J'étais fou de rage et d'inquiétude quand j'ai découvert son absence.

Je savais que Lou était à son cabinet médical, mais je trouvais le temps long, on ne met pas autant de temps pour réorganiser ses rendez-vous médicaux avec ses patients, alors par acquis de conscience, j'avais appelé son secrétaire, qui me confirma son départ et quand je voulus appeler pour savoir où elle se trouvait, elle ne décrochait pas. Je l'ai appelée plus d'une dizaine de fois sans jamais qu'elle ne décroche son foutu téléphone, tombant à chaque fois sur son répondeur. Ce qui a fait bouillir mon sang dans mes veines à ne pas savoir où elle était. Elle ne se rendait pas compte du danger, car je savais très bien que Declan n'était pas mort, qu'il était quelque part, qu'il n'attendait qu'une chose : la récupérer et l'emmener loin de moi... Mais ça n'arrivera pas, car je serai toujours là pour la protéger, quitte à en perdre la vie. Car pour moi, elle était devenue une priorité dans ma vie, depuis bien longtemps d'ailleurs...

Et plus les heures passaient, plus mon angoisse prenait une dimension exceptionnelle. Je ne savais plus où chercher, car il y avait très peu d'endroits où elle traînait en général, hormis chez elle, chez moi, Franck et la salle de sport de Franck, son boulot. Je ne voyais pas où chercher.

Mais Franck, qui se foutait de ma gueule, m'a mis la puce à l'oreille en me disant.

__ Cherche un endroit où normalement elle ne mettrait jamais les pieds.

Et je l'ai trouvée et je me morigène en me traitant d'idiot, car sans blague, j'aurai dû commencer par là, avant de faire les alentours de la ville. Mais j'étais loin de penser à cet endroit, car Lou ne bois que dans des cas très exceptionnels.

Le bar est grand, mais au son des voix que j'entends dès que je passe la porte, qui n'est pas verrouillée, normalement il devait être fermé, mais apparemment ce n'est pas le cas vu la conversation que j'entends au loin. On reconnaissait bien les voix des deux personnes qui parlent et je commence à froncer des sourcils, leur conversation raisonne dans la pièce vide, même avec la distance, l'une des deux à l'air vaseuse et euphorique. 

En suivant la conversation, je les aperçois, je me colle à une poutre qui se trouve non loin d'eux pour les observer sur le cul pencher en avant pour mieux la voir et je remarque l'état dans laquelle elle se trouve en voyant ses yeux légèrement brillants et brouillés par l'alcool, ses pupilles sont aussi dilatées, signe qu'elle n'a pas que bu, mais a dû prendre autre chose.

Qu'elle ait bu ou fumée ne m'inquiète pas tellement, après tout je le fais moi-même de temps en temps, mais ce qui m'inquiète c'est surtout pourquoi elle s'est mise dans cet état. Elle qui ne boit jamais et ne touche à aucun stupéfiant. Quelque chose a dû arriver, quand elle était à son cabinet, mais c'est bizarre, car Marc son secrétaire ne m'a informé de quoi que ce soit de fâcheux, ni ne s'est mal comporté comme il le fait tout le temps, je n'ai noté aucun changement, ou elle lui a dit de se taire, de ne rien me dire.

Je grogne énervé qu'elle essaie encore de me cacher quelque chose et je suis loin d'être idiot, je devine très bien, ce qui la met dans cet état d'angoisse permanent, alors je m'éloigne et rappelle Marc courroucé.

Je m'éloigne un peu plus pour ne pas être entendu, par Lou la poivrote en me disant que je m'occuperai de son cas plus tard. Quand Marc décroche au bout de deux sonneries. 

__ Allo ici le cabinet du Docteur Black que puis-je pour vous ?

__ C'est Adam.

__ Oui, qu'est-ce qu'il y a ? tu l'as retrouvée ? devine Marc.

__ Oui.

__ Super ! Comment va t-elle ? Tout va bien ? dit Marc qui essaie d'avoir une voix détendue. 

Mais Adam repéra immédiatement dans sa voix l'anxiété qu'il tentait de masquer.

__ Non, elle est saoule.

__ Hein...? Pas possible Lou est aussi dégrisée qu'un cactus ! se marre t-il.

__ Tu veux que je t'envoie une photo peut-être ? dis-je agacé.

Un silence envahis le téléphone et il entendit un raclement de gorge dans le combiner.

__ Pas la peine, je te crois puisque tu l'as retrouvée, je te laisse à tes occupations, car je sens que tu vas bien t'amuser ! rigole t-il. 

__ M'ouais, dis-je pas convaincu en raccrochant. 

J'ai déjà eu l'expérience des gens qui boivent pour la 1re fois de leurs vie et je sens que je vais passer une sacré soirée. Je vais sûrement devoir attendre qu'elle soit à jeûn pour l'engueuler, car là bourrée ça ne mènera à rien. 

Je reviens sur mes pas et décide d'agir quand j'entends la suite de la conversation je m'approche en sortant de ma cachette.

__ Ah te voilà petite soularde, je te cherche partout depuis des heures, dis-je l'air de rien. 

Mais elle est butée et insiste mettant mes nerfs à rude épreuve, malgré le barman qui tente de la raisonner. Cette femme m'énerve, alors à bout de patience je me rapproche encore en comblant l'espace entre nous et lui dit en l'aidant à se lever.

__ Je te ramène. 

__ Non !

Quand je la voie chancelante, mes nerfs flanchent, glissant un bras autour de sa taille en la serrant contre moi, quand elle rouspète.

