16. La cohabitation

Je le regarde s'éloigner la démarche confiance, il possède un charisme indemiable, il connaît le pouvoirs qu'il détient sur chacune de ces filles et sur moi finalement.

Je suis à son service.
《Mais pas pour très longtemps.》 Je me motive intérieurement.

Les poings serrés, je n'ai qu'une seule envie, lui sauter au cou pour lui faire payer toutes ces humiliations et ces paroles blessantes, mais je dois me calmer pour ne pas aggravé ma situation quand il va se rendre compte de ce que j'ai faite.

Il a bien raison de vouloir être seule, je plaind la femme qui acceptera rester à ses côtés.

Cet homme n'a pas de cœur, c'est sûrement ce qui le rend si mystérieux.

Et attire tout ces filles.

Aussi beau que ténébreux, il peut se montrer charmant comme arrogant. Mais il en reste pas moins que cet homme être avide de sensation.

Me faire subir tout ça pour une simple petite gifle, j'aurais due bien m'appliquer au moins je n'aurai pas ce regret.

Toutes ces filles présentent sont des vipères, en milieu de compétitions il est coutume que chacune veut montrer qu'elle est meilleure, même dans les insultes il parait et je viens à peine de l'expérimenter, mais je ne peux  m'apprendre qu'à moi même, Je n'aurai jamais dû accepter de faire partir de cette sélection.

C'était décidément trop beau, pour être vrai. Prendre l'argent et sortir quand je voudrais.

- Léna tu peux venir? Me sort Dimitri de ma rêverie arriver avant l'entrée du salon.

J'ai bien envie de lui tracher un《va te faire foutre》bien mérité mais au lieu de ça, je m'avance comme une automate attendant une énième humiliation de sa part. Mon expression faciale n'a pas changé, je suis toujours prête lui tordre le cou quand je constate que son regard est rieur même si son expression reste neutre. Ce mec est entrain de ce foutre de ma gueule.

Je ne savais pas qu'apprendre en psychologie l'étude du comportement, allait un jour autant m'énerver.

- Oui. Dis je une fois à sa hauteur en croisant les bras sur ma poitrine inconsciemment. (Signe de protection).

Il me regarde dans les yeux et se courbe pour ce mettre à ma hauteur et me murmure à oreille

- Non rien, pourquoi cherche tu à te protéger de moi? J'ouvre grand les yeux. Je voulais juste faire croire aux filles que tu as déjà une légere avance sur elle. Si tu pensais qu'elle t'en voulait pour tes paroles déplacer de la dernière fois, maintenant je peux te garantir qu'elles te déteste toutes. Bonne chance petit chaton.

C'est officiel, je le déteste.

Il se relève, me regarde une dernière fois de toute sa hauteur et moi comme une idiote, je reste captive de ses yeux hypnotique. Je reviens à moi quand il se retourne et sort de la pièce sans jeter un coups d'œil aux filles derrières moi. Il semble savoir que cet action marque son indifférence face à elles et me mets dans une situation peu confortable.

Oui je le déteste.

Il veut vraiment me mettre dans la merde juste pour une gifle, si c'est comme ça je devrais recommencer.

À peine je me retourne que je tombe sur vingt neuf paires de yeux qui me dévisagent de manière mauvaise.

Une d'entre elles se rapproche de moi de ses hauts talons et me dévisage quelques secondes.

- Je ne sais pas quelle relation tu cherches à entretenir avec Dimitri mais sache que tu ne feras pas long feu ici, tes jours sont comptées, à cause de toi ma sœur a été éliminer et regarder ce que je retrouve à sa place? Pitoyable. D'après ce que j'ai compris tu es la première à être arriver pour pouvoir te le mettre dans la poche? Elle me lorgne des pieds à ma tête. Ta place n'est pas ici.

- Tu as parfaitement raison. Dit Paulina à son tour en s'avança vers moi. Regarde nous, regarde toi tu as intérêt à abandonner sur le champs sinon attend toi au pire.

