Chapitre 16 : Maman
Bonjour ou bonsoir à tous ! Je sais "Maman" ça fait un peu drôle mais il y a une raison à tous ça. Sinon je remercie les personnes qui... Oh et puis merde hein ! C'est toujours le même charabia qu'on sent tape totalement alors bonne lecture et je vous aimes mes chères lectrices ou lecteurs s'il y en a on sait jamais ! ^ω^
La soirée se finit par la bonne humeur et la joie extrême. Mais malgré cela je me sentais toujours inquiet et je ne comprenais pas pourquoi mais c'est sûrement qu'une impression. De toute façon le destin est contre moi ! On verra bien ce qu'il me concocteras cette fois. Rien que pour son Tae adoré.
Et voilà le vacarme pas possible avait commencé. Suga hyung et J-Hope hyung hurlaient à travers de la pièce parce qu'ils se fesaient un gros débat sur le sujet de qui avait mangé les sucreries de Suga hyung. Très important en effet mais aussi Maman et Rapmonster hyung se disputait pour les chaînes TV. Ah de vrai gosse ! Mais le pire de tous ce n'est pas de devenir sourd en moins de 3 secondes mais c'est qu'ici c'est la maison des hyungs. Et qu'ici c'est le plus petit qui fait tout le travail. C'est à dire faire la vaisselle, le ménage, le linge, mettre et débarrasser la table... Et bien sûr j'en passe ! Et oui quelle injustice ne trouvez vous pas ?
La pluie avait décidé de se verser sur cette maudite ville. On pouvait entendre le bruit des petites gouttelettes qui se cognaient contre les vitres. Le vent se vidait de tout son souffle. Les volets frappaient avec fracas les murs de la maison des Hyungs.
Je fus enfin allongé sur un lit. Mon lit temporaire pour dire vrai. Je regardais l'heure sur la montre que ma grand-mère m'avait offert.
Il était minuit passé. On était bien samedi matin. Le week-end était déjà entamé. Pour vous avouer la vérité j'aimerais parfois que le temps s'arrête. Qu'on reste figé dans notre quotidien éphémère. Une pensée égoïste ne trouvez vous pas? Je suis un extrême égoïste qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Un homme qui ne devrait même pas exister. Et tout ça à cause d'une stupide erreur de la part de mes parents immatures. Et ma grand-mère je lui en avais fait voir des vertes et des pas mûres. Hahaha ! Surtout la fois où j'avais failli me suicider. C'était la première fois que j'assistais à une preuve que quelqu'un m'aimait dans ce bas monde. Vous ne savez pas à quel point ne pas être aimé par aucune personne de votre entourage peut faire atrocement mal. J'en ai eu toute une petite expérience. C'est peut-être pour ça que j'ai voulu sauver Kookie. En fait quand je le regardais la seul chose que je voyais c'était mon reflet. Je devais le sauver ! Et le protéger comme ma grand-mère avait fait pour moi. Lui montrer que d'autres personnes l'aiment en retour. Je voulais être la personne que je désirais le plus quand je me retrouvais face à mon père. Que quelqu'un puisse avoir le courage de m'aider. Et je fus cette personne pour Kookie. C'est peut-être pour ça qu'il me vénère presque? Sans plus attendre une minute de plus le silence me berça et m'encourageais à me réfugier dans les bras de Morphée. Mais mon portable me rappela à la dur réalité ! Je grognais de rage car je déteste qu'on me dérange dans mon sommeil ! C'est pratiquement la pire chose qui pouvait m'arriver ! J'attrapai mon portable d'une main rageuse et décrochai se putain d'appel.
Moi : C'est qui !!!?? Dis je d'une voix énervée.
... : Tae je t'en pris viens me sauver. Ton père...il...il veut me tuer. Dit elle avec une voix tremblante par ses pleurs. Sa voix était basse. Et c'était aussi ma mère. Je t'en pris sauve moi. Et elle fini en pleure tout en se retenant de faire du bruit.
Même si je détestais ma mère je ne pouvais pas la laisser mourir. Qu'est ce qui m'avait pris de la laisser avec un fou!? Mon père a dû se défouler sur elle !
