101. Envoyer

Dimitri est débout devant la fenêtre de la chambre d'hôpital de sa fille à attendre que sa mère fasse son sac, une semaine est passé depuis sa nuit mouvementé avec sa femme.

La petite est entrain de dormir et est très calme à son réveil, elle ne parle pas beaucoup sauf à Alek quand il vient lui rendre visite après l'école.

Natalia quand t'a elle s'est aussi bien remis de l'opération, elle lui a fait une scène dès son retour au petit matin à hôpital après qu'il est fait un break à la maison pour se préparer et revêtir des vêtements propres et plus confortables.

Cette dernière lui a lancé des éclairs et s'est mise à l'interroger comme si elle avait un quelconque droit sur lui.
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Flash back
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- Où étais tu? Fut sa première question quand elle le regarda entrer dans sa chambre.

- Ça ne te regarde pas Natalia. Dit il déjà saoulé en lui transperçant de son  regard orageux.

- Tu étais avec elle n'est-ce pas? Pendant que notre fille et moi sommes couchés dans un lit d'hôpital, toi tu pars voir celle qui a essayé de la tué?

- Je n'ai aucun compte à te rendre sur mes déplacements et puis... comment sais tu qu'on a essayé de  la tuer?

- De quoi tu parles? Dit elle en ouvrant les yeux.

- Comment tu sais qu'on a essayé de tuer ma fille? Je ne t'ai rien dit quand je t'ai appelé, juste qu'elle avait besoin d'un lobe pulmonaire? A t'il posé innocemment.

- C'est...c'est le docteur qui m'en a parlé, je suis sa mère après tout.

- Porteuse, mais pas ma femme à ce que je sache. A t'il dit sachant pertinament qu'elle mentait parce que le docteur avait reçu pour ordre de rien dire car il ne voulait pas que les médias s'en part de l'affaire.

Elle fit mine de n'avoir rien attendue et appuyer sur un bouton pour que le lit se relève légèrement.

- Cette femme est une meurtrière, tu devrais t'en éloigner.

Dimitri la regarda puis sourit.

- C'est ça que je partie faire inquiète pas. Dit il en se rappelant de sa conversation avec Léna. Je devais la mettre en garde, je devais mettre les choses au claire.

- Toute la nuit ? Désormais Dimitri avait la certitude qu'il se faisait suivre, cette femme était taré, il regrettait déjà cette compétition, pourtant c'était ce qu'il fuyait en decidant de l'organiser, une femme trop collante et folle de surtout avide de pouvoir. Maintenant il était obligé de jouer la subtilité pour ne pas attirer le regard des médias et du monde.

- Comme tu n'ai pas revenu alors j'ai deviné que... Essaya t'elle de se justifier. Mais c'était trop tard.

Il a tout simplement sourit et lui avait caressé le visage

-  j'avais des choses à faire après mais maintenant c'est fini. Dit il simplement.
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Une semaine plus tard et Galina peut enfin rentrer à la maison.
Dimitri pour ne pas éveiller les soupçons et la mettre en confiance mais surtout pour avoir  un œil sur sa personne et qu'elle baisse sa garde, a autorisé Natalia à séjourner dans  sa maison.

Heureuse d'être la nouvelle maîtresse de maison, elle promit de bien prendre soin de leur fille pour un rétablissement optimal, mais Natalia n'a pas  pour but de veiller sur la petite.

Elle a prévu de la rendre malade le plus longtemps possible, le temps qu'elle aura besoin pour mettre Dimitri dans son lit et simuler une nouvelle grossesse.

Le tour sera joué

Mais, c'est sans compter sur l'intelligence et le fin stratège qu'est Dimitri, qui a installé des caméras discrèt dans toute la maison et dans les chambres.

Oui il avait promis à Léna de lui laisser gérer cette affaire mais lui aussi compter régler cette affaire au plus vite sans qu'elle ne le sache.

Dimitri n'a pas besoin de beaucoup de temps pour trouver ce qu'il faut pour enfermer cette Natalia car il sait qu'elle va encore frapper mais comment?

Ça le réjouit juste de savoir que sa petite femme veut s'en charger. Tout ce qu'il espère c'est qu'elle est prit des dispositions pour se protéger.

《Elle s'affirme de jour en jour.》 Pensa t'il

Galina s'est réveillée il ya cinq jour et à sa grande surprise, en entrant dans sa chambre, il a trouvé Natalia assise dans sa chaise roulante.

Sa fille avait pleurait et avait l'air terrorisée.

Il était venu la caresser les cheveux et lui a demandé de se reposer mais Natalia avait insisté à rester au près d'elle, pour cause elle devait continuer à menacer la petite fille de faire du mal à son père et son frère si elle osait  raconter ce qu'elle savait et qu'elle avait intérêt à accuser Léna si un jour on lui pose la question.

