Lemuronyx : Je sais le titre c'est du frangnol xD

Eglisa Real :

Ramirez est assis sur sa table à manger. Il savoure des bonnes figues venant d'un champ entretenus très difficilement dans le désert de pollution : "El Desierto". Il attend tranquillement le rapport complet de ses ordres.

Chilito :

Le colonel massif, chauve, portant un regard sévère et inquiétant s'avance juste en dessous de la lumière, cachant en partis ses yeux par les ombres. Derrière lui, se porte l'homme rempli de cicatrice qui avait informé Alessandro de la situation critique à travers la télé. En tout c'est une vingtaine de personne qui se trouve dans la pièce, et un silence pesant l'envahi. Cooper décide de le rompre le premier :

-Quelle est la situation ?

-Critique, prononce la voix grave du colonel. Tout le bâtiment D a été évacué.

-Comment ça tout le bâtiment D a été évacué ? Demande une voix efféminé, c'était l'avant dernière à être admise dans l'organisation. C'est pas celui où il y a tous les échantillons des zombies Omicron ?

-Bien vus Patricia, répond le colonel avec la même voix grave. Le bâtiment a subis une explosion suivie d'un incendie, mais il a vite été éteint par nos agents. En revanche, les gaz des zombies sont en liberté dans tout le bâtiment, ce qui veut dire que quiconque rentre là-dedans va devenir un zombie Omicron.

« Le plus grave dans tout ça c'est que la recherche d'un antidote contre ces zombies, qui sont je le rappel, les plus meurtriers dans ce désert, va encore être retardé ! De plus, je vous ferais remarquer qu'avec notre sécurité aucun inconnue ne peut rentrer, en revanche étant donné notre besoin exponentiel de personnel, nous sommes obligés de faire rentrer ici presque n'importe qui. Je répète donc que ce n'est pas impossible que certaine personne de cette entreprise soit des espions de Ramirez, car les agents ont découvert un message nous ordonnant d'arrêter les recherches, donc à part ce cingler je ne vois pas qui ça pourrait être d'autre.

« dans cette salle, il n'y a que les plus compétent. Mais d'après mes sources, l'espion se situe parmi vous, et personne ne sortira d'ici avant d'avoir eu une réponse claire et précise de la situation.

A ce moment précis, des grilles se referme sur les portes pour bloquer le passage.

-Mais voyons mon colonel, réplique un soldat portant un badge du nom de Robert Alan. Je pense qu'aucun de nous n'as pus faire ça, c'est du délire !

-DU DELIRE ? ? Crie le colonel. Vous pensez que c'est du délire ? Un bâtiment de haute sécurité qui est maintenant envahie d'un gaz pouvant transformer quiconque le respire en zombie Omicron c'est du délire peut-être ?

-COLONEL ÇA SUFFIT ! ! Cooper se met également à crier. C'est sans aucun doute Ramirez qui a envoyé l'attaque et vous pensez qu'il va facilement se laisser prendre comme ça ? C'est justement son but de nous diviser pour qu'on ne fabrique pas se putain de remède, si on commence à douter de nous-mêmes on n'y arrivera pas. Il faut rester ensemble, souder, comme le dis notre devise : 1+1=3. Autrement dit l'union de nos talents dépasse leur simple addition. Et si jamais l'espion de Ramirez est dans cette salle, à mon avis il ne va pas se livrer de cette façon !

-Que proposez-vous professeur Cooper ? Demande Patricia.

-On oublie cet incident et on remet tout en ordre, mais on reste tout de même sur nos gardes. On redouble de vigilance. S'il retente quelque chose, il se fera prendre.

Les grilles se ré-ouvre, le colonel s'avance vers le professeur Cooper en se retirant d'en dessous la lumière. Son visage maintenant entièrement visible, révèle un homme vieux avec un visage ridée par des années douloureuses.

-Professeur Cooper, cela fait longtemps que personne ne m'a crié dessus et donné des ordres. En revanche, je sais reconnaître mes erreurs. Nous allons triplé de vigilance, je veux des caméras à chaque couloir, chaque salle et chaque toilette. Nous allons mettre des serrures à chaque salle hautement sécurisé. Patricia vous allez remettre le bâtiment D en ordre, je le veux à nouveau cent pour cent fonctionnel d'ici un mois. Robert, vous allez mener une opération pour récupérer de nouveau échantillon d'Omicron, quant aux autres, retournez à vos tâches quotidiennes.

Tous se mettent à exécuter en silence.

-Attendez ! Dit précipitamment le colonel. J'aimerais encore dire un mot. Si l'espion de Ramirez se trouve ici, j'aimerais qu'il sache qu'au moment où je le trouve. Je m'occuperais moi-même de sont cas. Et Cooper, emmené le nouveau voir le ciel. S'il a suivis les instructions donnés aux citoyens, cela faits trois années qu'il n'a pas vus un seul rayon de soleil.

Santo Joge :

A l'intérieur d'une yourte, un homme parle à un autre :

-Heureux d'apprendre que le didgeridoo fonctionne également sur eux, dis l'homme assi en tailleur.

-Oui, espérons qu'ils ne vont pas à nouveau muter pour être immunisés aux sons à basse fréquence, dis l'homme en faisant les cent pas.

-J'espère également, mais pour l'instant ça à l'air de bien marcher.

-Exact, mais pour l'instant chaque zombie fuient quand ils font face à un son de basse fréquence faisant trembler le sol.

Blanca :

Tout à l'Est du désert, Blanca est en plein travail. Plusieurs centaines, peut-être des milliers de points noirs bougent dans tous les sens. Blanca est une grande ville ovale enfermé par deux rangées de muraille en construction. Au centre de cette ville, une tour haute de plusieurs centaines de mètres surplombe la ville.

Si on se rapproche un peu, on peut voir des Kappa avec des fusils comme des êtres humains en train de surveillé des individus exécutant les ordres aveuglé par la peur comme des zombies.

(Lemuronyx.

Bon, j'espère ne pas vous perdre avec ces différents points de vue, je vais essayer de rendre tous ça plus clair petit à petit avec l'aide de Troitre. D'ailleurs je me demande ce qu'il va écrire par la suite. Pas vous ?)