La bataille allait commencer, celle-ci se déroulait dans une zone quasi désertique dont le désert aride était maître, et dont plusieurs colonnes de sables endurcies par les années s'imposaient. La bataille se déroulait à la frontière Nord-Est du Royaume de Klénors et aux abords de la frontière Sud du Royaume des Quatre, dit « Royaumes côtiers nomades » par sa situation géographique.

Le vent faisait naquirent plusieurs petits tourbillons, mais rien n'arrêtait la progression des troupes qu'importe qu'elles soient de Miris, ou de Thès. Le sol tremblait tandis que l'éclat du métal brillait à la lueur des rayons du soleil. Les armées de Thès faisait face à celles de Miris, tous d'eux prêtent à en découdre qu'importe serait le prix à payer. Chacun avait ces raisons, d'autres pour des intérêts politiques, certains pour leurs dignités, et leurs honneurs, d'autres pour la joie de combattre mais encore la soif de sang.

Mais une chose était certaine, il n'y aurait aucune pitié, aucun prisonnier, aucune issue, si ce n'est la porte directement pour les entrailles de la Terre. Les dieux n'allaient pas s'en mêler, car l'homme n'en faisait qu'à sa tête, quelques soit leurs destins et les prophéties.

Un grand ténébreux à la chevelure de jais qui était balayé du vent, se présenta devant plus d'un milliers d'hommes, dans ces yeux noirs abyssaux brillait une lueur de détermination sans fin et de vengeance.

— Pour la justice et la gloire ! Pour Théis, pour la reine Ilyana ! Scanda le prince Rhun en brandissant son épée,

Un tonnerre de cri de guerre s'éleva des troupes tandis que les soldats brandissent leurs boucliers et leurs épées dans une vague menaçante d'éclat d'aciers et de lames.

— Pour Miris ! Scanda le prince Eden, en brandissant son glaive

Le prince Eden fit galoper son étalon pour se mettre en première ligne, près pour l'assaut, faisant volée sa chevelure dorée courte, tandis que ces yeux verdoyants ne quitté par leurs ennemis des yeux.

Les cris se répercutèrent partout tandis que la terre tremblait sous leurs pieds, comme le ferait un tremblement de terre. Mais ce n'était pas un tremblement de terre ordinaire, c'était un tremblement de terre d'hommes, d'armes et boucliers.

— Pas de pitié ! Pas de prisonniers ! Préparez-vous à la gloire ! Hurla le prince Tanos en brandissant sa lance et son bouclier

Devant eux se tenaient Kyl , Derk et Taos, qui faisait partie du Royaume des Quatre, dit « Royaume côtier nomades » prêt pour la bataille prêt pour tout détruire. Les capes noires des Théisiens volait au gré du vent, amenant avec eux une promesse de mort imminente et sans pitié envers leurs ennemis.

Les deux camps se faisait face, prêt à entrer dans la bataille, une bataille qui allait rester dans les mémoires et dont on ne cessera de compter dans le futur.

— A l'attaque ! Hurla le prince Thys en brandissant son épée

Immédiatement après, les soldats s'élancèrent vers leurs ennemis lame et bouclier brandit, dont leurs ennemis qui firent de même. Les deux camps se rencontrèrent avec fracas et force, impossible de dire qui avait le dessus ou non.

Le bruit des épées s'entrechoquant envahit les lieux, surmonter par les cris sans pitié des soldats et le son du sang qui giclée partout. Les soldats se battaient avec rage, et détermination, certains tombaient d'autres se relevaient plus enragés que jamais. La guerre ne faisait aucun cadeau et aucun prisonnier.

La lance du prince Tanos de Taos, ne ratait jamais sa cible, tandis qu'il frappait sans aucune pitié de son bouclier tous ceux qui tentait de l'atteindre mortellement. Faisant de ce fait tournoyer sa cape noire maculé de sang et de sable au gré d'une brise glaciale. Le prince Tanos de Taos, tournoya sur lui-même faisant tournoyer sa chevelure étrangement blanche nacre dans les airs, dont son casque les maintenait fermement. Le prince aîné de Taos surveiller de loin la progression de son frère cadet, le prince Thys dont il voyait la chevelure de nacre être malmener à cause de son combat acharnait contre ces ennemis.