Avec l'autorisation du docteur, il  les a reconduit à la maison, et installe Galina dans sa chambre confortablement et la petite le tient sa chemise immatriculé

- Papa s'il te plaît ne me laisse pas seule avec elle. Dit elle une fois seule avec son père.

Alek est à l'école.

- Pourquoi ?

- Elle est méchante, elle dit que c'est elle ma vrai maman c'est vrai?

- malheureusement oui

- Je ne veux pas, je préfère Léna, elle est où papa, elle m'a abandonné ?

- Non mon coeur elle revient bientôt. Pourquoi tu dis qu'elle est méchante?

- Parce que...

La porte s'ouvre sur Natalia

- Je venais voir si elle était bien installée, laisse je m'occupe d'elle maintenant, elle doit prendre sa douche. Ta mère est déjà rentrée chez elle, je crois qu'elle ne m'apprécie pas.

Il regarde sa fille.

- T'inquiète pas elle ne te fera plus aucun mal, je suis là maintenant.  il lui chuchote et lui fais un bisou au front.

Il sort et m'en vas dans mon bureau où il allume son ordinateur et appuies un bouton, des dizaines d'écran de caméra de surveillance apparaît.

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Pendant ce temps

Léna a réussi à avoir une information capitale, elle a su par la maîtresse il y'a trois jours en la coinçant dans un supermarché que c'était le gardien qui venait à chaque fois prévenir qu'elle voulait voir sa fille pourtant c'était faux, alors elle avait cherché à le rencontrer mais l'homme avait démissionné le lendemain après que les policiers étaient venus à l'école posé des questions.

Elle avait alors réussi à trouver son domicile et maintenant elle se trouve devant sa porte.

Elle cogne une, puis deux fois. N'ayant aucune réponse.

- Monsieur Sorokin vous êtes là ?

Toujours aucune réponse.

Elle touche par curiosité le poignée et la porte était ouverte.

Bizarre. Se dit elle, peut être elle trouvera des preuves en fouillant chez lui.

Elle entre et se dirige vers le salon mais personne. Elle pris alors les escaliers qui mène à l'étage et suit le bruit d'une chaise qui tombe puis les voix d'hommes.

Elle veut faire marche arrière et suivre son instinct mais elle veut se prouver qu'elle est capable.

Plus elle avance plus elle entend ce qui est dit.

- Écrit bien la lettre, elle doit être bref, elle doit juste accuser Madame Petrova en disant qu'elle lui lui a demandé d'empoisonner sa propre fille comme la boss à demandé.

Léna ouvre les yeux de choc, on parlait d'elle, elle sort alors son téléphone et se met devant la porte entrouverte pour enregistrer les personnes qu'elle peut apercevoir dans cette chambre à moitié ouvert en mettant une main sur sa bouche pour revenir sa respiration.

- Tu pense que la police va nous croire?

- Tu oublie surement que c'est moi la police? Tout à déjà été prévu, comme ça les média seront mis au courant et monsieur Petrov n'aura pas d'autre choix que de divorcer d'elle et m'a boss prendra sa place.

- Mais madame Petrova enseigne à l'école primaire personne ne peut croire une chose pareille.

- Tu ne connais pas le nombre de psychopathe qui sont enseignants. En plus grâce à lui. Dit il en montrant à sa gauche. Ma patronne à pu mettre la source de l'empoisonnement de son bureau.

Léna met la caméra en direction d'où il montre et vue avec horreur ce qui s'y trouve, le gardien qui s'essaye de encore de respirer, pendue à une corde les pieds bougeant encore et bouche ouverte.

- Oh mon dieu. S'est elle exclamé d'horreur

- Tu as suivi, il y'a quelqu'un. Dit le policier.

Léna ouvre les yeux et comprend dans quelle situation elle se trouve et se met à courir vers la sortie en bousculant les meubles sur son passage.

《Il faut que je l'envoi. 》Se Dit elle suivant les pas derrière elle.

- Hé toi arrête toi.

À peine elle appuie sur envoyer qu'on la tire par derrière et la jette au sol.

- Prend son téléphone vite, elle nous a  enregistrer.

- Noon.

- Ta gueule.

L'homme prends le téléphone et sans réfléchir le jete au mur.

- Qu'est-ce tu as fait imbécile, je devais d'accord vérifier si elle a envoyé ça à quelqu'un. Dit moi petite pute à qui tu l'as envoyé hein?

- À... à ...personne, ne me faite pas de mal. Dit elle morte de peur.

- Mais ...mais Karlos tu l'as remarque pas, C'est elle, madame Petrova.

- Oui je sais, je l'ai reconnu et toi aussi n'est ce pas? Lui demande t'il

Il sait que Léna la reconnue car il n'était rien d'autre que le policier qui l'avait escorté jusqu'à cette maison.

- Tu vas devoir mourir.

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