Legolas prince des forêts (final)

Joyeux anniversaire à Milia66 se chapitre t'es dédié, je devais le mettre se weekend mais je me suis dis que cela ferais un beau cadeau d'anniversaire. 

Le lendemain, je descends dans les cavernes pour participer au réveil des ronfleurs de Terre du Milieu qui nous ont tous empêcher de fermer l'œil. Seul mon père a pu dormir paisiblement puisque ses portes font le double de l'épaisseur normal. Mes compagnons prennent leurs armes afin de refaire un tour dans la forêt, ordre du roi...eh oui il est déjà debout...pendant ce temps moi et les chasseurs déjà équipés nous allons balancer des plateaux repas « spéciaux » pour le réveil de nos indésirables « invités ».

Je me dirige subrepticement vers les cachots et commence par celui de Thorin, le nain est endormi ça s'entend à 15 miles. Gandalf lui par contre est complètement réveiller. Je continu ma tournée pendant encore 5 minutes le temps de finir de distribue toutes les portions puis je sonne la cloche du réveil. Gandalf me jette un regard noir avant de prendre son auge et d'inspecter sa nourriture.

- Je ne vais pas vous empoisonné mais vous avez eu de la chance quelqu'un le voulait, dis-je

- Eh bien je ne vous dirais pas merci, car je préfère mourir que rester dans ses cachots pendant la durée de ma vie, répond Dwalin.

- Tant mieux, moi je n'ai pas envie de vous garder jusqu'à la fin de vos vies. Répliquais-je.

- Pourquoi nos vies et pas votre vie ? Demande Ori.

- Parce qu'en plus il est idiot et ben...parce que je suis immortel donc je ne vais jamais mourir, répondis-je agacé.

- Ne parle pas comme cela de l'un des nôtres, Réplique Balin.

- Ah oui sinon que compte tu faire ? Demande l'un de mes gardes.

- Sinon dès que je sors, je le tues ! Répond Thorin

- Dans la condition actuelle je peux faire ce que je veux votre seul moyen de sortir était Gandalf et il s'est embrouillé avec mon père par orgueil. Répondis-je.

- Mais vous pouvez nous aider, Vertefeuille, Dis Gandalf.

- Ne m'appeler plus ...jamais...de la sorte, répondis-je en le pointant avec mon épée.

- Autrefois vous aimiez les blagues, les rires, les gens joyeux, vous aviez commencé à croquer la vie à pleine dent, pourquoi avoir changé ? Pourquoi avoir renié ce qui faisait de vous quelqu'un de bien ? Qu'est-ce qui a changé ? Demande Gandalf (qui n'est pas au courant de la mort de la reine).

- MA MERE EST MORTE voilà ce qui à changer, Mithrandir, n'avez-vous donc rien remarqué ? Une absence près de mon père, son cœur rongé par la tristesse ! Il ne reste que parce qu'il sait que je ne suis pas prêt à prendre les rênes du royaume. Je ne peux pas et il reste pour nous sortir de là, nous sauvé ! Vous allez réveiller le dragon et ce sera à nous de juger des dégâts fait à notre peuple par votre faute ! Criais-je.

- Calmez-vous Mellon nin, Dis Gandalf radoucit par mes explications.

- Je ne le peux.

- Je peux aider votre père mais il faut qu'il laisse partir les nains et qu'il me laisse sortir. Dit Gandalf.

- Il ne voudra pas Mithrandir vous le savez déjà et je ne le ferais pas changer d'avis. Je suis son fils, je lui dois obéissance et respect. Je l'aime vraiment et je ne le trahirais jamais. Dis-je avec dévotion.

- Ion-nin, tes paroles sont pour moi des mots doux qui me prouve que je ne fais pas d'erreur. Mithrandir vous me décevez beaucoup tenter d'amadouer mon fils par des suppliques en promettant de m'aider alors que vous savez que le seul moyen serait de traverser les océans d'Ulmo est un coup bas. Dis la voix claire et chaude de mon père.

