Chapitre 12

J'étais dans le plus gros dilemme de ma vie.

Quelle robe choisir ?

Oui, c'était horriblement important (pour moi).

Je soupirais et m'allongeais sur mon lit, ou il y avait des milliard de robes entassées.

Je ne devais surtout pas mettre quelque chose trop sexy, il ne fallait pas que M. Malarkey ne se méprenne et prenne la robe en question comme un invitation. C'était absolument ce que je voulais éviter. Bon, réfléchissons.... La bleu avec un décoté dans le dos ? Non. Je pense qu'il me fallait une petite robe noire, tout le monde sait que les robes noires sont indémodables, non ?

Mon choix se porta sur celle ci:

Elle était parfaite pour une soirée de ce genre.

Elle dessinais et mettais en valeur mes courbes, mais sans trop en montrer. Pile ce que je voulais. Je fis un tour sur moi même et essayais de trouver les chaussures adaptés. J'avais pas mal de chaussures dans mon placard, il y en avait pour tout les goûts....

J'optais pour celle ci:

Les talons étaient hauts, très hauts. Je vacillais légèrement puis arrivais à marcher correctement. C'était ce qu'il fallait. Elle faisait ressortir mes jambes.

Je devais ensuite me coiffer et me maquiller. Je ne devais pas en faire trop côté maquillage, pour ne pas avoir l'air d'un clown et pour ne pas être ridicule.

J'avais bouclé ma longue crinière noire.

Et  bien voilà, j'étais prête. Le tout m'avait pris 1h, et j'allais être en retard.

J'attrapais mon sac et sortis dans la fraicheur de la nuit.

Le bus était vide à cette heure. Je m'asseyais confortablement et pris mon portable pour écouter de la musique. J'étais nerveuse. Je ne savais pas comment ce rendez vous allais se passer. Comment allait il réagir. Pourvu qu'il n'y a pas Kai dans la maison. Si Kai était là, se serait la fin pour moi, je serais tellement mal à l'aise que je ne pourrais jamais parler à M. Malarkey. Je pris une profonde inspiration. La fenêtre était ouverte et l'air qui s'y engouffrait me fis le plus grand bien. Mes doigt frappait sur mon genou au rythme de la pulsation. Je laissais mes pensée divaguer. Comment avais je fais pour me retrouver dans un pétrin pareil. Pourquoi avais je déménager ? Ma meilleur amie, Lissa, me manquais terriblement. J'avais envie de la voir, de lui parler de M. Malarkey, de mes sentiments. Mes sentiments... Quel étaient ils ? Je ne savais pas. Étais je amoureuse ? Mais si oui, de qui ? Enzo ou Kai....

Enzo ou Kai ?

Le bus s'arrêta, interrompant le fil de mes pensée. Je remercia le conducteur puis sortis. Il faisait frisquet, l'air était vif sur ma peau.

Lorsque j'arrivais à la maison, les lumières étaient toutes allumée. Il m'attendait donc.

J'arrivais sur le perron. J'avançais ma main pour frapper, mais je m'arrêtais à quelques centimètres de la porte. Étais ce la bonne solution ?

Non, pas de sa Rose, ce n'est pas avec des questions que je ferais avancer le problème.

J'avançais, et frappais.

La porte s'ouvrit (NDA: nan sans blague ! mdr) et le visage de mon professeur apparu derrière celle ci.

Il m'offrit un petit sourire satisfait.

-Bonsoir Rose.

-Bonsoir.

-Entre, je t'en pris.

Je franchis donc le seuil.

La maison était aussi magnifique que la dernière fois (NDA: un peu logique, non ?)

Je m'arrêtais dans le salon.

M. Malarkey se tourna vers moi, et enfin , me regarda.

Je lus d'abord de l'admiration puis du désir dans son regard, lorsqu'il me détailla de la tête au pied. Son regard me fis rougir.

Il sourit.

-Bien, je t'en pris, assied toi.

Je m'approchais du canapé et m'assis.

-Je te sers quelque chose ?

-Non, merci.

-Ha, tu es tendu.

C'était plus une constatation qu'une question. Je ne dis rien.

Il s'assit à côté de moi.

-Pourquoi m'avez vous invité chez vous ? Sa m'étonnerais que vous fassiez sa avec tout vos élèves.

Il rit légèrement.

-Non, en effet, tu as raison. Je t'ai invité car j'avais le sentiments que nous devions parler.

-Oui.

-Bon...

-Écoutez je...

-Chuut.

Il avait posé son doigt sur mes lèvres. Il s'était dangereusement rapprocher.

Je le regardais sans comprendre.

Il avait posé sur moi un regard interrogateur.

-Pourquoi es tu si effrayé.

-Je n'ai pas peur de vous.

-Ha non ?

Je levais la tête, signe de défis.

-Alors pourquoi m'a tu repoussé l'autre jour ?

-On ne peux pas faire sa.

J'avais une impression de déjà vu.

-En es tu sûr.

-Oui.

-Rose...

-Quoi ?

Je m'étais écarté un petit peu.

-Pourquoi veux tu mettre de la distance entre nous ?

-Il n'y a pas de "nous" vous savez.

Il ricana.

-Mais bien sûr que si, il y en a eu un dès notre rencontre.

-Je vous en pris, arrêtez sa.

-De quoi ?

-Le truc que vous faites avec vos yeux. On dirais de la drague.

J'avais prononcer cette phrase d'un ton sarcastique.

-Et si sa en était.

-Je ne vous crois pas.

-Crois ce que tu veux, ma belle.

-Cessez de m'appeler comme cela.

-Non.

Ho mon dieu qu'il m'énervait.

Il observait un point derrière moi.

Je ne l'avais pas entendu approcher.

J'étais trop concentré sur mon prof.

Et puis je vis les lèvres de M.Malarkey bouger.

-Rose !

Et je sentis le mouchoir que l'on abattais sur mon nez, l'odeur désagréable, et le troue noir.








Salut tout le monde ! Vous allez bien ? Moi sa va, je suis en vacances ! Lol.

Bref, et voilà un petit chapitre.

Qu'en pensez vous ?

Bisous

#Miss Stilinski


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