Chapitre 18 : Sombrer dans la mort
Hey ! Voilà un autre chapitre de cette fanfic! Merci beaucoup j'ai réussi à atteindre 1k vue sur cette fanfic! J'espère que vous apprécié vraiment cette fanfic! J'ai besoin de vos commentaires et de votre soutien !
Merci encore je partage mon sentiment de gratitude à tous pour les 1k vue que je n'aurais jamais pensée vrai merci à vous parce que sans vous cela aurait été impossible!
Sur ce Bonne Lecture !
(^ω^)(^ω^)(^ω^)
Je m'étais réveillée d'un pas sourd et malintentionné. Mon réveille a été troublé par une nouvelle qui allait faire de moi le plus malheureux des hommes.
Ma mère.
Je suis en direction à l'hôpital en ce moment même. On m'a annoncé une nouvelle que je pourrais qualifiée comme mauvaise.
On est le dimanche 10 septembre et ma grand mère est morte le 8 septembre.
Le 10 septembre fut pour moi l'arrêt net de mes espérances.
Oui le destin était contre moi.
Il s'amuse avec moi qui me bat à contre courant contre lui. Un vrai désert humain où seul les plus malheureux sont condamnés à rester à cause de ce connard de destin, futur... Je ne sais pas.
Je voulais juste avoir une vie normal, avoir des parents qui m'aiment, avoir des moments heureux avec eux.
Alors pourquoi je dois retenir mon coeur de crier?
Pourquoi ne puis je pas être heureux ?
À cause de ce destin.
Jin conduisait la voiture. Le silence n'avait que lieux d'être. Les hyungs ne savait pas quoi dire ou faire pour me réconforter. Pourquoi est-ce que tout devait s'enchaîner?
Pourquoi je n'avais pas le temps pour me remettre de chacune de mes émotions?
Je ne peux à peine me remettre de la mort de Grand-Mère. Et que ma mère m'a toujours désiré ainsi qu'aimé. Sa voix fragile et tremblante lorsque pour la première fois elle m'avait appeler.
Je voulais vivre à ses côtés en tant que son fils. Je voulais la voir sourire comme elle ne l'aurait jamais fait. Je voulais moi aussi pouvoir découvrir le bonheur que cela peut faire d'avoir une mère.
Mais alors pourquoi est ce que l'hôpital à dû m'appeler? Pourquoi est-ce que je veux pleurer? Pourquoi est-ce que le son s'éteint en moi? Pourquoi ma voix tremble ? Pourquoi je n'arrive plus à respirer comme il le faut ? Pourquoi mon corps tremble? Pourquoi je pense déjà à un avenir totalement différent de celui que j'aurais pu avoir?
Pourquoi est-ce que je blâme ma mère en ce moment même ?
Tout est confus et tout ce que je sais c'est que je veux disparaître dans cet asile qu'est la mort.
M'emprisonner dans cet cage à douleur où le bonheur n'a pas de prix. Où l'ignorance règne en tant que maître.
Je voudrais juste pouvoir m'évader, me libérer. Courir là ou le bonheur me portera. Là où je pourrais enfin être heureux.
Mais mourir c'est lâche pas vrai?
Les suicidaires se tues pour se délivrer de leurs souffrances. Parce que le courage de vivre leur a été dérobé par la douleur. Parce que la souffrance à rendu à des êtres si aimables la voix de pouvoir enfin s'oublier dans le chemin de la mort. Est-ce que moi aussi je veux que ma voix ne s'entende plus?
Suis je un suicidaire ? Suis je un lâche ?
Je ne sais pas.
Je ne sais plus rien.
Je ne souhaite plus rien.
Jin : On est arrivé descendez !
Je courrus jusqu'au centre d'accueil de l'hôpital et demanda alors où est-ce que ma mère était avec la voix engourdie et étranglée. Le coeur serré à en mourir je marchais dans les couloirs blancs de cet hôpital. Je ne pouvais pratiquement plus rien voir. Je ne reconnaissais plus grand chose. Tout ce que je voulais c'était crier mon désarroi, ma peine pour qu'enfin le monde sache que ma souffrance est aussi grande que leur plus grand bonheur.