- Je ne voulais pas lui dire mais il m'a mis hors de moi, pardonnez-moi Ada, dis –je en m'inclinant.

- Te pardonnez de quoi ? Cela n'est rien il aurait fini par le voir de toute façon. Répond mon père.

- Nous pouvons remonter ?

- Bien sûr Ion-nin allons-y la piste des araignées est encore fraîche vous les aurez. Reviens-moi, mon doux Vertefeuille.

Nous sommes remontés au niveau de la salle des gardes et ils ne peuvent cacher longtemps les rires provoqués par ce surnom ridicule.

- Ah non pas vous aussi !

- J'en ai le droit je suis ton père et le printemps vigoureux amène toujours de verte feuille. (Cf. Le cerf et La mouette : neomatic69 (fanfiction.net)).

- Grrrrrrr

- Arrête on dirait un nain ! Rigole mon père

- Ah non tout sauf ça je fais comment moi après pour avoir une adorable elleth si tu fais ça. Dis –je

- Faire quoi ?

- Dire que ça me fais ressembler à un nain ! Dis –je

- Oh mon pauvre ion-nin t'inquiète toutes les filles de la cours veulent te plaire.

- Mais je ne veux pas d'elle, je veux A.R.W.E.N, dis-je en appuyant sur les lettres du prénom de ma tendre amie.

- Oui je le sais d'ailleurs un certain Estel reste constamment collé à ses basques.

- Ah non, il ne va pas prendre la belle que je convoite !

De un, ce n'est pas un elfe.

De deux, ce n'est pas un prince.

De trois, je l'ai vu avant.

De quatre....

- Tu n'as plus rien à ajouter ? Demande la voix moqueuse de mon père.

- De quatre, ce n'est pas un elfe ! Voilà, répondis-je

Mon père sait que je nourris de tendre penchant pour la merveilleuse dame d'Imladris. Elle est si belle, si douce, si élégante. Elle est gracieuse et j'ai déjà dit qu'elle est belle ?

Les portes s'ouvrent et nous partons dans la forêt. Nous nous dirigeons vers le nord à la poursuite d'un nid d'arachnides affreux. Les gardes s'élancent dans les arbres et cours sur les branches, nous éliminons les araignées et brûlons les nids afin qu'aucune ne puisse se loger ici.

Notre devoir fait nous retournons au palais et je le dirige vers mes appartements afin d'envoyer une lettre à la belle qui erre dans mes pensées. Enwen mon aigle offert par mon père lorsque j'étais jeune et qu'il allait sur les champs de bataille aux côtés de grand-père, se pose sur ma fenêtre.

Tendre Arwen,

Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d'amour;

Si je respire, si je parle, si je marche si je nage

Je ne sais qu'une seule chose je t'aime.

Tout mon amour t'est destiné,

A toi mon amour, ma passion,

Mon feu sacré, mon horizon.

Au-delà de ma vie, je t'aimerai,

Maintenant et pour l'éternité.

Gerich Veleth nin.

Ton adoré Legolas, prince de Mirkwood

J'enroule le parchemin, inscrit le nom de la personne destinataire et la confie à Enwen, il sait pour qui elle est mais je préfère lui murmurer en elfique qu'il est pour Arwen. Il s'envole gracieusement et s'éloigne en direction de la Lorien, donc Arwen est chez sa grand-mère.

Mon père entre dans le bureau, il est le seul à avoir le droit d'y rentrer sans s'annoncer à l'avance. Je l'entends se déplacer derrière moi, le froissement de ses robes sur le sol m'indique qu'il se tient derrière moi.

- Que me vaut l'honneur de votre visite, père ? Demandais-je calmement.

- Je venais m'assurer que mon fils se sustentait correctement puisqu'il n'a pas dénié venir au repas collectif, répond Thranduil.

- Je suis navré père je n'avais pas vu l'heure, répondis-je en me retournant.

