Chapitre 1 : Elizabeth HorMon

Hey salut !! Bienvenu sur ce premier chapitre de Elizabeth de Monkahï !! Je n'ai pas grand chose à dire, donc je vais laisser la paroles à mes formidables bêtas lectrices ! (HarryStranger est en souligné, _Emrai_ en italique)

HELLO !! Oui, je sais, ce n'est pas étonnant de me voir ici. Peut-être même que vous êtes ici parce que j'ai généreusement fait de la pub à Camille, je n'en sais rien je ne suis pas si connue que ça (non, Camille, ne t'inquiète pas, je ne me ferai pas de pub sur ta propre histoire).
Si vous ne me connaissez pas, je suis @HarryStranger. Je m'appelle Lina et je suis une amie de Camille (ce n'est pas pour ça que j'aime son histoire, elle le mérite vraiment non mais oh !).
Pour en revenir à Elizabeth de Monkahï, je "participe" en quelque sorte. J'ai fait la couverture, les aesthetics (à l'heure où je fais cette note, je ne sais pas encore quand est-ce que vous les aurez) et, surtout, j'ai créé un personnage (j'en parlerai quand ce sera le moment). Bon ! Je vous laisse avec la géniale Marie, la seconde bêta de cette superbe histoire !! Souhaitez-moi bonne chance, je dois faire ma svt alors que j'ai la flemme ;-;.
Coucou tout le monde ! Moi, vous ne me connaissez peut-être pas, quoique... Je suis très heureuse d'être la bêta de ma génialissime Camomille (meilleure rencontre de l'année 2020 si vous voulez mon avis), et franchement, vous ne perdrez pas de temps si vous êtes sur cette histoire.
Donc je suis @_Emrai_ , la géniale Marie de mon petit nom, et je suis on va dire la meilleure amie wattpadienne de Camomille (en excluant cette chère Linouche plus haut)(la chère Linouche plus haut espère qu'elle est plus qu'une amie wattpad parce qu'elle sert de compagnie à ladite Camomille pendant ses semaines A et que ladite Camomille l'harcèle pendant qu'elle-même est en cours)oui mais moi je suis là tout le temps (mais que par message *smiley qui pleure*)(c'est pas de ma faute si j'ai pas d'internet, c'est parce que c'est Camille ma borne 4G mais comme elle est pas là, je suis pauvre (et puis viens habiter en Normandie))
Donc (laisse moi faire ma note sinon je vais me faire gronder), j'espère de tout cœur que cette histoire vous plaira (honnêtement elle est géniale), je peux dire en toute modestie que je suis une des personnes qui l'a le plus harcelée et en même temps lui ai fait perdre le plus de temps à poster !
Bon, je vous laisse avec cette chère Beth, et "all is well"

Bon. Voilà, vous avez découvert mes bêtas. S'il vous plaît ne fuyez pas, elles sont gentilles même si elles sont légèrement folle. Bref, je vous souhaite une bonne lecture, et on se retrouve en fin de chapitre !

    Chapitre 1 : Elizabeth HorMon

Au plus loin qu'elle puisse s'en souvenir, Elizabeth avait toujours rêvé de quitter son pays pour voyager. Non pas parce qu'elle n'aimait pas ses obligations royales – au contraire, elle appréciait énormément avoir autant de pouvoir entre les mains – ni parce qu'elle n'aimait pas Monkahï – c'était impossible au vu de la beauté des montagnes qui l'avaient vue grandir – mais parce qu'elle rêvait de liberté. Pouvoir aller où bon lui semblait, visiter les quatre coins du monde, des toundras gelées de Glakahï aux gigantesques fleuves de Flikahï, vivre, en somme, autant d'aventures et de voyages que les Héros des contes l'ayant bercés toute sa jeunesse. C'était son plus grand rêve, et, à son plus grand dam, la seule chose inaccessible pour elle, princesse de Monkahï qui se devait de rester au palais royal à cause de ses obligations.

