Attention, ce chapitre contient des scènes pouvant choqué la sensibilité d’autrui.

Il a commencé à mordre dans son chien qui ne comprenait plus rien, il a décidé de commencé par le cou... sage décision.
A chaque croc, le chien hurlait de douleur et de tristesse et le maître lâchait des larmes et manquait de vomir.

Il lui arracha un lambeau de chair, puis, il l’à mastiquer avec douleur. Il tirait au cœur toute les deux secondes, le chien, lui manquait de s’évanouire à tout moment, il tremblait tellement ! Je ne saurais déterminer si c’était des tremblement dû à la douleur ou bien à la peur. Nous le sauront jamais.
Après une heure de spectacle, le chien rendit l’âme. Et j’ai envi e dire que c’était pas trop tôt, ça allait deux secondes !

Alors que je m’arrêtait à partir, j’entendu un brut sourd provenant du haut.
J’interrogea les filles du regard, mais elles semblaient toutes aussi confuses que moi.
Nous sommes montées, et avec notre plus grande surprise, nous l’avons vu, elle.

Pdv : inconnu.

Lorsque je les ai vu, j’avais la rage. Elles ont gâcher ma vie, et le pire, c’est qu’elles s’en foutait, quand elles me voyaient dans le mal, il n’y en avait pas une pour rattraper l’autre.
Elles n’ont jamais rien fait pour tenter de me retrouver.

J’ai fait semblant de m’être suicider pour voir si il y avait encore une personne sur terre pour qui je comptais. La réponse fut très simple... non.
Personne n’à versé de larmes pour moi, aucune d’entre elles ont eu des pensées pour moi. Elles ont lu, puis elles sont parties. Certaine d’entre elles ont même oser penser que j’étais qu’une faible et que c’était mérité...

Pdv : Céline.

Non, ce n’est pas possible ! Elle est revenue près de moi !  Ma meilleure amie ! Sonia !!

Sans même réfléchir, je lui ai sauté dessus, je le regrette... sérieusement.

J’ai senti une douleur abdominale juste atroce. Au moment où je l’ai pris dans mes bras, je n’ai pas eu le temps de sentir sa peau que j’ai eu mal.

Et alors que je réalisais ce qui se passait, elle le planta encore plus profondément avant de me faire tomber en arrière en le prenant brutalement ce qui me lacha un cris de douleur.

Elle m’a planté... Elle m’a planté.
Ma meilleure amie m’a planté...

Je n’y croyais pas, comment a t-elle pu me faire ça ?
Je ne ressentais même pas la douleur de ma blessure, je n’entendais rien. J’avais juste mal au cœur qui avait déjà tant souffert.

Pourquoi ? Pourquoi l’avoir fait ça à moi ??

Je me suis levée et je lui ai hurlé avec toute la rage que j’avais dans mon cœur :

" - POURQUOI ? POIRQUOI TU M’A FAIT CA A MOI ! QU’EST CE QUE JE T’AI FAIT HEIN ? EST CE QUE UNE SEULE JE N’ETAIS PAS LÀ POUR TOI ?? HEIN ! REPONDS MOI ?

- Calme toi déjà, tu vas crever dans ma longtemps alors econooise tes force s’il te plaît... Rappelle moi qu’elle a été ta réaction s’il te plaît. Lorsque tu as lu cette lettre ? Tu as pensé quoi ? Dis moi !

Flash back :

Cassy était venue vers Céline avec une feuille dans les mains, cette dernière l’à interrogé du regard avant de lui demandé :

" - C’est quoi ça ?
- Ta pote qui a ruiné sa vie vient de comprendre qu’elle ne sert à rien ici.
- Qu... hein ?
- Bah prends la feuille et lis. ”
Elle lui a tendu et Céline l’a prit, dès les premiers mots, elle comprit ce qui c’était passé et des larmes coulaient sur ses joues.

Voici mes dernières paroles.

Mes derniers mots.

Mes derniers souhaits.

Ca a été un plaisir de passer du temps avec vous, je remercie particulièrement Cassy, qui, sans elle, nous ne saurons pas là. Mais aussi Céline, qui a toujours eu confiance en moi.

