Cinq.

Ses lèvres trépassent toujours sur ma peau, alors que le fer froid de son arme avance toujours sur ma clavicule, manquant de percer mon échine à plusieurs moment.


Je sens son torse se coller à ma poitrine, écrasant mes seins déjà comprimés. Un frisson de dégout me parcours. Je ne veux pas qu'il me touche, je ne veux pas le sentir contre ma peau.


« Ne me touche pas ! » crachais-je avec le peu de confiance que j'avais.


Il lâcha un rire, et je n'eue jamais ressentit une si vive douleur, la pointe de sa dague pénétrant ma peau juste au dessus de mon sein droit. J'haletais en essayant de me défendre, le souffle coupé. J'avais mal, dieu j'avais mal.

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