Elle se retourne et de ça démarche de mannequin, se dirige vers l'armoire où sont rangées les contrats suivies des autres

- Je m'appelle Anastasia, souviens toi de mon prénom car c'est moi qui va t'éliminer. Me dit l'autre avant de rejoindre la masse.

Je souffle un bon coup pour me calmer, Encore un peu j'allais sûrement craquer. Quand je pense que tout ça c'est de la faute de cette Paulina.
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Quelques heures plus tôt.
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J'ai viens de finir "d'arranger" la chambre de monsieur insupportable. À vrai dire j'ai juste foutu le bazar et je suis tirée.

Ça l'apprendra à bien me parler. Je ne suis pas sa boniche.

Bon techniquement oui, mais il y'a une manière polie et courtoise de s'adresser à une personne.

Je n'ai vraiment pas apprécié sa façon d'être adressé à moi.

J'ai eu tellement mal au cœur quand j'ai découvert le palace dans laquelle il dormait et me dire que j'allais y foutre un peu le bordel.

Mais bon c'est de bonne guerre.
Je ne laisserai aucun homme me marcher dessus même si je lui dois de l'argent.

J'ai entrepris de faire un petit tour dans le jardin, pour me changer les idées et j'ai compris que ça serait mon nouveau petit coin de bonheur dans cette propriété.

Après ma petite visite des jardins, je dirige vers la cuisine et fais la vaisselle et le ménage quand la première voiture fait son apparition. J'ai donc commencé à faire un cocktail de bienvenue comme demandé et aussi pour me faire facilement des amies comme je ne suis pas très sociable.

La porte s'est ouverte sur deux filles. Qui sont entrées émerveiller au salon et m'ont trouvé.

- Bonjour et bon arrivée. Dis je joyeusement. Tenez c'est pour vous. Je tend deux verres. Elles me détaille quelques secondes et ne disent rien mais viennent prendre les verres et partent s'assoir.

Merci la politesse.

J'ai fait les autres boissons que j'ai déposé sur le plat de travail. Certaines m'ont dit un petit bonjour, d'autre rien et sont toutes allées asseoir sur les grands canapés.

Tout le monde était déjà là quand Paulina s'exclama son verre presque plein car elle fait partir des dernières arrivées.

- Serveuse plus de glaçon. Dimitri est t'il déjà arrivé?

J'ai fait semblant de ne rien entendre debout derrière la cuisine nettoyant mon désordre.

- C'est à toi que je m'adresse. Dit elle en se levant et faisant deux pas en ma direction.

- Déjà on dit bonjour et  s'il vous plait, je ne suis la Serveuse de personne.

- Ah bon. C'est vrai qu'on dirait plus une domestique. Maintenant réponds, je t'ai posé une question me semble t'il ?

Les filles ce sont misent à rirent. Bon certaines.

- Si tu veux le savoir, tu n'as qu'à aller le chercher. Dis en me dirigeant vers elle.

- Petite impertinente, je ne laisse aucun employé me parler de la sorte.

Elle a versé le contenu de sa boisson au sol.

- Allez nettoie.

- Mais pour qui vous vous prenez? Des filles ce sont rapprochées de nous. Changez de langage si vous ne voulez pas avoir un accident, je ne vous ai rien fait à ce que je sache.

J'ai voulu repartir mais une fille à mis son pieds et je suis tombée.

- Oups finalement c'est toi qui a eu un petit accident.

Une nouvelle fois, elle se sont moquées de moi. C'est à ce moment que Dimitri  à choisi d'apparaître.
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Je suis maintenant seule au salon. Elles ont toutes pris un contrat et ce sont dirigés vers l'étage où se trouves leurs chambres.

Un organigramme est accrochée sur un des murs du hall, je l'ai remarqué quand je suis montée pour faire mon désordre.
Il est précisé que tout l'aile ouest, est entièrement réservé au propriétaire des lieux et de l'autre côté sont disposés six grandes chambres de cinq lits. Une salle de bain et les toilettes enormes sont à usage commun.
La maison possède également une salle de sport et un salle de cinéma, une bibliothèque mais dernière se trouve de côté ouest.

Je récupère le dernier contrat et me dirige vers ma chambre.

La cohabitation promet d'être fascinant.

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