Je suis désolée mais je n'arrive pas à vivre sans ma famille.  

Je suis la cause de leurs décès même si vous me rassurerez en me disant que le seul coupable et bien le meurtrier mais il y a toujours cette petite voie au fond de moi qui me tourmente en me disant que si je n'avait pas eu de blog, on n'en serait pas à là. 

Ce qui est vrais.

Tout les jours, sans exception, je me remémore leurs sourires, leurs petites attentions, les merveilleux instants passé avec eux... C'en est  trop pour moi. 

 Je sais que vous voulez vous venger. Et j'espère que vous réussirez, mais je n'ai pas la force de me battre. Tout ce que je veux, c'est de quitter ce monde si cruel. 

Je n'ai que 15 ans, je sais, mais je n'ai déjà plus de force. 

Il m'a tout pris.

Alors, oui, désolé.

Désolé à ma famille.

Désolé à vous, les filles, qui m'ont soutenu malgré les épreuves.

Désolé à vous, mes ancienne amies avec qui nous partagions tout.

Désolé au meurtrier, il ne m'aura jamais vu.

Désolé tout le monde, mais je n'en peux plus... 

Il m'a vraiment tout pris.

Des larmes inondèrent son visage.

" - Sonia, Sonia... ”

Fin du flash back.

" -  Qu’est ce que j’ai fait ?? Qu'est ce que j’ai fait ? J’ai pleuré m'a belle, j’ai voulu te rejoindre et après je me sis dit que c’était comme ça et qu’il fallait que je me base pour nous deux !! Et toi tu reviens et tu me planté ??

- Tu as cherché un cadavre ? Tu es parties cherchersj c’était vrai ?  Non. Quand  tu le voyais sombrer, j’étais seule, seule avec mon désespoir. Et maintenant tu reviens comme une fleure qui sent le jasmin et tu me pre’de dans tes bras ??

- Je reviens comme une fleure, dit-elle cette qui fait croire qu’elle s’est suicider !  Répliqua Amina.

- Ta gueule ! Tu fais la grosse dure mais tu es qu’une petite gamine insolente sans aucune confiance en elle qui a buté ses parents parce qu’elle n’est pas foutu de les écouter ! lui a crié Sonia.

- On passe à côté du plus important... 
C’était la première fois que Cassy parlait.

- Comment ça. Lui ai-je demandé.

-  Sonia... ma petite Sonia. Depuis le tout début je ne t’aimais pas, mais je n’avais pas de raison valable alors je te laissais avec nous... mais au plus tu restais, au plus je pensais que tu n’avais rien à faire avec nous... Et puis quand j’ai vu la lettre, j’ai compris.

Tu étais une taupe. Tu étais la taupe de Ben et quand tu as vu qu’il n’a pas respecté votre marché, donc qu’il a tué ta famille, tu as péter un plomb. Logique, tu lui donnais tout un tas de renseignements sur nous en échange de la protection contre tes parents et toi.

Tu veux que je te dises quoi Sonia. Quand j’ai lu ta lettre, la première pensée que j’ai eu pour toi et que tu es faible et que tu restera faible. Tu fuis au lieu d’affronter la réalité, tu choisis tout le temps la manière la plus simple au risque de perdre les tiens. Tu ne sers à rien, ni pour nous, ni pour Ben, ni pour ta famille.
Tu es la honte de nous, de Ben et de ta famille. Alors maintenant tu viens, tu nous casse la tête et tu te crois supérieur alors qu’en vrais, même si tu nous tue , tu auras juste prie le travail que nous avons fait. On  t’a mâché le travail et tu récupère les morceaux... Alors vas-y, sois fière ! 
Mais moi je sais que, peu importe la suite, j’ai venger ma famille, comme je l’ai voulu et comme on s’était promis de le faire...
Tu vas tué ta seule amie, tu en es fière ?
Tu as trahi les seuls personnes qui on eu confiance en toi, tu en es fière ?
Tu as participé au meurtre de ta seule famille, tu en es fière ?
Alors vas-y, sois fière !  C’est tout ce qu’il te reste ! ”