Le numéro de la chambre de ma mère fut devant moi. La main tremblante je n'osais pas ouvrir cette porte. Je savais ce qui allait m'attendre. Je savais ce qui allait se passer. Mon coeur n'en pouvait plus. Je n'en pouvais plus.
Oui je voulais fuir. Je voulais fuir cette futile existence. Je voulais partir loin d'ici. Disparaître comme si je n'avais jamais vécu.
Les hyungs étaient restés dans la salle d'attente. Ils ne voulaient pas m'encombrer. Je les remerciais aussi pour ce choix. Je pris une inspiration pour enfin ouvrir la porte.
L'homme à blouse blanche me regardait avec ses yeux de peines et de pitié. Je ne voulais pas de ça. Je ne voulais pas.
Je ne voulais pas qu'on me regarde comme si j'étais à plaindre. Que la vie que je menais n'était qu'une merde sans nom.
Docteur : Je suis sincèrement navré mais...
Moi : Laissez moi...
Docteur : Je-...
Ma patience ayant été à sa limite je criais enfin.
Moi : Disparaissez !! Laissez moi tranquille!! Fichez moi la paix!! Laissez moi!!! Hurlais je avec toute ma tristesse et ma rage.
J'en avais assez. Même si la faute ne se résumait pas qu'à ce docteur je ne voulais voir personne. Je voulais juste libérer ma souffrance.
Il partit sans rien dire de plus.
Je m'approchais du lit de ma mère sans faire de bruit. Je ne voulais pas la réveiller. Elle dormait si paisiblement, le sourire aux lèvres. Je souris à mon tour, ne savant pas pourquoi. Peut-être parce qu'elle avait l'air si heureuse. Je ne sais pas.
Je continuais à l'observer. Oui pour ne pas oublier tout ses traits de ma mère que j'oublierai un jour sûrement. Les hommes sont voué à oubliez de toutes façons. Et quand je lui touchais sa joue pâle, à genoux devant son lit blanc je me mis à pleurer. Ma voix tremblait, mes yeux se fermaient. Je criais encore et encore. Je voulais me défouler. Je voulais dégager cette frustration, cette colère, cette haine, cette souffrance qu'est la mienne. Je ne m'arrêtais pas. Ma voix se dérapait parfois sous ma tristesse.
J'en avais assez.
Les minutes passèrent. J'avais cesser de crier parce que ma voix n'avait plus cette force. Mais par contre mes yeux avaient encore la force de pleurer.
Moi : Ne me laisse pas maman...
Mon visage qui était écrasé de profil contre le matelas, je me mis de face contre celui-ci et pleurais de plus belle. Je me retrouvais tout seul.
J'étais encore seul.
Jin : Jimin arrête stop! N'entre pa-...
Mais je sentis une main sur mon épaule. Je levais ma tête en direction de celui qui m'avait touché l'épaule. Son regard était remplit de compassion. Je crois qu'il me comprenait. Il savait ce que ça faisait de perdre quelqu'un qui était tout pour nous. Il l'avait déjà vécu et je le savais.
Moi : Jimin j'ai tout perdu...j'ai perdu ma mère...je...
Jimin était accroupie, un genoux posé au sol. Il savait ce que je pouvais ressentir.
Jimin : Pleur Tae. Ça va te faire du bien.
Alors c'est ce que je fis. Après que les heures s'étaient écoulées, je contemplai ma mère avec des larmes qui n'existaient plus.
On m'avait annoncée qu'elle s'était pendu dans sa chambre. Et qu'elle avait laissé qu'une vulgaire lettre à mon effigie.
Elle se trouvait sur la commode à chevet de sa chambre d'hôpital.
Je l'ai pris mais n'osais pas la lire. Elle m'avait abandonné, c'est tout ce qui m'importais.
Moi : Au revoir maman...
Les autres hyungs accoururent à mon arrivé. Mais je m'excusais et je leur demandais de me laisser seul. Sans un mot je suis partis de cette hôpital qui m'avait fait tant souffrir.
Une fois à l'extérieur de l'établissement un Jimin essoufflé se montra et me prit l'épaule pour me faire face.
