Un début d'accord raté

PDV Valkyon

-Comment ça? Crias Nevra. Pourquoi Amore ne peut pas repartir avec nous.

Ça fesais une heure qu'on discutais avec le sage. Et une heure que c'etais partis en cacahuete. Le peuple ne voulais pas nous laisser partir après tous ce qui c'etais passer. Et même si ils nous laisser partir, Amore devrais rester ici.
Et ce qu'on a appris et ses pouvoirs sont... Comment dire , allucinant. Si c'est bien vraie, à elle seule c'est une légende, et ça faut le faire.
Le problème de cette discussion ces que personnes est d'accord, et plus personne ne s'écoute. Leiftan essaye d'adoucir la discussion sans grande réussite. On va pas avance dans la discussion.
Mais d'un coup la porte de la salle où on se trouvais, s'ouvrit en grand. C'etais Amore qui venais sûrement de se réveiller. Elle étais en essoufflé de sa course mais avais l'aire aussi en colère.

-C'est quoi cette discussion sur ou je vais rester sans même m'en parler. Je suis quand même la personne la plus concerné dans l'histoire.

Ça c'est pas faux. Mais je crois qu'ils étaient trop pris dans la discutions pour penser à elle, la pauvre.

-Elle a raison. Et je pense que le plus simple et que moi, le vampire et l'elfe rentrons. Nous avons une mauvaise opinion de vous. Alors qu'Amore et Leiftan serons plus apte à trouver un accord entre nous, et peut-être entre la garde et vos peuple.

-Je suis d'accord avec Valkyon, dis rapidement Leiftan. Nous devons parler plus calmement pour trouver une solution qui nous convienne a nous tous. Et en plus notre amis qui est blesser a besoin de soin et de repos.

Un instant j'eu peur que ça ne marche pas, et qu'on doivent rester tous ici, mais le sage pris enfin ça décision.

-D'accord j'accepte. Mais je vous demande de ne rien dire pour l'instant sur nous. À part peut-être votre chefs.

On passe encore quelque heures à passer quelque accord, et on pue enfin partir de reposer. Ils demandent alors à quelqu'un de nous enmener dans nos chambre. Mais le sage gardais quand même Amore.

PDV Amore

J'allais partir avec les garçons dans les chambres, mais le sage me demandais de rester quelques instant. Je rester donc avec lui. Il attendus qu'ils partent pour parler.

-Je peut voir tes penses et tes souffrance. Je sais que tu a perdue la mémoire, et qu'il ne t'ont pas tout dis sur ce que tu as oublié, pourquoi quand même vouloir les aider.

-Je ne sais pas vraiment. Je sais qu'il ne m'ont pas tous dit, mais je sais que dans ma conscience, je peut leur faire confiance.

-Je ne sais pas encore si c'est penses son pur et réelle. Je te propose quelque chose. Si tu arrive à me convaincre de la pureté d'eal, alors je leur ferais confiance et discuterais avec leur chef, sinon tu resteras ici.

-Je ne sais pas si je...

-Je ne permettais à personne de le faire à pars toi. Il pourrais mentir, c'est à toi de le faire.

-Alors je ferais de mon mieux.

Après ces mots le sage me laissais partir. Il y avais quelqu'un qui m'attendais à la porte pour m'amener à ma chambre. Je sentais de l'ostilite venant des personnes qui nous croisais. Je ne pense pas que le peuple soit d'accord avec cette situation, mais bon ce n'est pas à eux de voir ça.
Je regardais plus précisément le lieu où j'étais. C'etais grand, très grand. Les couloirs parressais interminable, et la hauteur sous plafond étais immense. Comment se fait-il qu'ils aient réussis à faire tous ça.
Soit ils ont une technologie avance par rapport à la garde d'eal, ou bien c'est sous terre. Ça expliquerais pourquoi on ne les aient pas encore découvert. Mais quand même, ça n'explique pas cette hauteur sous-plafond.

-Excuse moi, mais voici la porte de votre chambre. Pour plus de sécurité, on vas vous apporter votre repas, et la chambre de vos amis sont à côtes, je doit vous laisser ici, aurevoir.

Et il partis assez rapidement. Je rentrer alors dans ma chambre. Elle étais immense, et magnifique. Tous les meubles étais du bois. Du lit à baldaquin, à l'armoire et au bureau. Et j'avais même une salle de bain! J'étais vraiment gate.
J'entendis un petit bruit à la porte, j'ouvris. C'etais le repas, je remercier la personne, pris le plateau et referma la porte. Je mangeais ce qui avait la dedans, posais le plateau sur le bureau, pris une douche, me mit en pijama ( que je trouvais dans l'armoire ), et me fis des tresses pour aller dormir. Avant de sombrer dans le sommeil, je me disais que ces prochains jours, ça seras bien les plus compliqués que j'ai eu depuis qu je suis arrivé à Eldarya. Et à cette penses je tombais dans les bras de Morphée.

Quelque jour plus tard.
Le soir.

Les trois chefs de garde étais partis, et les discutions n'avancera pas avec le peuple. Et j'étais vraiment très inquiète, car moi non plus je n'arrivais pas à convaincre le sage. En y repensant, je n'en avais rien dit à Leiftan avec qui j'étais en ce moment.

-Tu ne devrais pas trop t'en vouloir Amore. Ce n'est pas ta faute si les discusion n'avance pas.

-Le problème et que c'est vrai. Le sage m'a demandé de prouver la valeur d'eal, en lui prouvant que je vous fais confiance, et que je ne me mens pas, même si j'ai perdue la mémoire. Mais je n'y arrive pas.

J'étais tellement désespère que je commençais à pleurer à chaude l'arme. Je sentais que Leiftan me prenais dans ces bras. Un peut gênée au début, je me laisser aller.

-Je sais que tu fais ton possible pour nous aider. Je te fais confiance. Si je peut te donner un conseille, dit lui ce que tu a sur le coeur. Dis lui tes peurs, tes craintes, tes colères, et ce que tu te rappelle, c'est la meilleure des solutions, au moins il sauras que tu est sincère.

Je réfléchis quelque seconde à ces paroles. Il m'a donner quelques idées, ce qui va grandement m'aider. Mais avant je doit lui demander quelque chose:

-Fais moi tous depuis que je suis à Eldarya. Si te plais, ça m'aiderait beaucoup...

-Mais besoin de te justifier, je vais tout te raconter.

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