— Boucliers ! Hurla Tanos

Immédiatement, les guerriers les plus prêts formèrent une formation en triangle dont le prince Tanos était la pointe, tous brandissant leurs boucliers et leurs lances.

— Avancez ! Ordonna le prince Tanos avec force

Ensemble, les guerriers drapés de noirs affrontèrent le plus gros de leurs ennemis, et tentèrent de percer une brèche dans la défense ennemie.

— Allez ! Plus fort ! Hurla le capitaine Beom d'une voix forte

— Vous êtes des femmes ou quoi ?! PLUS FORT, vous pouvez mieux FAIRE ! Ordonna Tanos ENSEMBLE ! Hurla le capitaine Beom

Le mur de Thès allait tomber, qui sais ?

— Pour l'amour de Thès, soyez impitoyable ! Soyez sans cœur ! Scanda le roi Kylden

Le roi de Kylden était un homme assez âgé, mais qui n'avait pas perdu de sa superbe, et attendait avec impatience d'abattre son glaive sur ces ennemis, et dont ces yeux étrangement violets, brillait de haine et de rage. Oui la guerre était aux portes de Théis, et il écraserait leurs ennemis même s'il devait mourir pour cela.

Les guerriers de Thès étaient drapés de capes grises qui n'en finissait pas, s'étendant à pertes de vue. Alors que le camp de Théisiens lança l'assaut, les guerriers formèrent un épais barrage, imparable boucliers et lances menaçantes.

— Pas de pitié, pas de quartier ! Tuez-les jusqu'aux derniers ! Scanda le prince Zyan de Boohro, une lueur de malveillance animant son regard , tout en brandissant son épée à double tranchant

Les soldats de Thès hurlèrent de rage, et lancèrent des cris de guerres, trépignant d'impatience alors que les premiers soldats Théisiens approchait dangereusement.

Le prince Zyan de Boohro, était un grand ténébreux à la peau pâle dont sa haute chevelure de jais fine était renouée ont une haute queue de cheval sertie d'un casque à l'étoffe grise, ces yeux noirs ténèbres était noyé dans la haine. Oui il détestait tous les mirisiens sans exception pourquoi ? Car c'était à cause d'eux qu'il venait de perdre sa marraine, et jamais il ne leur pardonnera. Et pour lui, à cette instant, le seul moyen de leur faire payer était de répandre le sang de ces ennemis.

— Éliminez ces fils de chacals et de chiennes ! Hurla le prince Shin de Syrhs sans aucune pitié

Un tonnerre de cris de guerre lui répondit tandis que tous brandissaient leurs armes alors que les premiers affrontements explosèrent avec fracas. Le prince Shin possédait une chevelure courte de jais, un teint pâle, et des yeux aussi noirs que les ténèbres, il ressemblait beaucoup au prince Zylan de Boohro, dût surement à leur lien de parenté, en effet ils étaient cousins.

Le prince Shin avait désormais une soif de sang insatiable, et il trépignait d'impatience, ayant hâte de sentir sa lame déchirait de la chair, et faire giclée du sang partout. Pourquoi ? Il avait appris que sa mère, la reine Yuniss avait péri par la lame de la commandante de la flotte de Théis, et il allait lui faire payer, mais pour le moment il allait se faire un plaisir de tuer tout homme qui croiserez son chemin.

Les bataillons se rencontrèrent avec fracas, mais les armées de Thès avait dressez un mur, dont les Théisiens peinait à fragilisez.

— Archets ! Interpella Tanos

Immédiatement, trois lignes d'archets se positionnèrent en seconde position, prêt pour l'assaut.

— Lanciers ! Interpella Thys

Immédiatement, des lignes de lanciers vinrent appuyer les murs de boucliers attendant le moment opportun et les ordres des princes de Taos. Le prince Taos perçut une faille dont les lignes ennemies, et la saisit.

— Archets maintenant ! Hurla le prince Tanos

Les projectiles fusèrent, dont la défense Thésienne ne put s'en protéger, ayant perçu la menace trop tard, les flèches de Théis , décimèrent plus d'un milliers d'hommes au grand plaisir des armées de Théis. Le prince de Tanos , ne laissa aucun répit a leurs ennemis qui tentait tant bien que mal de reformés les rangs.

