra Drhàn, d'un ton sec

Elle ignora volontairement la douleur cuisante qui la saisit, elle avait senti une sorte de lame ou on ne sait quoi pénétré la chair de son dos.

Le commandant de Thès relâcha subitement la princesse qui se décolla du mur en grimaçant.

Elle sentit du sang mouiller le dos de sa tunique et celui-ci s'écouler le long de son dos mais le cacha bien. Tout comme les goutes qui touchèrent le sol.

- Tu ne peux pas savoir à quel point je maudis le jour où je t'ai rencontré. Lâcha soudainement Drhàn , les yeux parsemés d'éclairs

La commandante de Théis tenta d'ignorer la douleur cuisante qui lui saisit le cœur et qui la transperça.

Même une lame plantait en plein cœur n'aurait pas fait autant de mal à la princesse de Théis.

Sans était trop, vraiment trop pour elle, et elle prit la seule alternative

- Tu sais quoi? Ça ne sert à rien de discuter avec moi. Oui, je suis vil, fourbe et bien pire encore. A quoi tu t'attendais? Mentit Adessa

- Tais-toi. S'écria Drhàn

- Non je ne me tairais pas, oui j'ai fais capturait ta sœur. Oui elle est entre mes griffes et s'il m'arrive malheur. Alors, ta sœur succombera tout comme moi. Assena sans aucune pitié Adessa

Oui elle allait trop loin, et elle le savait mais il ne l'épargnerait pas.

Ce fut trop, la goutte d'eau qui fit débordait le vase, le caillou qui provoque l'irruption volcanique.

Sans qu'elle ne fasse rien pour l'éviter, la seconde après Adessa recula chancelante la joue comme brûlé.

Le commandant de Thès ne mesura pas la puissance de sa rage mais la comprit pleinement quand il vit la jeune femme chancelait, déséquilibré.

Il venait de faire ce qu'il s'était juré de ne jamais faire. Il venait de lever la main sur une femme. Il venait de giflé la jeune femme violemment.

La gifla avait été monumental et violente oui, elle l'avait appris à ces dépends.

Pourtant, Adessa fut incapable de lui en vouloir.

Elle porta la main à sa joue gauche violacé et brûlante.

Le commandant de Thès avala difficilement sa salive, tandis que sa main tombait mollement le long de son corps.

*Qu'ai je fais?* songea gravement Drhàn

- Oui tu t'es fait avoir comme un idiot. Laissa échapper Adessa

Comme pour lui faire payer ces paroles emparé d'une grande colère.

Le commandant de Thès revint vers elle, la saisit par le bras sans aucune délicatesse.

Et il scella avec rage ces lèvres à celles de Adessa, elle tenta de se défaire de sa poigne mais en vain.

Quand il rompit le baiser, des larmes salées traîtresses dévalèrent les joues de la princesse de Théis.

- Tu me dégoûtes. Persifla Drhàn d'une voix emplie de dégoût

Ces trois mots furent comme le coup de grâce pour la princesse de Théis. Son cœur qui était si vaillant, téméraire vola en de milliers d'éclats.

Elle n'eut même pas la force de frapper le grand guerrier, n'ayant plus aucune énergie.

- Oh je l'ai bien compris. Commenta Adessa, sans quitté des yeux Drhàn

Intérieurement, il se dégoûtait de la traiter ainsi, car il savait au fond de lui que c'était la rage, la colère qui le poussait à faire ça. Car il avait vu, il avait vu la sincérité dans ces propos, elle n'y était pour rien.

Il percevait dans ces pupilles qu'il adorait tant, une douleur sans nom, et un grand chagrin. Oui il avait été trop loin et il sentit son cœur se fissurait dans sa poitrine.

Ne pouvant se résoudre à croiser de nouveau les yeux braise de la jeune femme, il recula tourna les talons et quitta à la hâte sa cabine.

Dès qu'il quitta la cabine, Adessa éclata en sanglots ce qu'elle n'avait plus fait depuis longtemps. Elle pleura des heures et des heures jusqu'à qu'elle n'aient plus de larme, recroquevillée et les genoux plient contre sa poitrine.

Finalement, elle se releva tant bien que mal, et se dirigea vers la salle de bain. Elle finit par s'y rendre et se lavait contentieusement le cœur en peine et emplie de chagrin.

C'est là qu'elle vit sa blessure, une plaie verticale barrait ces omoplates. Rouge vif et profonde.

Elle la désinfecta tant bien que mal, et réussit au prix d'efforts surhumains à la bander. Puis elle se vêtit d'une grande tunique marron et sortit. Sa vue se brouilla mais elle se tint contre le mur, pour atteindre au plus près le lit du ténébreux .

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