Alors, le jour où son père lui annonça ses fiançailles avec le futur roi de Merkahï, elle manqua de sauter de joie dans la salle à manger royale, ce qui n'aurait pas été très convenable pour une princesse. Certes le prince Alistair n'avait que dix ans alors qu'elle en avait déjà quinze, mais à l'entente de cette annonce elle ne pensa qu'à son voyage vers l'archipel au milieu de l'océan Kahï. Elle pourrait enfin monter sur les immenses navires qu'elle observait avec envie depuis sa chambre, elle pourrait enfin partir à l'aventure, sentir les embruns marins sur son visage, découvrir la fameuse Sitosie et ses quartiers sur pilotis célèbres dans le monde entier, voyager. Même lorsque le roi avoua d'une voix faible que ce mariage servirait à maintenir la fragile paix installée depuis seulement une décennie entre les deux pays et qu'elle servait de monnaie d'échange pour apaiser l'animosité, elle ne désenchanta pas. Comment aurait-elle pu alors qu'elle allait voyager. Cette chose qui lui semblait inatteignable il y avait de cela seulement quelques minutes allait enfin se produire. Elle allait voyager !

La jeune princesse ressassa les événements pendant toute la nuit suivante, imaginant ce qu'elle ferait une fois là bas, ce qu'elle emmènerait,... Elle savait exactement ce que sa valise contiendrait, ayant déjà imaginé maintes et maintes fois son bagage pour d'hypothétiques voyages. Mais celui-là était réel. C'était à peine croyable, et Elizabeth se demanda un instant si elle n'avait pas rêvé. Elle questionnerait son père le lendemain. Pour l'instant elle devait dormir. Elle n'y parvient malheureusement pas de la nuit, trop excitée à l'idée de découvrir un nouveau monde si proche mais pourtant si loin.

***

- Mais vas-tu me passer ce sucre oui ou non, Beth !?

L'interpellée releva brusquement la tête de son assiette et braqua ses yeux bleus glace sur ceux de sa sœur. Des yeux d'un bleu identique, chose somme toute normale lorsque l'on est jumelles. En effet les deux princesses étaient deux copies parfaites l'une de l'autre, à la différence près que les cheveux naturellement lisses d'Elizabeth étaient, sur sa sœur Marjory, minutieusement bouclés chaque matin. Malgré leurs nombreux désaccords et leurs chamailleries quotidiennes, les deux sœurs s'aimaient beaucoup, et devoir partir sans sa jumelle peinait la jeune fille. Mais elle savait très bien que Marjory aimait la tranquillité et les habitudes mais guère les voyages. La maison lui manquerait trop. Pas qu'elle ne manquera pas à Elizabeth, cette dernière savait pertinemment qu'elle serait nostalgique des montagnes Monkahïiennes et de la capitale, Marbos, mais l'attrait du voyage était simplement plus fort. C'était d'ailleurs sûrement pour cette raison que leur père avait choisi la jeune rêveuse comme fiancée pour le Prince Alistair plutôt que sa sœur.

- Il faut que tu arrêtes de rêver autant ma chère Bethie, ce sont les derniers moments que l'on passe ensemble avant longtemps, alors j'aimerais les passer en te parlant à toi plutôt qu'à tes cheveux. Et passe moi ce sucre à la fin !

La jeune fille baissa légèrement la tête d'un air désolé et attrapa le sucre pour le passer à sa compagne.

- Tu n'auras plus personne sur qui crier quand je ne serais plus là.

Marjory éclata de rire :

- Sache, chère sœur, que je trouverai toujours quelqu'un sur qui crier. Et puis j'aurais qu'à me plaindre du retard de ta réponse quand je t'enverrai une lettre.

Ce fut cette fois-ci Elizabeth qui rit, mais d'un rire tout de même plus doux. Elles furent interrompues dans leur petit déjeuner par la porte de leur salle privée qui s'ouvrit sur un valet leur annonçant que leur père demandait la future voyageuse auprès de lui. Les deux princesses se levèrent de concert, et, malgré l'ordre ne demandant qu'Elizabeth, elles se dirigèrent toutes deux vers la salle à manger royale.