Père : Où est-ce que tu te caches chérie~? Je vais te trouver~
J'entendus ses pleurs étouffés s'accélèrés. Je me levais instinctivement et enfilai à toute allure un pantalon noir puisque je dormais toujours en caleçon la plupart du temps hein ! Mais sinon j'enfilais un sweat-shirt noir puis ma blouse en cuir suspendue au porte-manteau(voir média) et couru vers l'entrée pour sortir de la maison des Hyungs.
Moi : Où es tu cachée ?
Après qu'elle réussit à se calmer elle me répondis.
Maman : Dans...dans le placard de...de ma chambre.
Ah ! Pourquoi là? C'est une cachette qui amène à la mort assuré ! C'est tellement typique ! Même dans les films d'horreur c'est plus originale ou quoique ce soit puisqu'en général je n'aime pas regarder des films gores, fantômes et tout ce qui va avec. Ceci dit je lui répondis à mon tour.
Moi : J'arrive ne bouge pas à part s'il te trouves !
Je raccrochais immédiatement et par la suite je composais le numéro de police et leur demanda de venir à tel et tel rue enfin vous savez le principe quoi ! Pas la peine d'expliquer en détails ! Je tournais au boulevard et continuais de courir le plus vite possible sans m'arrêter.
Je fus enfin capable d'apercevoir mon bâtiment qui bien sûr n'avait qu'un ascenseur qui marchait de deux à l'heure mais aussi des escaliers qui ma foi serait plus efficace. Je décidai alors de prendre les escaliers et m'arrêtai enfin vers la porte d'entrée. J'étais presque essoufflé pas à cause du sprint que je venais d'accomplir mais par mes émotions. J'avais aussi la conviction que mon père était armé d'un putain gros couteau de cuisine. Alors je devais faire attention. Parce que moi je n'avais rien et surtout je ne devais pas laisser ma mère mourir. J'entendus alors les appels et les supplices de ma mère effrayée. J'essayais d'ouvrir la porte d'entrée mais rien à faire ! Cette porte est toujours aussi têtu à ce que je vois ! Et en plus j'avais pas pris mes doubles clés ! Bon faisons là à la Kim Taehyung ! Je défonçais la porte et entrai après deux essais. Je vus ma mère allongé au sol et mon père tenant le putain gros couteau de cuisine comme je l'avais prédit ! Il allait la poignarder mais j'intervins cette fois-ci à la version tacle à la rugbyman. Mon père se retrouvait ainsi par terre et moi de même et j'essayais de retirer le couteau de cuisine de ses mains. L'état de ma mère n'était pas très beau à voir. Je le savais. Mais je devais d'abord privé mon père d'armes. Que ce soit ciseau, compas, crayon ou stylo, couteau etc... Tous objets pointus. Mais mon père ne rivalisait pas contre ma jeunesse. Ce n'est pas pour me vanter mais il est saoul et légèrement âgé quand même c'est pas rien. À force de boire ses muscles se sont un peu dégourdis. Ceci explicitement dit je fus capable de simplement me relever. Mon père est plutôt fort pour prendre par traître. Alors il m'avait légèrement coupé vers le bras. Ma main n'avait pas été touché. J'appuyais avec ma partie qui me servais de main la plaie. Heureusement pour moi il n'avait pas touché une grosse veine. Mais ma blessure n'était pas super profonde. On voyait seulement l'intérieur de ma chair et le sang qui en sortait. Rien de mal.
Mon père était en face de ma mère et moi.
J'étais devant ma mère pour la protéger de lui. Il fallait que je gagne du temps. Mais comment je pourrais faire ça ? Juste le désarmer. Et comment ? À la façon militaire c'est ça ?
Il s'avança légèrement et avec le couteau qui menaçait de me tuer. Puis recula sous ma menace de le tuer s'il fait un pas de plus.
Père : Comment est-ce que tu ose revenir après tout ce que tu m'as fait hein ! Espèce de sale gueule !
Cette fois ci il se rua vers moi. Que devais faire ?
Moi : Maman pousse toi ! Criais je.