Jimin : Ne fais pas n'importe quoi Tae...
Je souris ironiquement à cette situation.
Moi : Ma vie c'est une merde remplit de n'importe quoi. Alors ne va pas me dicter ma conduite. Je sais ce que je fais.
Jimin s'empressa de dire.
Jimin : Non justement Tae ! Tu le sais peut-être oui! Mais tu ne prend pas conscience des conséquences.
Je le fis violemment me lâcher.
Moi : Laisse moi tranquille ! C'est ma vie !
Je fais ce que je veux d'accord ! Tu es qui pour me dicter ma conduite ? Mon père ? Il est en prison ! Ma mère ? Elle s'est suicider ! Ma grand-mère ? Elle s'est fait renversé et elle en est morte! Alors Jimin tu es qui pour me dire quoi faire? Hein!? Hurlais je de rage
Le silence suivi mes propos. Il ne disait rien ses yeux se laissait tromper. Il faisait ses yeux de peines et de pitiés. Ce genre de regard que je déteste tant.
Jimin : Je suis ton meilleur ami...
Moi : Pfft! Laisse moi rire(Non ce n'est pas ce que je veux dire)! Tu m'as trahi en livrant Jungkook au Block B alors ne vient pas me dire que tu es encore mon meilleur ami (non ce n'est pas ça). Meilleur ami ? (Non arrête toi!) Je n'ai jamais dit qu'après ça on l'était encore(Arrête!). Alors ne te proclame pas un titre tant que tu ne l'es pas.
Et je suis partis comme un idiot. J'avais blessé Jimin. Je ne voulais pas le faire. Je ne voulais pas le blesser. Mais tout ce que je pensais à ce moment là c'était de le faire souffrir. Je voulais faire souffrir pour mieux me sentir. Je suis un vrai égoïste.
Je le suis vraiment pas vrai?
Les mains dans les poches je me suis chercher dans des ruelles à ne pas fréquentées. Ma blouse en cuir et mon sweat-shirt me protégeaient du froid d'automne. J'étais un vrai salaud !
La nuit tombait dans cette ville maudite. J'étais comme une âme errante. Je cherchais je ne sais quoi. Un réconfort ? Un besoin? Un espoir?
Je ne sais pas.
Je ne sais plus.
Je ne sais plus rien.
Sans me rendre compte de quoique ce soit j'étais devant chez moi. Devant ce bâtiment sans valeur. Je regardais dans ma poche et vu la lettre que ma mère m'avait donner. Je ne voulais pas la lire. Je n'osais pas. J'avais peur du contenu que pouvait contenir ce si petit être fragile. Je me mordus la lèvre et rentrais dans le bâtiment sans vie. Je montais les escaliers que j'avais autrefois détesté. La poussière et la crasse avait remplit le bâtiment.
J'avançais jusqu'à cette porte. Je m'arrêtais devant. Je touchais cette chose que j'avais tant fui et chercher à effondrer. Je m'assis à côté de mon chez moi. Là où j'ai grandi. Là où j'ai passer mes 15 années d'existence.
J'étais perdu. J'avais besoin de quoi? Qu'est-ce que je devais faire? Avec quoi je devais vivre maintenant ? Le froid me parcourais le corps. Mes doigts étaient frigorifiés. Après que ces deux heures étaient passées, je suis partis autre part. J'avais besoin de me libérer. Je ne pouvais plus regarder Jimin dans les yeux maintenant.
Je suis vraiment un enfoiré.
Après être sortit de ce bâtiment je me suis laisser emporter. Je ne savais pas où j'allais mais je voulais juste me laisser aller. J'avais besoin de prendre l'air. J'avais besoin de ça.
Il était 23h27.
On allait bientôt être lundi. Je n'étais toujours pas rentré. J'avais vérifié ma messagerie et je vus plusieurs messages des hyungs ainsi que Jungkook. Mais pas de Jimin. Je le savais.
Je partis me réfugier dans notre base. Celle des BTS. Je n'avais que cette endroit là en tête ! Je ne pouvais pas rentrer maintenant et je ne pouvais pas non plus demander de l'aide à Jimin. Et Jungkook n'en parlons pas.