- Quand je ne demande que l'une de vous deux, faites moi le plaisir d'écouter au moins ça mesdemoiselles.

Le roi n'avait même pas levé la tête, habitué comme il l'était à les voir toujours ensemble. À l'entente de cette petite réprimande, Marjory resta stoïque alors que sa sœur baissa légèrement la tête. La jeune fille avait un port altier et une expression indéchiffrable en public, mais elle perdait rapidement ce masque en privée. Sa sœur le gardait toujours quoi qu'il arrive, sauf quand sa jumelle la faisait rire, ce qui n'arriverait plus avant longtemps.

- Je voulais m'entretenir avec toi des détails de ton voyage, Elizabeth.

- Je vous écoute père.

Elle arborait désormais un sérieux des plus professionnels et sa voix avait fusé dans la salle, telle une flèche.

- Comme je te l'ai dit hier, tu vas épouser le Prince Alistair HorMer de Merkahï. Comme tu le sais aussi, il n'a que dix ans. Tu l'épouseras donc dans quatre ans. Tu te demandes sûrement pourquoi on t'envoie là bas si tôt ? Et bien le roi se fait vieux et veux choisir lui même la femme de son successeur, il a pensé de plus que toi là-bas la paix serai plus concrète. Tu es en quelque sorte une otage.

La sentence était prononcée. Elle voyagerait, certes, mais en tant qu'otage. Elle n'avait pas pensé à cela sous cet angle tant l'euphorie l'avait gagnée. En entendant ça, Marjory répondit d'une voix  froide et  dégoulinante de mépris :

- Vous vendez votre fille pour la paix, en somme.

L'entendre prononcé ainsi fut un coup au cœur pour Elizabeth qui lança sarcastiquement :
- Je ne serais pas enfermée j'espère.

On aurait dit que la famille royale faisait un concours de qui aurait la voix la plus glaçante. Et le roi gagna sûrement en prononçant une phrase pire encore :

- Tu devrais te sentir enchantée de servir ton pays Elizabeth.

Marjory n'en put plus. Elle n'avait jamais réussi à contrôler ses humeurs comme sa sœur. Elle sortit de la salle à pas furieux et ferma rageusement la porte.

- Je te félicite pour ta maîtrise, tu en auras besoin là-bas. Tu seras libre de tes mouvements mais seras tout de même surveillée. J'en aurais fait pareil pour un arrivant de Merkahï au château. Ça restera un voyage, ne t'inquiète pas.

Sa voix s'était adoucie suite à l'énervement de son autre fille. Elizabeth sentit l'étau autour de son cœur se desserrer. Elle serait libre d'aller où bon lui semble. Il avait raison au fond. C'était des manipulations de cour, et elle s'en tirait à bon compte. Elle serait reine, chose impossible ici puisque c'était son frère aîné qui monterait sur le trône. Et elle voyagerait. Chose importante pour une rêveuse assoiffée de liberté.

- Il y a quand même des conditions. Tu seras toujours escortée lorsque tu sortiras du château, tu devras faire ce que l'on te demande et assister aux réceptions auxquelles tu seras conviée. Et tu ne devras évidemment pas te rebeller. J'ai réussi à t'accorder le droit d'avoir ta dague, sous raison qu'une princesse et future reine peut être sujette à bien des agressions. Ne te fais pas remarquer – ça c'est moi qui te le demande. C'est pour ça que je n'ai pas choisi Marjory. Ah j'oubliais ! Tu auras aussi le droit de partir avec une de tes caméristes. Je pense que ton choix se porte sur Eileen non ?

La jeune femme hocha vivement la tête, assimilant les informations. Elle aurait sa dague. Bien. Elle aurait de quoi se défendre, elle se sentirait nue sans elle accrochée à sa cheville. Elle partirait avec Eileen. Bien. Elle ne serait pas seule au moins et connaîtrait sa femme de chambre.

