je mis quelques secondes à emmerger, et lorsque j'ouvrit enfin les yeux, je vis cet homme penché au dessus de moi. il me tira par le col de mon t-shirt et me jeta hors de ma cellule. je regardais autour de moi, il  avait un nombre incalculable de cellule semblable à la mienne remplit de personnes endormis ou tout simplement vide. l'homme me regarda et me demanda mon âge, je lui répondis 15 ans. alors, il me tendit la main et s'excusa pour cette violence gratuite. je pris sa main et il m'aida a me relever. une fois debout, il me souria d'un sourire fragile et bête. il ne me paraissait plus si terrifiant que lorsqu'il m'avais jeté au sol. et malgré ses tatouages et son air de racaille il paraissait gentils et triste pour moi. il me guida  jusqu'à une grande salle entièrement grise, fortement eclairé par le soleil dont les bareaux de la fenêtre se refletaient sur les murs. je fus éblouis pendant quelques secondes lorsque je vis une ombre menaçante traverser la lumière. prise de peur, je trébuchais et m'ecrasais au sol. l'ombre fit signe à l'homme qui m'avais emmené de repartir. il hésita puis partit finalement, sans un regard. alors, sans que je ne la vis arriver, l'ombre m'attrapa le bras et me releva violemment.

Elle me guida jusqu'à une chaises en bois sur le point de se casser. lorsque je m'assayais, je pus enfin voir son visage: c'était un homme d'une vingtaine d'années, chauve, réssament rasé. ses yeux d'un bleu perçant me devisageaient. malgré son air agressif, il était plutôt beau ( pour une personne de son âge du moins). il s'asseya en face de moi avant de me lancer :

- où est-il ?

- où est qui ? lui dis-je trés serieusement. malgré le coup que ma tête avais du subir un peu plus tôt je me souvenais de tout. d'Elijah, de ses beaux yeux gris, de son magnifique sourire et de son air indifferent. je me souvenais de notre histoire, de notre parcours, mais pas de pourquoi j'étais ici. peut-être m'avaient-ils injectés un sédatif qui affectais la mémoire temporairement. franchement  je n'en avais aucune idée, mais ce dont j'etais sur c'est que je ne dirais rien, rien sur lui, rien de compromettant.

- où est Elijah ?

- qui ? dis-je un sourire naissant au lévres.

il se leva et se pencha vers moi en s'appuyant sur la table.

- ne te moque pas de moi, je sais que tu le connais et je sais que tu sais où il est !!!! cria-t-il.

- Elijah... ce nom me dit quelque chose, déclarais-je alors. pourquoi vous le cherchez ?

- Cela ne te regarde pas, réponds jutse  à mes questions.

- au contraire, fis-je, je pense que cela me regarde puisque vous me demandez où il est.

il se rassaya et supris par mon assurance, me jeta un regard noir.

- comment tu t'apelle ? me demanda-t-il. il paraissait deja savoir mon prénom et pourtant il voulait le savoir, peut-être était-ce un test.

- ça ne vous regarde pas !! lui déclarais-je alors supris moi même par mon assurance face à cet homme peut aimable, et peut rassurant.

alors, un silence s'installa dans la salle puis il sortit énervé et claqua la porte derrière lui. la porte qui cette fois si étais en bois ne s'etait pas complètement fermée. je décidais alors de  m'enfuir tant qu'il en était encore temps. je regardais alors derrière celle-ci. personne à l'horizon! je m'élançais alors dans une direction qui m'étais inconue puis, 10 mètre plus loin, je fus encerlée de murs. un cul de sac ! il y avais tant d'allées, tant de chemins possible que je mis perdis rapidement. j'avançais alors jusqu'à une porte à demie ouverte lorsque j'entendis mon ravisseur crier. je jetais alors un coup d'oeil et pénetrais dans cette vaste salle. il parlait à se qui me parut être un scientifique. je me cachais alors derrière une vieille armoire tout en écoutant leur conversation.

- pourqui elle ne me répond pas ? s'ecria l'homme effrayant mais tout aussi amusant.

- je ... balbutia alors le scientifique.

- je pensais que ton sérome de vérité était infaillible !!! S'écria-t-il. pourquoi n'a-t-il pas fonctionné ?

- je, je ne sais pas. cette fille doit vraiment avoir quelque chose de speciale. c'est surement pour ça q'uil l'a choisit !