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Le réveil de mon téléphone sonna.
J'étais allongé sur un des canapés. Le froid m'avait emporté. Une main me secoua. Je fus surpris et me levai directement.
Jungkook : V hyung réveille toi! Tu n'aurais pas dû dormir ici. Tu aurais pu attraper un rhume ou autre.
Je me levais avec un peu de difficultés. J'avais des courbatures partout.
Jungkook : V hyung...
Il m'aida à me relever et je m'appuyais contre lui.
Moi : Merci Kookie je vais bien ne t'inquiète pas.
Je me levais d'un pas sourd puis je pris conscience sur tout ce qui m'est arrivé. J'avais un mal de cou horrible.
Jungkook : V hyung...
Moi : Tu n'aurais jamais dû venir ici.
Jungkook : Je savais que tu serais là... Il n'y a qu'ici où...
Moi : Jungkook ! Je...! Je ne veux pas que tu me vois comme ça. Laisse moi tranquille.
Je ne voulais pas le blesser. Pas lui.
Je suis partis sans rien dire de plus.
Je devais rentrer chez les hyungs pour prendre mes affaires scolaires. J'étais dehors, à l'extérieur de la base mais Jungkook me rattrapa.
Jungkook : V hyung ! Arrête ! Je suis venu pour te voir. Les hyungs et Jimin m'ont raconter ce qui t'es arrivé hyung! Alors je t'en pris ne fais pas n'importe quoi !
Moi : Je t'ai dit de me laisser tranquille Jungkook ! D'accord ! Laisse moi tranquille !
Je partis plus loin sans me retourner mais Jungkook me pris par l'épaule.
Jungkook : Je suis désolé Hyung ! Mais je ne te laisserais pas tombé !
Moi : Je crois que tu ne m'as pas compris Jungkook. Je m'approchais de lui, puis lui dit. L-a-i-s-s-e m-o-i t-r-a-n-q-u-i-l-l-e.
Je m'en allait une seconde fois. Je voulais surtout pas le blesser. Il fallait qu'il me laisse tranquille. Sinon cette histoire allait se finir comme avec Jimin.
Jungkook : Je suis désolé hyung! Mais je ne te laisserais pas! Cria-t-il par la suite.
Je m'en allais sans dédaigner un seul regard pour le maknae du groupe. J'étais partis pour me libérer un peu de tout ça. Je devais m'éloigner d'eux. Je risquerais de les blesser sinon.
Arrivé devant la maison des hyungs je vus personnes à l'intérieur. Je me dirigeai vers ma soi-disant chambre puis je pris rageusement mes affaires. Je pris une douche puis me changeai et mis mon linge dans le linge sal. Je me dirigeai enfin vers la sortie de cette maison.
Mais quand je fus vers la sortie mon regard se posta vers la cuisine. Je marchais avec attention jusqu'à cette pièce. Je découvris sur la table à manger un petit postit à mon effigie.
" Tae donne nous vite de tes nouvelles ! On s'inquiète tous pour toi! Tu n'es pas rentré de toute la journée ! Je t'en pris dit nous au moins que tu vas bien! Ou bien n'importe quoi mais fais nous part de tes nouvelles ! Tiens je l'ai préparer pour toi. Je suis sûr que tu n'as rien mangé de la journée! Mange le! J'espère que ton repas n'a pas trop refroidi !
On t'aime tous notre petit Tae!"
Je me mis à sourire bêtement. La tête baissée, les mains appuyées sur le bord de la table, les larmes menaçantes de coulées.
Je suis un vrai enfoiré.
Moi : Merci les gars...
Après avoir fini le délicieux repas fait par Jin je suis partis en direction de l'école. Je ne sais pas pourquoi mais je ne devais pas me faire virer. Du moins pas encore.
Le sac sur le dos, la main attrapant une manche de mon sac, je suis partis après avoir fait ma vaisselle.
Je fus enfin arrivé dans le lycée. Je ne devais pas rencontrer ma bande et ni les Block B. Et Choa n'en parlons même pas.