- Et bien c'est à peu près tout. Tu pars le mois prochain, au même jour qu'aujourd'hui. Bonne journée Elizabeth, profite de tes derniers temps à la maison.

***

Elizabeth était accoudée à la barrière d'un balcon tourné et vers la mer, et vers les montagnes. Elle pensait. Elle partirait le lendemain et quitterait sa terre natale. Une pointe de nostalgie atténuait son enthousiasme. Elle sentit soudain une présence à ses côtés et n'eut pas besoin de se tourner pour reconnaître l'imposante stature de son frère William. Ayant quatre ans de plus qu'elle, ils n'avaient jamais été vraiment proches, mais il mettait un point d'honneur à la soutenir dans les moments difficiles. Comme maintenant, elle le devinait.

- Que penses-tu de ce voyage ?

Elle resta silencieuse un moment, puis dit lentement :

- C'est une opportunité en or de vivre mon rêve, mais je n'ai pas envie d'être un outil qu'on utilise pour maintenir la paix. Je ne suis ni un objet ni un traité. Mais de toute façon je savais depuis longtemps que l'homme que j'épouserais ne serait pas un homme que j'aurais choisi mais le parti le plus avantageux pour les affaires. C'est ce qui est arrivé, et je deviendrai reine. Pas le pire marché.

Ils restèrent silencieux encore un moment avant que William prenne de nouveau la parole.

- Je suis déjà allé en Merkahï. Tu vas adorer. Surtout la capitale, Sitosie, sa beauté légendaire n'est pas inventée.

Elizabeth tourna la tête vers son frère et entonna tout aussi lentement :

- Prends soin de Marjy. Elle a besoin de rire et de crier, et jusqu'à maintenant, c'était moi qui m'occupait de ça. Je vais lui manquer. Et puis, il ne faudrait pas qu'elle se mette à crier sur Père.

- Ça c'est sûr !

Les deux frères et sœurs rirent un peu puis retournèrent à leur silence. Ils n'étaient pas bavards entre eux. En fait, Elizabeth n'était bavarde qu'avec Marjory et Eileen. Le silence dura quelques minutes de plus, sans pour autant devenir gênant. Les mots étaient inutiles à ces moments-là.

- Bonne chance pour ton mariage, p'tite sœur.

Le prince héritier lui fit une petite révérence et rentra dans le palais en souriant. La jeune fille resta encore un moment à regarder les montagnes – sa maison – et l'océan – le chemin vers sa future maison. Ce dernier lui semblait infini. Comme elle aurait aimé ne s'arrêter en Merkahï que quelque temps puis repartir pour découvrir de nouveaux mondes. Mais elle avait des obligations. Et elle comptait bien les honorer, elle ferait ce qu'elle voudrait une fois reine. Elle avait juste à attendre quatre ans.

***

- Madame devrait m'aider au lieu de courir partout.

Le ton plein de réprimande de sa camériste, qui était aussi ce qui s'approchait le plus d'une meilleure amie, arrêta Elizabeth dans son chemin vers l'armoire qui retourna s'asseoir une énième fois devant sa coiffeuse.

- Désolé Eileen. Je suis si excitée et stressée à la fois, je ne sais pas comment je fais pour tenir.

La dénommée Eileen rit doucement.

- Je suis dans le même état que vous Madame, c'est tout aussi nouveau pour moi ce voyage. Mais si je veux que vous soyez présentable devant toutes les personnes qui assisteront à votre départ, il faut que je me calme.

La jeune princesse baissa plus encore la tête si seulement c'était possible, mais elle fut vite redressée par sa femme de chambre qui la maquilla.

- Des fois Eileen, j'en oublie que nous avons le même âge tellement tu sembles plus sage.

- Je ne semble pas plus sage, je le suis.

- Oh ! Tais-toi !

