Je suis de retour après quelques jours d'absence pour vous partager une nouvelle histoire ! Je ne sais pas quel en sera la longueur complète que ce soit autant des chapitres ou de la fanfic, mais j'espère tout de même que ça vous plaira! Je reviens cette fois sur une fanfic sur un de mes protagonistes préférés de la saga Détective Conan de Gosho Aoyama: Heiji Hattori. 

Seuls l'OC et l'intrigue de l'arôme du printemps m'appartient, les autres protagonistes qui apparaitront sur cette intrigue de DC appartient à notre cher Aoyama. :) 

Merci énoooormément @Edogawa_Yoko-chan pour la magnifique couverture qu'elle m'a gentiment réalisé spécialement pour cette fanfic. J'espère que l'intrigue te plaira! 

Trêve de bavardage, je vous laisse avec le prologue. 

Bonne lecture ~ 

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La première fois qu'elle avait senti une sensation inouïe provoquer une instabilité dans son corps s'était produit en une magnifique journée de printemps, c'était il y a un an de celà. Pour autant, elle ne pourrait probablement jamais se dire ce qu'elle avait ressentie si fort ce jour-là.

Ce sentiment qui l'avait ébranlée de tout au tout.

Toutefois, cette journée qui avait été réalisé comme dans un film à l'eau de rose allait restée ancrée dans sa mémoire à jamais. Elle s'en souvenait comme si s'était hier.

Ses yeux s'étaient écarquillés et ses joues avaient rougis tandis que le vent qui s'était levée ce jour-là, en cette belle journée de printemps, faisant virevolter ses cheveux auburn et ses vêtements, la frigorifiant quelques peu.

Cette journée-là, elle portait une longue robe violette et rosée où sur le côté gauche de sa poitrine peu volumineuse était brodée des hibiscus, ses fleurs préférées.

De ses yeux étincellent de mille étoiles, elle se souvenait d'avoir observée cette silhouette qui lui parlait, illuminée par les rayons solaires lui faisant toutefois plissée les yeux.

Elle ne se souvenait plus des mots qu'il employait, elle était uniquement subjuguée par la beauté de ses yeux corbeaux.

Tout son corps s'était tendu d'un seul mouvement. Son souffle s'était arrêté et estomaquée, elle ne disait rien, essayant de profiter au maximum cette rencontre étrange.

Tout l'environnement autour d'elle s'assourdissait et devenait blanc. Seul les pétales des cerisiers qui virevoltaient entre eux ne disparaissaient pas du paysage, le rendant magique jusqu'à ce que le jeune homme lui tendît l'une de ses mains mates.

La jeune adolescente baissa la tête et sentit son cœur tambouriner dans sa cage thoracique en voyant son mouchoir blanc et violet dans sa main.

Elle se souvenait qu'elle avait été intimidée, se sentant idiote sur le coup d'avoir perdu son mouchoir. Timidement, elle avait repris son mouchoir se demandant que si elle la reprenait, si ce moment magique qui venait de se produire allait s'arrêter ou se prolonger. Le temps que sa main traverse l'espace jusqu'à celui de son inconnu, elle espérait secrètement que le temps...

S'arrête.

Elle entendait son cœur battre de plus en plus fort, amplifiant sa nervosité et sa timidité de l'instant présent : ce qu'elle n'avait jamais ressenti simultanément.

Elle osa relever les yeux, sa gorge et son estomac nouée, elle se mit à observer le visage tout aussi mate de son interlocuteur. Celui-ci ferma les yeux en lui souriant avant de sursauter lorsque son prénom retentit au loin. La jeune fille l'observa se retourner et parler à une autre adolescente de son âge en colère et qui l'observât quelques secondes avant de s'éloigner avec l'inconnu.

Elle n'eut le temps de retenir son prénom puisqu'il était parti comme un souffle dans le vent.

Son interlocuteur était parti aussi vite qu'il n'était apparu devant elle. Elle avait même oublié ce qu'elle faisait à cet instant précis. Seul la carrure et le regard perçant de cet inconnu qui s'éloignait progressivement l'intéressait à ce moment-là puisque son cœur qui battait à vive allure résonnait en elle.

En cette première journée de printemps, la jeune fille espérait secrètement revoir très bientôt ce jeune inconnu pour retrouver ce sentiment qui l'avait chamboulée.