Je fus comme d'habitude arrivé en retard. Mais cette fois-ci le prof de maths ne me laissa pas rentrer alors je suis partis en étude. Je m'ennuirai pas forcément. J'avais à penser de toute manière. Mais une fois arrivé sur le seuil de la porte d'étude je la vus. Mon poing se serra par la suite.
Cette Minju ! Pourquoi est elle là? Pourquoi est-ce que je suis tant en colère contre elle ?
Ah je m'en rappelle elle était là quand j'étais à l'hôpital. Tout est de sa faute!
Si elle n'aurait pas été là ma mère serait encore vivante. Si elle n'aurait pas été là je ne serais pas partis et je serais resté auprès de ma mère. Si elle n'aurait pas été là ma mère serait encore en vie! Il faut que je me venge!
Je souris salement puis d'un pas meurtrier, je me mis à ses côtés après lui avoir jeté son sac par terre. Elle fut surprise mais ne dit rien.
Je continuais à l'ignorer sans lui donner aucun regard. Elle faisait ses devoirs comme une bonne élève. Et je souriais à cette pensée. Je poussais violemment son cahier et sans pour autant regarder.
Je sentis un regard meurtrier mais elle ramassa son cahier et à la seconde suivante je lui rejetais son cahier.
Il s'écrasa une seconde fois au sol.
Minju : Yah. Si tu veux jouer avec moi ça ne sert strictement à rien. Laisse moi tranquille.
Elle ramassa son cahier pour la troisième fois mais cette fois-ci elle le garda dans ses mains. Quant elle le posa sur la table je lui rebalançais son cahier. Sans me faire prendre par le surveillant.
Minju : Yah ! C'est quoi ton problème !? Cria-t-elle.
Surveillant : Ça suffit tous les deux!
Je lui donnais un sourire satisfait. Elle me regarda mais ne fit rien pour autant.
Après quelques minutes écoulées je m'attaquais à sa trousse.
Sa tousse s'écrasa au sol et le contenu se réparti sur ce sol froid. Elle me regardait encore une fois.
Minju : Tu n'es vraiment qu'un enfant. Je n'ai pas le temps ni le moment de jouer avec toi. Alors si tu veux jouer va voir ailleurs pauvre con.
Elle se releva puis ramassa ses affaires.
Je souris amusé par cette situation. Je devais me venger.
La sonnerie retentit. Je la suivais et elle l'avait bien remarqué.
Minju : Arrête de me suivre.
Mais je ne lui répondais pas. Rien que d'entendre sa voix j'avais cette envie de la torturer. Elle ouvrit son casier et je lui refermai automatiquement le sien. La porte de son casier se referma très rapidement et fortement sur ses doigts. Elle poussa un cri de douleur et me cria.
Minju : Mais qu'est-ce que tu me veux!
Je lui répondus enfin.
Moi : Je veux que tu crève.
Elle fut étonné de mes propos mais elle préféra se diriger à l'infirmerie. Ses doigts étaient en sang. Je souris satisfait de ce que j'avais fait. Je regardais dans son casier (puisqu'elle l'avait pas fermé) ses affaires.
Je regardais sur ses cahiers une information tel que de quelle classe elle venait. Je vais bien m'amuser.
Pdv de Minju :
Il est vraiment fou celui-là ! Je ne le supporte vraiment pas.
Infirmière : Comment tu as fait pour te faire une chose pareil et en plus toute seul?
Même si c'était un connard ça ne servirait à rien de le dénoncer. Alors oui j'ai menti.
Moi : Euh je me blesse souvent sans en comprendre les raisons donc...
L'infirmière laissa passer pour cette fois. Je regardais les alentours de la pièce. C'était la première fois que je viens ici. Je suis une nouvelle dans cette établissement alors je n'ai pas l'habitude. Enfin...plus pour très longtemps.
Infirmière : Voilà c'est bon tu peux y aller.
Je suis donc sortie de l'infirmerie. Je fermais la porte usée puis quelqu'un me frappa l'arrière de mon crâne.
... : Coucou toi! Tu m'avais presque manqué tiens!