Elles rirent de bon cœur. Tout semblait plus simple avec elle, elle pouvait dire ce qu'elle voulait. Elizabeth était soulagée de pouvoir partir avec elle, elle n'aurait pas supporté de vivre continuellement dans les faux semblants sans pouvoir se reposer un instant. Soudain, les cloches annonçant huit heures sonnèrent. La princesse prit un air horrifié en disant à sa femme de chambre qui n'avait pas fini de la coiffer :

- Dépêche-toi ! On va être en retard !

***

Elizabeth se tenait droite dans une robe de la même couleur que ses yeux, la tête haute, et arborait un léger sourire. Derrière elle venait Eileen portant leurs deux bagages. Elles passèrent les portes du château pour s'engager sur le chemin vers le port. Effectivement, beaucoup d'habitants de la ville avaient souhaité assister au départ de leur princesse et elles avancèrent acclamées par une foule très dense. Arrivées devant le bateau qui l'emmènerai de l'autre côté de l'océan, elles retrouvèrent la famille royale dans son entièreté. Elle salua son père qui lui souriait chaleureusement, embrassa sa mère qui pleurait doucement, fit de même avec son frère qui avait les yeux secs mais tout de même tristes, et s'apprêtait à réitérer l'action avec sa sœur mais cette dernière la prit de court en l'agrippant de toutes ses forces. Elle n'essayait même plus de cacher ses émotions, laissant les larmes couler à flot sur ses joues pâles.

- Prends soin de toi, ne laisse personne te dicter la vie que tu auras. Et ne m'oublie pas.

- Aucun risque.

Elizabeth s'était elle aussi mise à pleurer.

- Tu as bien ta dague ?

La jeune fille s'empressa d'effacer l'air inquiet sur le visage de sa sœur en hochant la tête. La sensation du cuir accroché à sa jambe lui était depuis longtemps familière, et la lame se trouvant dedans aussi. Elle était faite de mafite, un métal que l'on trouvait seulement dans les montagnes Monkahïiennes et qui était extrêmement coupant et solide. Il était aussi très rare, mais être d'engeance royale avait beaucoup d'avantages.

Elle finit par se séparer à contrecœur de Marjory, et après l'avoir embrassée une dernière fois elle se recula, la regardant toujours dans les yeux. Ses yeux si familiers qu'elle ne verrait plus. Ses larmes redoublèrent d'intensité et elle se retourna pour ne plus avoir à les regarder. Elle ferma les yeux, tentant désespérément, mais malheureusement inutilement, de se calmer. Alors qu'elle s'engager sur la passerelle du navire, une voix retentit derrière elle :

- Tu m'écris dès que tu arrives ! Si elle ne le fait pas, force-là, Eileen ! J'ai confiance en toi pour ça.

Elizabeth se retourna et rit à travers ses larmes. Bien sûr qu'elle le ferait. Elle n'oublierait pas. Elle finit par atteindre le plancher du bateau et fut accueillie par le capitaine du navire qui lui fit une profonde révérence.

- Princesse Elizabeth.

Elle lui sourit à travers ses larmes puis s'approcha du bastingage. Eileen la rejoignit et elles regardèrent les marins retirer la passerelle et les amarres au commandement du capitaine. Le bateau commença à s'éloigner, animé par la force de centaines de bras
ramant dans la cale. Alors que le navire allait quitter le port, elle braqua son regard une dernière fois sur sa sœur, imprégnant son image dans sa mémoire. Elles se ressemblaient certes énormément, mais pas exactement. Elles ne se tenaient pas de la même façon, Marjory avait ce froncement de sourcil particulier que Elizabeth n'avait pas par exemple. Plein de détails qui permettaient de les différencier quand on les connaissait. Puis, petit à petit, sa silhouette rapetissa jusqu'à devenir invisible. À ce moment là, Eileen prit la parole :

- Nous voilà parties, Madame.

Oui, pensa Elizabeth. Les voilà parties.

Alors ? Qu'en pensez-vous ? J'espère très sincèrement que ce chapitre vous a plus, je poste la suite jeudi prochain. En attendant, j'attends vos réactions.
Camomille

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