Je la poussais alors puisqu'il allait la toucher. Heureusement que mes réflexes ne m'ont pas quitté ! Je me retournais directement dos au sol vu qu'il essaya de me poignarder derrière mon dos. Il s'asseya sur moi et essaya d'enfoncer la lame dans mon visage. Mais je réussi à stopper sa main à temps. Alors une vraie épreuve commençait. La lame s'approchait de plus en plus de ma figure. Je voyais la fin qui se sentait bientôt. Ma mère cria mon prénom. Elle avait peur pour moi. C'est la première fois qu'elle s'inquiètait pour moi! Vous ne savez pas combien je me suis sentis heureux. Enfin ma mère s'inquiétait pour moi ! Je souris comme un heureux fini. Oui j'étais heureux ! Mais la lame se dirigeait dangereusement vers moi. J'essayai de garder le plus de distance. Mais ma blessure me faisait rappeler à quelle point il ne m'avait finalement pas trop raté. Plus je forçais et plus la blessure se rouvrait. Et le sang coulait à grand flot. La douleur était comparable à de millier de petites aiguilles qui s'incrustaient dans ma chair et qui s'amusait à me tirailler en déchirant ma peau. Toute ma blessure tirait ma peau. Je grimacais de douleur tandis que mon père riait à plein poumon.
Père : Meurt ! Meurt ! Comme moi ! Je mourrais et trouverais mon bonheur ! Ta mère et toi vous viendrez avec moi ! On a commencé ensemble alors on finira ensemble !
J'essayai avec peine de le faire basculer sur un côté. Pour pouvoir avoir l'avantage. Je n'y arrivait malheureusement pas. Le couteau se rapprochait de plus en plus de moi. J'allais bientôt cédé à cause de ma blessure qui me maltraitait à elle toute seule. Le coeur serré je compris que la fin approchait. Je fermais les yeux et tournais ma tête d'un côté comme signe de désespoir. Je ne gagnerais jamais seul contre mon père. Je suis nul !
Le bout du couteau se frôla sur ma tempe. Mais ma mère arriva et bouscula mon père d'un côté. Je me relevais rapidement toujours un peu sous le choc.
Mère : Ne touche pas mon fils espèce de monstre !
Père : Je te signal que tu as baisé avec ce monstre ! Et ce putain de gosse que tu as toujours essayé de protéger est une progéniture de ce monstre ! Oui je suis un putain de monstre mais tu as aussi éduqué le nouveau monstre !
Mère : C'est faux ! Tae n'est pas un monstre ! Il est peut-être ton enfant mais il ne sera jamais comme toi !
Ils se criaient, hurlaient dessus tout en se débattant. Ma mère se trouvait assis sur son torse. Et lui il se débattait le couteau à la main.
Qu'est ce qu'il voulait dire par là ? Qu'est-ce qu'elle avait fait pour moi à part m'insulter?
C'est à ce moment là qu'on entendu la sirène de police retentir. Mon père paniqua et se débattait plus violemment.
Père : Pousse toi espèce de putain !
La voix de ma mère s'arrêta d'un seul coup. On entendait plus que sa respiration qui s'était presque arrêtée. Elle se retourna vers moi (puisque je la voyais de dos) et je vus ses mains vers son bas ventre tâchées de son propre sang. Elle fut étonnée et n'avait put comprendre pendant un instant qu'elle s'était faite poignardée. Elle s'écroula alors sur le sol mourante.
Moi : MAMAN !
Je voulais me relever pour lui porter secours. Je glissai soudain à cause de mon propre sang. Mais je fus enfin capable de me lever.
Il allait lui porter un autre coup pour se suicider ensuite mais je l'en empêchai. Ma mère toujours au sol et perdant peu à peu sa vie possédait les yeux fermés. La police entra alors et géra avec succès la situation.
Vous savez comme dans les séries policières.
Je me retrouvais alors dans le camion d'ambulance. Je racontais alors mon témoignage et je me fit soigné.
... : Voulez vous accompagné votre mère à l'hôpital ?
Je réfléchis un moment mais je me décidai finalement.
Moi : Oui je viens. Dis je d'un ton calme.
Voilà comment je me retrouve à l'hôpital avec le bras droit enroulée de bandages.
-------------------- End du chapitre ----------------
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