Je me retournais pour voir le visage du connard de première qui m'avait fait ça et bien évidemment c'était l'autre nommer V.
V : Je n'ai toujours pas finis ce que j'ai commencé.
Pourquoi agissait il de la sorte? Qu'est-ce que je lui avais fait pour qu'il me déteste autant ? Je ne le comprend pas.
Mieux vaut ignorer ce genre de comportement, il n'est qu'un gamin en pleine crise de je ne sais quoi.
Peut-être que je ne connais pas sa vie mais lui non plus.
Je le contournais mais au moment où je fus à sa gauche il me fit un croche-pied pour que je tombe au sol. Et évidemment je suis tombé au sol. Mes mains avaient amortis ma chute.
Les autres dans le couloirs cessèrent toutes distraction. Ils rièrent légèrement.
Je ne savais pas comment réagir face à cette situation. Je voulais le frapper mais cela me mènerait au renvoi et mon père me punira. Non il fallait que je trouve autre chose.
V : Relève toi...
Je pris appuie sur mes mains et pris une tête lasse, puis me releva avec un peu de mal. Il me prit par l'épaule pour que je lui fasse face. Il avait ses yeux remplient de haine.
V : Tu vas vivre un enfer je te le garantie.
Puis il s'en alla comme si rien ne s'était passé. Les autres eux riaient dans leur coins et des bavardages créa une sorte d'ambiance de marché. J'étais sûrement le centre d'attention maintenant. Et je ne le voulais pas.
Je suis partis à mon tour pour rejoindre Yuna.
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Yuna : Mais c'est un vrai salaud!!!
Moi : Oui je sais...
Elle prit une boucher de son déjeuner et puis s'exprima.
Yuna : Non mais j'y crois pas!? Pourquoi tu ne m'as pas prévenu pour cet idiot je vais lui refaire sa peau moi!
Je soupirai un bon coup puis lui dit.
Moi : Ça ne sert à rien de lui parler. Sa raison est déjà partit. Et la violence ne mène à rien alors...
Yuna : Comment ça la violence ne mène à rien!? S'exclama-t-elle. C'est faux! Si quelqu'un t'embête tu le frappes! Si quelqu'un te menace tu le frappes! Si il te fait tourner en bourique tu le frappes! Si il te donne à manger...euhm...et bien tu le remercie puis le frappe et prend ce qu'il t'as donner donc voilà !
Ah Kim Yuna est désespérante. Mais bon c'est ce côté là que j'aime chez elle. Elle règle tout par la violence mais on fond c'est une magnifique personne. Elle a une apparence froide mais elle sait être gentille. Oui la gentillesse habite cet être. Et je l'aime tel qu'elle puisse être.
Moi : Ce n'est pas grave Yuna je vais m'en sortir. Il n'a pas l'air bien méchant.
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Le lendemain arriva. Les autres me regardaient d'un mauvais œil. Je les voyais rire ou chuchoter pour que je n'entende pas leurs propos.
Étrange comme ambiance.
Une fois arrivée devant mon casier je découvris un mot qui ne passait pas inaperçu sur mon casier.
" Sale Slut"
Oui slut voulais bien dire des choses en anglais. Mais la définition de ce mot ne s'approchait pas trop de la sainteté.
Oui ce mot bien évidemment attribuer à ma personne était magnifiquement bien écrit avec un spray sur mon casier.
J'avais déjà l'impression de savoir qui avait bien pu me faire ça. Mais je n'étais pas au bout de mes surprises.
Une fois arrivée à l'entrée, sur le panneau du hall il y avait un photomontage de moi.
Oui outrageusement humiliant. Mais non je n'allais pas céder! Je n'allais pas céder à ces enfantillages.
L'après-midi se présenta.
Je fus aller au self pour manger. Oui je suis demi-pensionnaire. Mais un lycéen d'une carrure imposante cria.
Lycéen : Hey ! Poupée tu est prête 24h/24? Allez fait bouger ton petit train ! Montre nous ce que tu as dans le ventre.
Je fus surprise. Je ne savais pas du tout à qui il parlait. Mais les autres aussi on commencer à faire ce genre de blague insultantes envers moi. Et oui là je l'ai compris. Ils parlaient tous de moi. Honteuse de leurs propos je suis sortie sans dire un mot.
