Ces petites filles n'ont rien demandé

Pdv Amina. 

Nous avons capturé les filles sans aucunes difficultés, elles jouaient dans leurs chambres et les parents s'embrouillaient. Ils n'ont absolument rien entendu a cause de leurs cris... Pfff... Les imbéciles ils étaient dans leurs propres maison lorsque l'enlèvement de leurs gosses se réalisait.  Bref, passons ce moment inintéressant et allons directement après l'appel et donc le décès de notre cher Stacy - notez l'ironie - après ça nous avons ligotée et endormie la plus jeine des filles, puis nous l'avons placé dans une pièce sombre devant la caméra..  

Nous avons ensuite rappellé Ben en Facetime. 

Il a répondu au bout de la deuxième sonnerie...

Nous étions bien sûr cagoulé.

" - QUOI ENCORE ???? 

- Je vois que tu as bien pris la mort de ta cher femme.
- Vous allez le regretter !
- Pourquoi le prend tu autant mal ?? Elle allait te quitter de toute façon non ?
- Où sont mes filles ??
- Franc et direct. J’aime bien.
-Où ???
- Patience petit patience, tu le sauras en temps et en heure, pour le moment, on va jouer à un jeu.
- Je ne jouerais à aucun jeu avec toi.
- Ah oui ?!
- Je vais appeler la police !
- J’allais justement te le dire !
-Tu vas appelé la police alors que tu viens de tué ma femme ?! Je te croyais plus futé que ça Amina.
- Oui je vais les appelé, dire que tu as tué ta femme avec le flingue rangé dans ton tiroir de la chambre et je vais les diriger vers le sous-sol, tu sais, la pièce où se trouve les cadavres de nos familles ??
Et ensuite, nous allons tué tes cher filles et te faire accusé de leurs meurtres aussi. Puis nous attendrons que tu sortes gentiment de prison et nous te kidnapperons et nous te tuerons... Quand penses tu ?  Tu sais ton avis est très important pour nous...
- C’est quoi votre jeu ?
- Tu decides donc d’y jouer ?
- Accélère.
- Les règles sont simples. Nous allons te poser des questions, tu auras deux vies. Une fois les deux vies épuisé, nous te torturons et tuerons en une semaine. D’abord psychologiquement puis physiquement. Qu’en penses tu ?
- Commence allez !!!
-Ok. Alors, première question... Qu’à tu fait à ma mère ???
- Comment ça ?
- Comment la tu tué ?
- Je ne sais pas... Je l’ai pendu ??
-Mauvaise réponse petit.... Mauvaise réponse. Tu as oublié la manière dont tu as tué ma mère, chose que’moi je n’oublierai jamais tu entends, jamais ! Et toi aussi tu ne vas pas l’oublier. Tu lui a mis une balle dans la tête sous mes yeux. Connard.
Tient Amina. Je te laisse lui annoncer la bonne nouvelle.
- Merci sœurette. Alors, tu as donc perdu une vie. Nous allons donc t’enlever la vie la plus ancienne. Je parle bien entendu de ta chère fille.
- NON ! Tout mais pas ça je vous en supplie ! Je ferais tout ce que vous voulez s’il vous plaît.
- OK.
- Hein ?!
- Tu as bien entendu... Je vais la laisser vivre si tu fais une chose pour nous.
- Laquelle ?
- Ramène nos parents.
- Je peux pas, tu le sais très bien, autre chose s’il te plaît autre chose ! Vous valez mieux que ça !
- N’en sois pas si sûr. Bon, que le jeu commence. "
Et nous avons raccrocher. Rien que le désespoir qui se lisait dans ses yeux et dans sa voie nous a donné une satisfaction incroyable.
Nous avons raccroche et nous nous sommes rendu dans la cave où se trouvait la plus âgé des filles.
Nous l’avons attaché à une chaise et bâillonner le temps de l’appel. La pauvre allait souffrir mais nous n’avions plus le choix. C’étais soit ça soit rien.
A côté d’elle se trouvait une table où il y avait divers instrument comme un couteau, un ciseau, des aiguilles plus ou moins épaisses et d’autre choses dont je ne connaissait même pas l’utilité.  Puis nous l’avons rappelé. Cette fois ci, il ne voyait que ça pauvre fille en pleure,  nous allons apparaître dans quelques secondes.
Il a alors pris la parole.
" - Ma chérie ! Tu vas bien ?? Ou tu es ? Dis le moi s’il te plaît...
- Elle ne sais pas où elle est, tu ne le sauras pas non plus d’ailleurs chéri. Alors commençons le jeu tu veux ? lui a répondu Céline.
-Elle n’à rien demandé faite du mal à moi mais pas elle !
- Mes parents avaient demandé quelque chose peut être ?
Les parents d’Amina ?
La famille de Pamela ?
Celle de Cassy ?
Ils avaient demandé quelque chose eux peut être ???
-  Je sais que j’ai eu tort mais...
- Nous le savons aussi et nous allons te faire payer les conséquences, la discussion est close. ”
J’ai alors demandé à la petite :
" - Comment tu t’appelles princesse ?
- Agathe.
- Hum, d’accord. Tu l’aimes ton père ?
- Oui.
- Et bah sache que ton père a tué mes parents. Tu l’aimes toujours autant ?
- Oui.
- Normal. Je veux juste que tu saches que si tu as mal, c’est te la faute de ton papa chéri. D’accord ?
- Laisse moi partir s'il te plaît.
- Non. Allez tais toi, on va commencé. "

J’ai pris un couteau et tout s’est enchaîner très rapidement. Je lui ai entailler l’intérieur de la bouche de sorte à lui former un long et éternel sourire. Elle hurlait comme pas  possible, il criait aussi, nous, les filles ont riaient. C’est clair on a pété un câble.
Après avoir fini sa bouche, j’ai donner le couteau à Cassy. Elle l’à pris, puis, elle lui a coupé une main, on voyait des lambeau de chair attacher au couteau, on a aussi vu son os blanc se coloré de rouge vif,  nous voulons qu’elle puisse survivre longtemps alors nous l’avons bander sa main. Pour qu’elle ne perde pas trop de sang. Elle pleurait sans cesse.
Céline a ensuite prit un instrument en forme de cuillère et elle lui a arracher un œil. S’en était trop pour notre pauvre victime. elle s’est évanouie. Alors je l’ai planté sans arrêt. Encore et encore. J’étais pleine de sang. Le sol aussi.
Je me suis arrêté puis nous avons zoomer son corps, et j’ai raccrocher.
Avant je lui ai dit : A demain petit.
Je ne savais pas que j’allais être aussi insensible à tout le sang que je verrais et à tout les cris que j’ai entendu, au contraire, j’ai aimé ça. J’ai aimé sentir sa douleur, sentir sa chair se détacher de son corps, l’entendre hurler.
J’ai tout aimé.

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