33. Flash back (2)

Elle est devant moi, vêtue de son ensemble noir en dentelle.

Elle est tout simplement magnifique.

C'est cette Léna que je veux rencontrer, celle qui assume pleinement sa sexualité, pas celle qui se cache derrière ses gros vêtements.

Mais bon elle peut désormais continuer à porter ses larges pantalons, si elle m'offre cette magnifique vue, chaque soir.

Je la regarde faire depuis tout à l'heure. Un peu d'alcool et elle semble être une autre personne.

Plus sexy, provocante, désirable.

Elle se dandiner légèrement sur le lit et sourit. Elle semble assez impatiente.

Même avec toute la bonne volonté du monde, je ne peux plus accepter la voir traverser cet porte ce soir.

Ce corps m'a hanté nuit et jour. Je rêve de lui faire l'amour depuis le premier jour où je l'ai aperçu nu dans sa chambre et maintenant elle est là, à ma merci.

Je veux que cette nuit soit mémorable pour qu'elle n'oublie pas que cette nuit, elle a accepté de se donner à moi. Que je lui fasse l'amour.

Elle m'appartiens dorénavant.

Je m'avance vers elle et attrape une poignée de ses cheveux et  tire en arrière me dévoilant complètement son visage et son regard rempli de desir, avant de l'embrasser sauvagement.

J'adore le goût de ses lèvres. Je les délaisse pour explorer  tout doucement sa machoire et  m'attarder un peu plus sur son cou et remonter jusqu'à son oreille.

Elle gémit fort, j'adore. Elle me semble pas gêner d'exprimer ses envies. C'est sûrement dû à l'effet de l'alcool. 

Je lâche ses cheveux et m'écarte du lit où elle est toujours assise.

- Déshabille toi. Je tone

Elle me regarde un peu honteuse mais obéi. C'est long cheveux noir cache sa poitrine.

- Monte sur le lit.

Elle monte et essaie de cacher son corps.

- Arrêt Chaton, ne te cache pas de moi.

Je me rapproche d'elle et maintenant nous faisons sensiblement la même taille.

- Tu es si belle.

Elle fuit mon regard

- Léna regarde moi.

Je repousse ses long cheveux noir, qui cachent ses seins derrière son oreille.

- Tu es à moi...

- Pour ce soir. Termine t'elle.

- Non, tu m'appartiens à partir de maintenant.

- Mais les...

- Embrasse moi.

Elle me regarde surprise avant de sourire et vient m'embrasser.

Je sais que Léna sans l'effet de l'alcool ne sera jamais capable de faire une chose pareille alors j'en profite.

Je la porte et elle enroule ses jambes autour de ma taille.

Je nous dirige vers la commode où je la fait asseoir et notre baiser devient plus fiévreux. Elle attrape mes cheveux pour intensifier notre l'échange.

Je soupir de plaisir.

Mon corps est en feu, je la désire tellement.

Je caresse et malaxe ses seins avec envie, elle rejette la tête en arrière et j'en profite pour lui succoté la peau.

Elle m'appartiens.

Je descend mes caresses jusqu'à l'entre de ses cuisses où tout doucement j'insère mon doigt et retrace la fente de ses lèvres.

Ses gémissement sont comme une douce mélodie à mes oreilles, puis je m'attele à taquiner son petit bouton de chaire jusqu'à ce que j'ai l'impression qu'elle n'en peut plus.

- Je t'interdit de jouir Léna. Dis je durement avec un petit sourire. On vient à peine de commencer.

Elle est tellement sensible, et totalement prête à me recevoir.

Je la porte et la dépose sur le lit et entre ses cuisses, j'envoie un, puis deux doigt à l'intérieur et je commence mes mouvements de va et viens.

Son plaisir est le mien alors je l'embrasse passionnément en retirant mes doigts pour m'insérer doucement en elle.

Elle est serré, très étroite, ça prouve qu'elle n'a pas l'habitude de le faire avec n'importe qui, c'est déjà une bonne chose.

On se regarde quelques secondes et tout doucement enchaîne un rythme lent et contrôler. Plus les secondes avance plus ma cadence augmente.

- Plus fort Dimitri. Gémit elle.

Ce qui m'arrange un rire.

- Tout ce que tu veux chaton.

J'augmente mes mouvements de va et viens, en allant plus en profondeur et ses mains viennent s'enfoncer dans mon dos. Mais je m'en fou.

L'entendre crier mon nom, gémir, demander toujours plus alors qu'elle ne tient plus. me fais sourire et me rempli de joie.

J'augmente encore le rythme car je veux  l'entendre m'appeler plus fort et Puis vient le moment de la libération.

- Chaton c'est bon tu peux jouir. Lui chuchote à l'oreille comme si quelqu'un pouvait nous entendre.

Et c'est ce qu'elle fait suivie de moi dans une jouissance foudroyante.

Nos deux corps  scellés en sueur, on se regarde et je l'embrasse comme si c'est la dernière fois de ma vie. Je me lever et me dirige vers la douche pour prendre une bonne douche, quand une fois à l'intérieur une idée salace me viens en tête, je ressors et trouve que mon chaton s'est en dormi.

Elle est décidément trop fatiguée après la journée qu'elle a passé.

Je fini ma douche et viens me coucher nu près d'elle et la serre fort contre moi et dans mes bras. Je veux que nos deux corps reste fusionner durant toute la nuit.

Car je viens de vivre la plus belle partie de jambe en l'air de toute ma vie. Jamais je n'aurais cru que c'est elle qui allait me l'offrir.

Après très longtemps j'ai fait l'amour et non baiser, comme j'avais l'habitude de faire.

Cette fille à quelques choses de spécial

Je veux sentir sa chaleur, encore une fois.

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