L'atmosphère était beaucoup trop pesante alors oui je suis partis. Mais à l'entrée du bâtiment un lycéen m'attendait avec impatience, le sourire au lèvre, il me fixait.
Oui c'était ce connard...
Moi : Qu'est-ce que tu as fais!? Hurlais-je de rage.
V : Trois fois rien.
Il me montra alors son portable sorti de sa poche.
J'écarquillais mes yeux à cause de ce que ce connard avait fait.
Le corps d'une stripteaseuse avec ma tête collé dessus comme à peu près la dernière fois mais un texte était écrit.
" Minju classe 3-1 pute à mi-temps. Cherche de la compagnie à un prix équivalent à votre pénis. Merci de m'en parler en privé. Bonus je peux vous faire des choses très salaces alors j'attends vos machins en moi."
Je souris avec colère. J'avais envie de le frapper. Je me mordus ma lèvre inférieure puis le regardai de nouveau.
Moi : Tu l'as envoyé à tout le lycée je paris.
Il fit un geste qui signifiait << je ne vois pas de quoi tu parles >> pour ensuite fixer un point invisible. Il faisait semblant de faire joujou avec son portable mais je m'approchais de lui pour lui dire.
Moi : Efface ce que tu as fait tout de suite! Je le dis pour toi! Si mon père apprend ça il ne t'épargnera pas !
Il répliqua.
V : Je n'ai jamais dit que c'était moi.
Ce connard!
Moi : Tu l'as envoyé de ton porta-...
Il me coupa la parole en se rapprochant de moi.
V : Erreur ma belle. Je ne l'ai pas envoyé de mon portable. C'est quelqu'un d'autre qu'il l'a fait. De son portable. Oh! Il fixa soudainement en l'air puis me regarda de nouveau. Oui peut-être que c'est bien moi qui l'ai envoyé. Mais de toutes façon si ton père remonte jusqu'à cet appareil que j'ai pu utiliser grâce à un ami qui m'aime bien et bah moi je ne serais pas le fautif mais lui. Parce qu'il n'aura aucun alibi puisqu'il était avec moi et qu'il a beaucoup trop peur de moi pour dire quoique ce soit, donc...
Il s'arrêta à là, le sourire au lèvre. Il allait s'en aller mais il reprit son discours en me tapotant l'épaule.
V : Ça te vas bien moi je trouve...pute à mi-temps.
Puis s'en alla définitivement.
Je me fendu la lèvre inférieure tellement que la colère m'emportait.
Il le regrettera ! Il le regrettera !
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Une semaine était passée depuis ce qui était arrivé. Ce connard de V m'avait fait voir de toutes les couleurs. Tout le lycée était contre moi. J'étais devenu la risée du lycée. Le matin j'avais le droit à du lancer d'œufs, le midi à ma tête dans l'eau des toilettes puis le soir à des insultes et à des coups.
Oui je subissais ça depuis une semaine.
Yuna me défendait mais je ne voulais pas qu'elle est de problèmes alors je me suis éloigné.
Je n'osais rien dire à mon père parce que je risquerai aussi d'être punit dans tous les cas possibles.
Sacrée vie que je mène. Merdique à souhait.
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Pdv de Kim Taehyung :
Nous sommes le lundi 15 septembre.
Et ça va faire une semaine que Minju est devenu grâce à moi la risée de tout le lycée. Pfft. C'était plus facile que je ne l'espérais.
Oui je veux la voir souffrir ! Je veux la voir pleurer!
C'est à ses mots qu'un Jin en colère se montra.
Jin : Mais qu'est-ce que tu fais Tae? Ça va pas ou quoi? Laisse cette Minju tranquille!
Je ne dis pas un mot et je suis parti comme si de rien était.
Jin : Arrête de fuir Tae!!!
Et je suis définitivement parti. Sa voix résonnait encore à mes yeux. Je ne fui pas! Non je ne fui pas!
On avait déjà le soleil couché. Notre ville merdique avait ce paysage horrible et crasseux quand le soleil se couchait.
