Chapitre 9 : Amina.
Pamela est morte assassinée... Ok.
En vrais je m'en fou de ouf ! Qu'est ce que ça peut me faire à moi, chose sûr, je ne l'aurais jamais tué sans raison et surtout pas avec autant d'atrocité. Je me réserve pour L'homme de la nuit.
En parlant de lui, il va payer. Le pauvre s'en est pris au mauvaises personnes !
Avec les autres, on a commencé à cherché des infos sur sa vie... Et on est servit !
On a commencé par cherché des info sur Facebook. Etant donné que je l'avais vu on allait très vite reconnaître son visage de traitre.
" - Et BIM !! a crié Céline en brandissant son poing en l'air.
- Tu l'as trouvé ?? lui ai-je demandé tandis que Cassy la regardait profondément.
- Oui !! Et c'est sa meuf qui m'a conduit à lui !!
- Montre ! "
Et effectivement, j'ai revu son visage.
Flash back :
PS: Je crois qu'il est là.
Elle avait fini d'écrire son message, puis, sans aucune hésitation, l'a envoyé sur la page de son vlog. Après ça, elle a entendu un bruit, comme si on ouvrait une fenêtre. Et c'était le cas, derrière elle ce trouvait un homme, de 36-37 ans avec un regard assassin et un sourire meurtrier. Elle le savait, sans même se retourner, que si elle ne s'activait pas, elle mourrait. Alors, elle prit sa batte de baseball et lui assena un coup de batte sur sa tempe. Cela ne lui à qu'étourdit mais c'était suffisant pour lui échapper, alors, elle courut jusqu'à la fenêtre, s'apprêta à sauter mais une main avec une poigne impressionnante l'en empêcha. Elle se retourna et vit une lame de 30 centimètre s'enfoncé dans sa côte droite. Elle serra les dents de peur d'avertir ses parents de ce qu'ils se passait et lui mit un coup de pied phénoménal entre les jambes, il retomba mollement sur le lit tandis qu'elle s'échappait.
Une main sur sa blessure, une pensée pour ses parents, une crainte qu'il ne l'a talonne, et une envie de quitter ce monde sans précédent, elle courut à travers le pavillon, il était tard, elle ne savait pas où elle allait, elle avait peur et mal... Rien n'allait. Au bout de 10 minutes de course sans arrêt, elle fit une pause et réfléchit à la situation...
Elle était trop loin du commissariat de police et rien que l'idée de faire demi tour lui donna la nausée, les chances qu'ils se croisent battait tous les records...
Alors où aller ?
Elle se remémora alors l'adolescente qui suivait ces meurtres de près. Et si elle y allait ? Tous ce qu'elle savait, c'est qu'elle s'appelait Cassy et que c'était à Marseille, vers le vieux port qu'il fallait aller.
Il fallait donc qu'elle prenne le train, sans argent et sans sa carte Navigo, elle n'avait d'autre choix que de gruger... De plus, elle n'avait aucune envie que son nom soit enregistrer dans les ordinateurs de la gare, il serait alors très simple de la suivre à la trace...
Elle en avait pour cinq heure de trajet, en s'asseyant dans le train, elle eut le temps de réfléchir...
Et si le tueur de la nuit s'en serait pris à ses parents ?
Et si elle l'avait laissé la tuer ?
Ne seront pas t'ils en sécurité ?
Un pincement au cœur l'a pris. Non, elle s'occupera de lui plus tard. Elle ne peut rien pour eux. Pour l'instant, il faut qu'elle s'occupe de sa propre survit. Sa douleur lui faisait terriblement mal et malgré la situation, elle avait énormément faim. Elle ne savait pas si elle allait survivre cinq heure avec une plaie aussi grosse.
Mais elle n'avait pas le choix, il fallait qu'elle se batte pour sa survit, puis pour la survit de ses parents.
Une fois arriver à la gare de Marseille, elle prit le bus jusqu'au vieux port. Dehors, les gens riaient, bronzaient, s'amusaient... Amina n'était pas sûr de revivre ce genre de choses. Revivrait-elle gaiement ? Comme autrefois ? Avec des amis, sa famille, ses problèmes qui, à l'heure qu'il ait, lui semble stupide ? Elle n'en était pas sûr.
Elle avait cacher sa plais pour ne pas attirer l'attention, et ça marchait. Elle marchait dans la rue, comme perdue, elle était à deux doigts de s'évanouir et elle n'avait qu'une envie : mourir.
Soudain, une vielle dame s'approcha d'elle :
" - Comment t'es tu blessé jeune fille ?
- Je me suis fait agresser par des voleur.
- Viens par là, je vais te guérir. "
Elle avait tout juste eu la force de mentir, elle ne savait pas quoi en penser, elle ne voulait plus penser, elle se laissait faire. Arriver devant la maisonnette de la vielle, un voile ce dressa sur les yeux de la jeune fille, puis, plus rien.
Lorsqu'elle se réveilla, le soleil était haut, elle était allonger, couverte, mais ce qu'elle remarqua le plus, c'est qu'elle n'avait plus mal à sa blessure.
Lorsqu'elle leva la tête, elle s'aperçu d'un verre d'un liquide fumant posé sur une table style bohème...
La vielle femme se tenait en face d'elle, l'air réjouis puis, elle lui posa la question suivante :
"- Que cherche tu ?
- Une fille du nom de Cassy.
- D'accord. Je t'y emmène. "
Et s'était tout. Cette personne lui sauva la vie et la lui chamboula en même temps.
Ce visage, ses messages, ces expressions...
Je ne l'oublierait jamais. Il ne l'a sans doute pas compris, il ne le sait probablement pas, mais lorsque j'ai vu son visage, des idées de tortures me sont immédiatement venu à l'esprit.
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