Lors de son année en CM2, Alicia a commencé a tombé sans raison. Les personnes de son entourage pensé qu'elle simulé à cause de sa phobie de l'école, mais ce n'était pas le cas. Au bout d'un certain temps, Alicia commencée à ne plus pouvoir se déplacer, alors sa mère la laissais reste a la maison à regret croyant que sa fille mente encore. Au bout d'une semaine à pouvoir marche de moins en moins. Elle se retrouve alitée dans le salon là où dormais sa mère. Elle appelle sa mère en milieux de journée lui disant qu'elle n'arrive plus à se lever, une douleur lui vrillant le bas du dos. Sa mère n'y croyant pas ne rentre à la maison qu'au soir après le travail. Mais ce qu'elle voit en rentrent lui fais peur. Elle appelle une amie à elle ainsi que son frère. Sa mère et son amie fouillent le frigo et tous les placards rien n'a bougé depuis le matin avant que la mère parte au boulot. Par la suite, ils vont voir Alicia et la force a bougé, mais celle-ci ne savant retenir un cri de douleur immense, le libère effrayant son entourage. Sa mère réalise alors que ce n'est ni un mensonge ni une simulation. Elle la regarde et décide de l'emmener aux urgences. Elle prend les deux bras de sa fille une fois que son frère la traînait hors du lit comme il le pouvait. Et les mets autour de son coup. Elle la met sur son dos en le tirant par les bras. Elle hurle de douleur et pleuré, mais sa mère la traîne, jusqu'à la voiture. Elle essaye de l'installer le plus confortablement possible afin de l'emmener aux urgences.

Arrivé là-bas, sont frère et sa mère cours aux urgences demandé un fauteuil roulant. Une fois celui-ci récupéré, ils reviennent au pré d'Alicia et la porte dans le fauteuil et l'amène a l'intérieure ou elle attend 1 heure avant d'êtres pris en charge se taisant et ne montrant pas sa douleur a sa mère déjà fort bien inquiète. Les médecins s'en occupent enfin et lui font faire des radios après examinassions. Elle attend une heure de plus avant la radio pour qu'on lui dît qu'elle est un cas d'extrême urgence, car ses hanches se sont déplacées. En fait la tête du fémur droit sait déloger de son col ce qui fait que sa jambe soit retournée. La jambe gauche et la main abîmée, car elle ne fessait que commencer. Alicia a alors une épiphysiolyse fémorale bilatéral. Ils vont la mettre sur un brancard et l'emmené en soin pédiatrique à jeun en pensent la faire opérer rapidement. Ils lui mettent des poids à la jambe afin de replacer sa jambe en attendent de l'opération. Sa mère lui parle dans la nuit en lui disant qu'elle était désolé de ne pas l'avoir cru, mais sa fille lui dit que sais elle qui est désolé à cause de tout ses mensonge elle a fini par ne plus être cru. Sa mère, s'en voulant énormément, ne le dit pas à sa fille voyant quelle est déjà dans le mal, mais celle-ci se montre forte.

Le lendemain, matin, les médecins leur disent qu'ils ne peuvent pas s'occuper de l'opération et qu'elle est transfère à l'hôpital américain sur Reims. Ils la préparent rapidement et les ambulanciers viennent la chercher. Une fois dans l'ambulance sa mère suivant derrière, ils vont vers l'hôpital se situent à une heure de route, mais aussi une heure de souffrance. Chaque petite bosse faisait gémir de douleur la petite fille qui n'avait que dix ans. Enfin arrivé et toujours à jeun, elle est prise en urgence, or, elle attend toute une matinée sur un brancard qui n'était qu'une planche en bois avec un matelas en mousse aussi épais qu'une feuille à souffrir le martyre et ayant très faim. Quand les médecins la prennent enfin en charge, ils lui dissent que l'opération attendre le lundi matin étant donné qu'on était le samedi. Elle se met en colère à cause de la fatigue la douleur et la faim en leur balançant a la figure, « Vous n'avez pas honte de me laissais attendre toute l'a mâtiné en crèvent de faim pour subir cette putain d'opération dans trois jours. Je crève de faim depuis hier matin, vous trouvez son normal ? Je n'ai que dix ans bordel !!! »

Sa mère comprend qu'elle pète les plombs et ne dit rien. Il l'installe en chambre et lui donne à manger. Le lundi, l'opération et effectué à la première heure en urgence. Quand elle remontée après le réveil une fois l'opération finie, une infirmière essaye de la faire manger sauf qu'elle n'ait pas supporté l'anesthésie et vomis sur celle-ci. L'infirmière et dégoûte, mais la petite fille un peu sonnée se mets à rire, sa mère a coté d'elle, soupir amusé. L'infirmière sourit aussi avant de tout nettoyer et d'aller, ce changé. Elle revient avec le sourire et lui dit « chipie » amusée. Ayant déjà enchaînais plusieurs fois les hôpitaux et n'ayant plus aussi mal qu'avant souri et ris avec le personnel soignant la prenant pour le rayon de soleil du service. Quand l'une chambre se libère dans le bon service, il la transfère là-bas.

 Et un nouveau calvaire commence à cause d'une petite fille emplâtré de la poitrine au pied. Cette petite fille, insulté, mordez et tapé sa tante et les infirmiers. Elle hurlée sans arrêt à en donner mal au crâne a Alicia. Son père, qui pour une fois n'en a pas rien à foutre, vient la voir à l'hôpital. Son frère avait ramené ses bonbons préféré qui étaient des bonbons au caramel (voir image). Sa mère n'était pas venue ce jour-là, ne voulant pas le croisé, alors la petite fille se retrouve seul avec lui. Elle était contente qu'ils viennent la voir ayant espéré qu'il s'intéresse un minimum à elle. Sauf qu'elle va vite déchanter. Son père en voyant les bonbons se mets a lui criez dessus qu'elle n'est pas assez grosse comme ça ainsi qu'il n'aurait pas dû venir parce qu'elle lui avait gâché ses vacances. La petite fille entend bien ce qu'il lui dit garde tout de même le sourire attendent que celui-ci parte ce qu'il ne tarda pas à faire. Malheureusement pour elle, sa mère débarque au moment où il part. Alicia commence à pleurer à chaudes larmes comprenant enfin qui étaient vraiment son père. Alicia commence à pleurer à chaudes larmes comprenant enfin qui étaient vraiment son père. Il s'en va enfin et sa mère rentre dans la chambre. Nathalie, voyant sa fille dans un état déplorable, va la réconforter de câlin et de bisous. Mais sa fille lui dit une chose donc elle se souviendra à vie. « Je hais mon père ».