15-L'élève surpasse le maître...du sexe...
Harry
–
Pas de sexe, juste de la tendresse, c'est la seule chose dont j'ai envie. C'est bizarre quand même, je ne comprends pas exactement ce qui m'arrive.
Je dois couver quelque chose.
Comme un petit enfant qui a besoin de sa mère, moi j'ai besoin d'une femme.
C'est ça... j'ai le rhume !
Est-ce que l'on peut être asymptomatique ?
Sûrement !
_À Louis_
T'as petite, elle avait le rhume hen ?
— Qu'est qu'elle voulait ton amie, demande Abygaïl en mettant l'accent sur "amie".
— Elle voulait juste...
Je perds le file de la conversation quand le son de mon téléphone résonne.
_De Louis_
Ouais, mais ça fait déjà un bon moment, pourquoi ?
— Elle voulait juste... la dernière fois que l'on c'est vus notre soirée c'est mal terminé et j'ai juste oublié de la rappeler, expliqué-je grossièrement.
_À Louis_
Je ne me sens pas super bien, elle m'a sûrement contaminé.
— C'est ton ex copine ou juste une "amie" ?
— Une amie avec bénéfice, avoué-je.
_De Louis_
C'mon tu me niaises, ça fait vraiment longtemps et c'est quoi cette soudaine maladie ?
— Et elle désirait plus ?
— Non pas vraiment, mais disons qu'elle appréciait ma présence.
— Ah, elle aimait bien baiser avec toi, dit-elle amusé.
— Genre... Bon, on l'écoute le film, dis-je pour mettre fin à cette discussion.
— Tu choisis lequel ?
— Mon choix, sans hésitation !
— Ah... non ! Je ne l'ai jamais vue le deux.
— J'accepte, mais à une seule condition, troqué-je
— Quoi ?
— Tu restes à dormir et demain on écoute mon film.
— Humm... okay deal !
Putain de Christian Grey à la con, pourquoi t'existe déjà...
On ne veut pas le savoir...
— Tu mets le film et je m'occupe du pop-corn, proposé-je.
— D'accord ! se réjouit-elle.
Je vais évidemment profiter de l'occasion pour répondre à mon cher ami.
_À Louis_
Je me sens juste étrange, j'aimerais ça te le dire, mais tu vas te foutre de la gueule...
_De Louis_
Jamais !
Il est tellement bon menteur, il est avocat lui aussi après tout.
_À Louis_
La fille qui m'accompagnait l'autre soir, elle est chez moi et je ne sais pas trop... c'est différent.
_De Louis_
Humm, laisse-moi réfléchir, quelle fille ??
_À Louis_
Arrête de déconner, bon, je te reparle demain, elle m'attend pour écouter un film.
_De Louis_
Un film ???
_À Louis_
Ben oui... un film !
_De Louis_
Quel genre ? Genre, chaud brûlant...
_À Louis_
T'es vraiment con, je ne te dit plus jamais rien🖕 je ferme mon téléphone, bonne soirée !
_De Louis_
Bonne soirée donjuan !
_À Louis_
🖕
Un petite démonstration du langage de gars.
Il a compris le sous-entendu.
"J'ai besoin de toi mec, mais jamais je n'oserai te le dire directement".
Il va revenir à la charge au bureau lundi, c'est assuré.
De retour avec le bol de maïs soufflé, je m'installe près d'elle et je mets le film en marche.
Nous sommes tout près l'un de l'autre sur mon canapé, moi assis et elle couché, sa tête est positionnée sur ma cuisse.
Le film est nul et même que par moments, je me retiens pour ne pas somnoler.
— Qu'est que tu as pensé la première que tu m'a vue ? demande-t-elle soudainement.
— Mmmm ?
— Au resto, tu t'es dit quoi ? me redemande-t-elle.
— Je... je me suis dit...
Je ne peux pas lui dire la vérité, "je te regardais accroupi et j'avais envie de me faire sucer la bite".
— Je me suis dit que...il faut vraiment que je raconte ça.
— Au départ, pas forcément, mais là, en te regardant embarrassé de cette façon, oui, rigole-t-elle.
Bien sûr, elle est vilaine la petite.
— Eh bien, je me suis dit que tu étais très jolie, une des plus belles femmes que j'ai vues, dans mon top trois, sans hésitation, dis-je en rigolant.
— Hey...
— Bon, okay, mon top deux, blagué-je à nouveau, sérieusement, quand tu m'as si gentiment fait comprendre que tu n'avais pas un centième de temps à m'accorder et que j'ai compris que ce n'était pas ce soir-là que tu finirais dans mon lit et bien, je me suis dit que tu étais...
— Que j'étais quoi...
— Que tu étais...différente.
Je ne sais pas de quelle façon sonne ma réponse, mais je pense qu'elle a bien passé, parce que quelques secondes plus tard elle se retrouve à califourchon sur moi à se frotter contre mon sexe.
Honnêtement, je n'avais pas l'esprit mal tourné quand je lui ai demandé de revenir pour écouter le film. Juré. Mais bon, un mec même épuisé, malade ou déprimer ne peut pas résister à ce genre de mouvement.
Il ne faut pas trop m'en demander.
Ma main se balade jusqu'à son cou, la sienne effleure mon ventre jusqu'à la naissance de mon jogging.
— Je te jure Aby que ce n'est pas avec l'intention de faire des cochonneries que j'ai insisté pour que tu reviennes, mais là, par contre, si tu commences cela, je ne pourrais pas m'arrêter, me suis-je justifié.