Cela va faire une semaine que je ne les avais pas revu. Je me réfugiais dans des coins sales et peu vu des passants puis volais dans des magasins pour nourrir ma faim.
Mes affaires se trouvaient chez les hyungs et je ne voulais pas rentrer.
Ah! Qu'est-ce que je suis en train de faire?
Je suis perdu. Pfft. Qui l'aurait cru?
Soudainement j'entendis des appels à l'aide étouffés. Oui dans une rue peu fréquentée. Cette voix me paraissait familière.
... : Détend toi on va juste s'amuser mon pote et moi...
Mes yeux avaient rencontré la scène. Mais c'est Minju.
Elle va se faire agresser par des gars du lycée.
Non...elle...elle pleure...
... : Reste tranquille !! Arrête de te débattre ! Aïe putain elle m'a mordu cette salope!!
Il l'a frappa au visage et son ami répliqua.
... : Pas le visage t'es un fou toi?! Comment tu veux qu'on fasse pour la baiser après!?
Ça partait trop loin. Ce n'est pas ce que je voulais. Je ne voulais pas ça. Non je ne veux pas la voir souffrir. Je ne veux pas la voir pleurer. Non...non...ce n'est pas ça...
C'était parce que j'avais besoin d'un fautif. D'une personne à blâmer. Oui pour tous mes problèmes qui s'étaient enchaîné. Et elle était là au mauvais moment c'est pour ça que je me suis acharné sur elle. J'ai fui mes problèmes en me mesurant à elle. Et pire que ça je l'ai fait souffrir alors que ce n'était pas de sa faute. Mais c'était la mienne. Je me blâmais moi et pas elle. C'est moi qui lui a fait tout ça ?
En fait je ne voulais pas de tout ça. Je suis un vrai salaud!
Je courrus jusqu'à l'endroit où elle se trouvait puis frappa l'un des gars pour enfin hurler de toute ma rage.
Moi : DISPARAISSEZ !!!!
Ils partirent tous deux apeurés par moi. Elle avait les larmes qui coulaient sur ses magnifiques joues. Sa chemise était déchirée, sa jupe froissée, son souffle apeuré. Je m'accroupie à sa hauteur puis essayai de lui sécher ses larmes du revers de ma main mais elle recula.
Je souris tristement à ça. Oui je comprends.
Minju : Je pleure ça y est. Tu es content? Tu as gagné!
Elle se releva puis s'en alla, m'ignorant sur place.
Je suis le pire des enfoirés...
(╯︵╰,)(╯︵╰,)(╯︵╰,)(╯︵╰,)
Le lendemain arriva.
J'envoyai un message à Jungkookie. Je ne voulais pas qu'il est une mauvaise image de moi. Oui parce que je voulais être son super grand frère et pas le super connard. Je m'étais excusé auprès de lui. Et lui avait révélé mes intentions.
Le destin avait gagné.
J'en ai assez de vivre.
J'allais emprunter la voie du suicidaire. Je ne mérite pas de vivre. Je veux mettre fin à mes jours. Je suis plus pire que mon père. Je ne mérite même pas cette vie. Je ne mérite rien.
Je montais ses escaliers qui m'amenaient jusqu'au toit du lycée. Mon coeur serré par la vie que je menais, je fus arrivé sur le toit.
Arrivé au bord du toit je sentis l'air frais de cette ville merdique. Le soir était au rendez-vous. Ironique pas vrai?
Le soleil étai agréable à regarder. Comme quand je fut enfant. Je souris à cette idée. J'allais enfin dire au revoir à ce monde cruelle. Enfin...
La main dans ma poche je remarquai la lettre de ma mère. Je ne l'ai même pas encore lu. Ce n'est pas grave je vais la rejoindre elle et ma grand-mère.
J'avançais alors mon pied dans le vide.
Au revoir destin de merde...
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Voilà la fin de mon chapitre j'espère que vous l'avez apprécié. Je ne sais pas si cette fanfic vous plait mes chers amis(es) donc laissez vos commentaires et vos votes !
Aimez commentez !
Love u!!!! 😂😆😍😘😘😘😋😎
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