Chapitre 29

-Non, c'est hors de question.

-Alors, je ne vous aiderais pas à vous échapper.

-Comment savez vous...

-Peux importe.

-Vous avez raison. Vous voulez que je les tues.

-Non, je veux que tu m'aides à les tuer.

-Vous jouer sur les mots.

-Peut être.

Un silence.

-Alors, reprit t'il.

-Je... Je vous aiderais.

-Bien. Je viendrais vous chercher à la maison des Malarkey.

-Attendez, comment dois je agir en la présence d'Enzo ?

-Ne lui dis rien. Contente toi de faire comme si cette conversation n'avais jamais existé. Tu t'en sens capable ?

-Je pense que oui.

-Bien. On se retrouve chez les Malarkey.

-D'accord. Au revoir.

-Au revoir Rose.

Je raccrochais.

Mais dans quel pétrin m'étais je foutu ?

-Rose ?

Enzo se matérialisa devant moi.

-Tout va bien ? Demanda t'il.

-Oui, oui.

Heureusement, j'avais reposé le téléphone avant qu'il me voit avec.

-Voilà tes comprimé.

J'en pris un, j'avais réellement mal à la tête après cette conversation avec Oliver Queen.

-Merci, sa ira mieux dans une minutes.

-Ma conduite n'y ai pour rien.

-Bien sûr que si.

Il soupira.

-J'adore rouler vite.

-J'avais remarqué.

Il m'ouvrit la portière. Je montais dans la voiture. Il referma la portière et pris place dans son siège. Il démarra.

-Ou allons nous ?

-A la banque de sang.

-Merci je sais, mais ou ?

-Je ne te le dirais pas.

Sa semblait évident pour lui. Pas pour moi.

-Pourquoi ?

Il me regarda avec dédain, mais ne répondit pas.

Nous roulâmes encore dix minutes avant de nous arrêter devant une bâtisse. Celle ci était haute mais pas très large. La façade n'était vraiment pas agréable à regarder.

-C'est sa ? Dis je.

-Prend pas cet air dégouté. Mais oui, c'est la banque de sang.

-Charmant...

Il leva les yeux au ciel.

Nous sortîmes de la voiture, et il m'ouvrit la porte du bâtiment. Je le remerciais.

L'intérieur était tout aussi affreux. L'accueil se résumais à quelques chaises dépliantes grises, les murs étaient jaunes défraichis. Une horreur. Un bureau se trouvait à quelques pas de moi. Une dame était posté devant, un livre à la main. Quand elle vit que je la fixait, elle déclara:

-Vous voulez quelque chose mademoiselle ?

-Elle non, mais moi si.

Enzo .

-Bien.

-Donc, dit il en s'approchant du bureau, je vais commander, disons, cinquantes poches de sang ferait l'affaire, il nous en reste encore pas mal à la maison.

-D'accord, elles arriveront d'ici dix minutes, vous pouvez attendre là si vous voulez.

-Je vais payer.

-Bien, répéta t'elle, cela vous fera donc, 100$.

Il régla le tout avant de s'avancer vers moi.

-Sa va ? Demanda t'il.

-Oui pourquoi ?

-Tu es toute blanche.

Il me toucha le front. J'eus un mouvement de recul.

-Écoute, je suis... désolé pour tout sa.

-Je ne veux pas en parler maintenant.

-Je... D'accord.

Pour la première fois depuis que je l'avais rencontré, Enzo semblait mal à l'aise. Il se passa la main dans les cheveux.

-Je vais bien, le rassurais je.

-Tu en ai sûre ?

Je n'eus pas le temps de répondre. A ce moment là, la porte s'ouvrit.

Enzo se figea à côté de moi.

Il marmonna dans sa barbe:

-Ho non, manquais plus que sa.

Trois hommes venait d'entrer. Ils étaient assez imposant.

Enzo chuchota à mon oreille.

-Se sont les originals. Surtout fait attention.

Il n'eus pas le temps d'en dire plus.

Pendant que le plus jeune allait commander. Les deux autres s'approchèrent de nous.

Celui du milieu m'effleura du regard avant de prendre la parole.

-Lorenzo Malarkey ! Cela faisait longtemps que nous ne t'avions pas croisé.

-Klaus. Bonjour Elijah.

-Tu nous présentent pas ? Demanda Klaus.

Il me dévisagea longuement.

-Elle est avec moi, dit Enzo en se plaçant devant moi.

-Qui est elle ? Demanda l'autre, cela devait être Elijah.

-Elle s'appelle Rose, et elle m'appartient.

-Intéressant, dit Klaus.

La tension venait de monter dans la pièce.

-Votre commande est prête, monsieur Malarkey.

La dame arriva avec un carton dans les bras. Enzo le prit.

-Merci, Rose on s'en va.

Je jetais un coup d'œil aux originals.

-Ok.

Nous nous dirigeâmes vers la porte. J'entendis dans ma tête la voix claire de Klaus.

-J'espère que nous nous reverrons, ma douce.

Enzo se figea.

La porte se referma.











Coucou les gars !

J'espère que vous avez passé un joyeux Noël ! Pour ma part, il s'est très bien passé ! 🎄🎁

Voilà donc, comme promis un chapitre : Dites moi ce que vous en penser dans les commentaires
!

Bisous 😘

#Miss Stilinski

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