Okay, je deviens ridicule là !
Mais... elle ne s'en sortira pas aussi facilement.
— Toi, qu'as-tu pensée de moi la première fois que tu m'as vue, tu sais la fois où tu m'as fait ramasser de la vaisselle sale.
Elle sourit et lève les yeux l'air de réfléchir.
— J'ai pensé... pauvre type, il veut tellement et, finalement, il n'aura rien du tout, rigole-t-elle.
— Hey, mais t'es vraiment méchante toi, dis-je en la chatouillant.
— Sérieusement, je me suis dit que tu étais très charmant, dit-elle en laissant glisser son index sur ma joue et ensuite sur mes lèvres.
— Quoi d'autres ?
— T'es yeux et ton sourire, ajoute-t-elle, je me suis remercié intérieurement d'être célibataire, poursuit-elle en continuant sa décente le long de mon cou et ensuite de mon torse, et puis, ensuite, j'ai pris la peine d'écouter ce que les femmes racontaient sur toi.
— Et c'est à ce moment-là que j'ai perdu toute chance, dis-je en cachant mon visage avec mes mains.
— Mais après un moment, j'ai compris qu'il y avait beaucoup plus que ce qu'elle disait.
Elle s'invite maintenant dans mon entre jambe,
— Tu es brillant et drôle, tu es attentionné et très gentil, je suis choyé d'être près de toi ce soir.
Et n'importe quel autre soir bébé.
Évidemment, je ne l'ai pas dit, mais je le pense.
Ma bouche se presse contre la sienne et sans se faire prier elle me donne accès.
Lorsque j'essaye de la faire rouler de façon à ce qu'elle se retrouve sous moi, Abygaïl, opte pour autre chose. Elle me repousse et vient déposer un dernier baisé sur ma bouche avant d'entreprendre une série de délicieuses caresses, avec sa bouche, le long de ma mâchoire, de mon cou, mon thorax, mon ventre et... doux Jésus.
J'ai de la difficulté à penser.
Ses mains s'agrippent à mon boxer, qu'elle fait glisser le long de mes jambes. Elle me regarde un bref instant.
Un sourire et ses joues se colorent d'un rouge pivoine.
Elle débute un lent mouvement de va-et-vient, emprisonnant mon sexe dans sa petite main, bien au chaud.
Avez-vous déjà vu un homme bandé ? Assurément, oui, mais jamais comme je le suis en ce moment.
Elle mouille ses lèvres et prend ensuite mon sexe en bouche.
Mes yeux tentent de se fermer sous le plaisir, mais je m'efforce de les laisser ouvert, pour rien au monde je ne voudrais perdre ne serait-ce qu'une seule seconde de ce magnifique spectacle.
Putain !
Je vous ai déjà parlé de mon petit penchant pour les fellations...
Avec elle, c'est l'extase, je vous jure.
Elle suce de manière si douce, pas comme les autres. C'est délicat, lent, et foutrement bon.
Pour un homme, le sexe oral, c'est la façon simple et rapide d'avoir du plaisir. Que la fille suce bien ou moyennement bien, tant qu'elle ne vous blesse pas, c'est presque impossible de ne pas aimer.
Pour en revenir à ce que je disais, Aby est une experte.
Sa bouche chaude va-et-vient de façon exquise en même temps que sa main douce manipule mon membre avec sensualité.
Je ne serai pas long, ne t'inquiète pas bébé.
Sa langue tournoie autour de ma bite et l'effet des légères aspirations, me mène droit au paradis.
Je gémis comme un con en agrippant le coussin du sofa.
— Il va falloir ralentir la cadence, sinon, je n'aurais pas le temps de m'occuper de toi, dis-je en retenant un grognement.
— C'est un peu comme un cadeau pour te remercier, répond-elle avec un sourire taquin.
Me remercier de quoi ? Aucune idée, on y reviendra.
— Et moi je peux t'offrir un cadeau de bienvenue, ajouté-je.
Je crois que la réponse, c'est non, puisqu'elle accélère soudainement ses mouvements, sa main me caresse avec beaucoup plus de fermeté et sa bouche me prend beaucoup plus profondément.
J'essaie de tenir, je veux tenir, je veux profiter, c'est peut-être la dernière fois, mais quand elle plante son regard dans le mien, c'est la mort. Que Dieu ait mon âme.
Dieu ou Abygaïl.
— Aby, je vais... bébé si tu... je...
L'avertissement !
J'espère qu'elle comprend les messages codés, parce que c'est impossible pour moi à cet instant d'entretenir un discours cohérent.
Et elle reste là... et elle continue.
Ma bite glisse entre ses lèvres à la perfection.
Elle est faite pour être à cet endroit.
Une main dans ses cheveux et l'autre cherchant appuie quelque part, je me laisse emporter. En gémissant son nom, ma semence remplit sa petite bouche.
Ma respiration est rapide et je souris comme un parfait idiot.
— Où as-tu appris à faire ça bordel, dis-je encore essoufflé.
— J'ai écouté beaucoup de porno, conclût-elle en rigolant.
Wahoo, c'était complètement dingue. On dirait qu'elle a plus d'expérience que moi. Pour le sexe bien sûr, pas pour sucer. Petite précision.
La suite...
Elle s'est endormi sur moi, dans mes bras, et bizarrement, tous mes symptômes grippaux ont disparu.
Étrange n'est-ce pas...
🦋
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