- Oui une missive a retenu ton attention ? Demande mon père avec un air moqueur.

- Oui un rapport de Guilyën....

- Ne me dit pas de bêtises, j'ai vu ton aigle s'envoler directement pour la Lorien, réplique mon père joueur.

- Bien, je vois, effectivement que vous m'avez regardé pendant plus de cinq minutes. Répondis-je doucement.

Père je l'aime, je suis fou d'elle.

- Je m'en doute, j'ai vu la naissance de cet amour et je le favorise. Répond mon père.

Pendant deux heures nous avons parlé de mes envies, de mon futur et de mes aspirations. A la fin de ce temps, nous sommes descendus ensemble pour travailler dans son bureau comme au bon vieux temps. J'ouvre et tri, il note et prépare ses ordres. Je l'admire et je l'admirerais toujours pour ce qu'il est et ce qu'il a fait pour notre peuple.

Au bout d'une heure, je descends afin de faire mon tour de garde et m'aperçois qu'un des nains possèdent un couteau léger mais assez long pour blesser sérieusement un elfe. J'aperçois sa lueur de haine lorsque l'un de mes compagnons d'armes s'avance vers lui, je me précipite vers la cellule afin d'empêcher un drame d'arriver.

Je n'arrive pas à y croire, je ne suis pas arrivé à temps, il enfonce la lame dans le garde et attend que celui-ci s'effondre, la lame a touché le cœur. Je cris son nom, Guilyën, je m'agenouille près de lui et tente de le sauver. Je me mets à pleurer, j'ai honte d'être si faible devant ses nains mais il s'agissait de mon meilleur-ami, mon père l'avait élevé avec moi quand ses parents étaient morts à Dagorlad.

Le nain sourit, et commence à crier victoire, je me lève, le nain se rend compte de son erreur et avant qu'il n'ait eu le temps de faire quoi que ce soit je l'empêche de bouger. Juste après cela mon père arrive en bas et aperçoit le corps de Guilyën puis le nain et la lame près de ses pieds, il s'avance et me demande de préparer sa gorge. Mon paternel sort sa lame Ceuyil et égorge le nain meurtrier. Ses compagnons crient et menacent de mort les elfes, le nain s'effondre et deux gardes remontent le corps de Guilyën afin de l'enterrer dignement.

Mon cœur est comprimé encore un de mes amis est mort. La haine remplit mon cœur et je redescends afin de parler à Mithrandir. J'arrive devant sa cellule et lui demande s'il comptait vraiment que je le sorte. Il me répète la même phrase et je me rends dans la cellule d'un nain que je comprends être Bombur et l'égorge. Je fais de même avec tous les nains ne laissant que Thorin, Bilbon et Mithrandir. Je retourne voir ce dernier :

- Comment pensez-vous que je pourrais les libérer alors qu'ils viennent de tuer mon meilleur-ami ? Comment comptiez-vous faire quand le dragon serait réveillé ? Je crie toutes ses questions.

- Je ne pensais pas qu'ils tueraient l'un des vôtres, et je ne compte pas sur le fait que le dragon soit réveillé. Réponds Gandalf.

Je repars, personne ne sut comment Thorin arriva à s'échapper et à réveiller le dragon. Mon père se rendit à la bataille des cinq armées en me laissant le trône en intérim et de nombreux des nôtres ne revinrent jamais. Un jour, un rodeur passa par la forêt ...mais cela sera pour une autre histoire.

Je regarde la classe de jeune elfe tous ravis d'apprendre comment moi et mon père protégeons leurs foyers. Ils ont pleuré lors de la mort de Guilyën et chaque jour je repasse devant sa tombe, maudissant les nains. Je ne veux plus en voir un seul, aucun d'eux ne pourra racheter les fautes de son peuple. Ils ne peuvent pas aidés à sauver le monde et ne le feront jamais.

Encore joyeuse anniversaire ma grande MILIA66

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