— Lanciers maintenant ! Hurla le prince Tanos

Les lances firent un carnage, brisant la défense Thésienne qui chancela sous l'horreur des Thésiens.

— A l'attaque ! Hurla le prince Thys au galop épée brandit

Le prince Eden sauta de sa monture au moment où celle-ci s'écrasa, il fit un rouler bouler dans la sable et se releva à la hâte, évitant la lame d'un soldat qui aurait pu lui sectionner la jambe gauche.

*Ouf*songea le prince de Derk en brandissant son épée

Le prince Eden tournoya sur lui-même trancha la tête d'un soldat ennemis, s'abaissa tandis que sa lame épousait l'abdomen d'un autre, et qu'il entailla sérieusement la cuisse d'un autre soldat qui s'écroula dans une mare de sang en criant. Déséquilibré, il glissa et s'étala dans la sable, il se décala de justesse alors qu'une hache s'abattait sur lui. Il fit un rouler bouler sur le côté, et sa lame trancha sans pitié, le poignet de l'homme qui avait tenté de le découper de sa hache.

Il s'écroula en criant, le prince Eden saisit le moment, et abrégea ces souffrances en l'embrochant en plein menton. Il finit par repousser l'homme, tandis qu'un soldat drapé d'une cape noire lui tendit la main. Qu'il saisit et se remit sur pied, et se mit dos à dos à l'homme qui l'avait aidé.

— Tout va bien mon prince ? Tenta l'homme en égorgeant un énième homme, mais restant dos à dos à son prince

— Cet abruti à abimer ma sublime chevelure ! Affirma le prince Eden faussement scandalisé

— Et bien quel dommage ! Affirma l'homme avec un petite rire, en croisant le fer avec un soldat ennemi

— Penses à me faire rappeler Capitaine Eren à me brosser les cheveux et les laver ! Affirma le prince Eden, en croisant le fer avec plusieurs soldats

— Bien sur mon prince ! Affirma le Capitaine Eren en se penchant in extremis, et embrochant de sa lance un soldat ennemi

Eden vit non loin, le prince Rhun qui se battait sans aucune pitié avec une rage et une haine qui se témoignait dans chacun de ces coups. Ne laissant, que sang, et mort derrière lui, oui le prince Rhun était le plus redoutable d'entre eux, ici, et Eden remerciait les dieux qu'il soit son alliée et non son ennemi. Rhun tuait tout homme qui osait croiser son chemin, il sourit en voyant la brèche qu'avait fait ces alliées de Taos, dont le prince Tanos était à la tête.

Bientôt, il se retrouva encerclés par des guerriers vêtus de capes grises, à la différence de celle qu'il portait qui était noire. Il menaça ces ennemis, épée brandit, sans qu'aucune peur ne se lise dans son esprit.

— Et bien c'est un comble que vous vous battiez alors que votre souverain qui a créé cette guerre, se prélasse autour d'une table. Commença Rhun avec un sourire narquois

— Ne parle pas du roi Ival de cette manière ! Affirma l'un des soldats épée brandit

— Oh mais j'oubliais après ce que lui a fait subir notre commandante de flotte, il ne doit plus être capable de rien, même de se masturbais non ? Fit remarquer Rhun amusé

— Espèce de fils de chienne ! Hurla un soldat en se ruant sur le prince Rhun

Les soldats aux capes grises se ruèrent sur le prince Rhun, dont leurs sangs maculèrent sa lame, tous tombèrent uns à uns, tandis que celui qui avait insulté la mère du prince Rhun était dès à présent en train de se tordre de douleur sur le sol, et le prince Rhun finit par brandir sa tête en le tenant par les cheveux.

— Que vous le sachez bien maudits thésiens, quiconque manquera de respect à ma bien-aimée mère, subira le poids de ma lame. Avertit Rhun en balançant près d'un régiment de guerriers Thésiens la tête du malotrus, un sourire méchant sur les lèvres

Les soldats se figèrent d'effroi et d'horreur, horrifié par la violence et l'humanité inexistante de leur adversaire.

— Pas de pitié, pas de prisonniers, pas d'humanité. Affirma Rhun en tranchant se servant du corps d'un soldat qu'il venait d'embrocher comme bouclier.