→ les oublis d'Adonis
pleure, pleure en crachant tes sanglots, trop bien enfouis sous la surface d'un lac pourtant si calme.
pleure et crache et arrache, arrache leur le cœur à ces maudits passants qui chaque journée t'encerclent de leurs regards perçus médisants.
crache car tu te noies, tu te noies dans ton angoisse, mon pauvre enfant.
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