__ Je suis une grande fille et je rentrerai quand j'en aurai envie, arrête de te comporter comme un homme de cromagnon, pas besoin de me surproteger ! s'énerve t-elle en bafouillant.

Mon sang gronde dans mes veines en sentant sur elle l'odeur de ce qu'elle a fumé.

__ Mais qu'est-ce qui t'as pris, bon sang ? Je grogne.

__ Quoi j'ai pas le droit de boire ? 

__ Si mais mélanger l'alcool à la fumette est un mélange dangereux pour une novice. dis-je en voyant son visage agard.

Cela m'énerve d'autant plus qu'elle l'a fait dans un lieu public où à tout moment il peut lui arriver quelque chose. Même si j'ai appris à connaître Jarvis pendant mes surveillances des lieux qui entourent son cabinet, le fait de la savoir presque sans défense m'exaspère encore plus, alors que Lou tente de se débarrasser de moi, avec des gestes maladroits, guidée par l'acool qui perturbe son centre de gravité, ma contrariété augmente et crache. 

__  Bon ça suffit ! Je te ramène petit saoulote.

__ Je suis pas saoule, j'ai bu que trois verres. dit-elle une voix pateuse.

Ce qui fait rire Jarvis, qui se calme au bout de deux minutes, quand il voit mon regard noir.

__ Maais oui, à mon avis tu n'as pas que bu, mais on verra ça plus tard.

__ Je confirme, me dit le patron du bar.

J'acquiesce et regarde Lou qui a dû mal à rester droite, alors qu'elle tient à peine debout bougeant de gauche à droite, je décide de la porter pour gagner du temps.

__ Allez en route !

__ Tu es sûr qu'elle va tenir sur ta moto ? m'interroge Jarvis un peu inquièt. 

__ Je ne suis pas venu avec ma moto.

Il soupira de soulagement et hocha de la tête comprenant tout de suite avec quel véhicule je m'étais déplacé.

Et oui j'avais eu l'intelligence de retourner chez moi et d'emprunter la voiture de Dock, l'un de mes frères qui travaillait sur le port. Après avoir discuté avec lui, mon sixième sens me disait de changer de véhicule. Sinon j'aurai été obligé de l'attacher à moi avec une corde pour être sûr de ne pas la perdre en route  lors d'un virage par exemple.

Elle m'a assurée ne pas avoir bu beaucoup, et je pense avec certitude que c'est le cas, mais avec ce qu'elle avait fumé ça ne doit pas forcément être mieux. Pour moi, qu'elle boit beaucoup ou peu, ça ne changera rien à son état.

Une fois dehors, je l'installe sur le siège passager et ne perds pas de temps à regagner ma place conducteur pour rentrer au plus vite, ce que je fais sans tarder. Je sens que demain elle va avoir une sacrée gueule de bois. Pendant tout le chemin j'ai senti la brûle de son regard sur moi, silencieuse, qui me fit rire intérieurement, faisant semblant d'être concentré sur la route, même si j'étais légèrement déçu, pour ce soir.

Arrivés devant chez moi, au bout de 10 minutes, Lou descend sans problème du véhicule, ce qui m'étonne malgré le léger zizag, elle s'en tire pas trop mal et patiente tranquillement le temps que je range ma moto. Appuyée sur la porte comme si elle était fatiguée, les yeux braqués sur mes moindres mouvements et la encore je faisais l'ignorant.

Je sais par expérience qu'une femme qui a bu se lâche en général, de plus si en temps ordinaire elles sont réservées. Et je ne veux pas profiter d'elle dans l'état où elle est, ce ne serait pas honnête, je veux qu'elle soit à jeûn et consciente de ce qu'elle fait, pas motivée par l'alcool, qui coule dans ses veines. Quand j'ouvre la porte, elle manque de tomber en avant et c'est plus fort que moi, je ris et elle en se rattrapant de justesse à la porte, se retourne et me foudroie d'un regard noir et par dans une démarche rigide, vexée. Bon c'est vrai j'aurais pu l'écarter, mais je n'ai pas pensé à ce détail, étant pressé de rentrer et je la suis du regard, se diriger d'un pas rapide à ma chambre, sûrement pour prendre une douche et avant de disparaître totalement elle me dit d'un ton las.

__ M'attends pas je vais me laver, dit-elle sans me regarder.

Je ne réponds pas, à quoi ça servirait, je soupire content qu'on soit rentré. Je rejoins la cuisine pour boire une bonne bière, que je sors du frigo en m'adossant à l'évier, je plonge dans mes pensées, dès que j'entends au loin en bruit étouffé par l'eau de la douche, ce qui permet à ma tête de plonger dans mes souvenirs de cette journée en repensant à tout ce qui s'est passé, me rappelant une Lou qui est saoule et me provoque. Je repense à mon stresse quand je n'avais plus de nouvelles, en la cherchant partout, ronger par l'angoisse qui lui soit arrivée quelque chose, alors qu'elle était tranquillement dans un bar, en face de son cabinet en plus, sirotant tranquillement sa bière. Quand au bout de 35 minutes je reviens à moi, intrigué par ce silence qui m'a ramené à l'instant présent, sans attendre j'avale le reste de ma bouteille et la pose sur le rebord de l'évier et sors de la cuisine pour la rejoindre. 

__ Lou ça va ? Je crie

Je ne sais pas depuis combien de minutes j'ai passé à rêvasser, mais l'eau ne coule plus je n'entends plus aucun bruit, tout mes sens en alertes, je sors mon arme de derrière mon dos, accrochée à la ceinture et avance en silence vers ma chambre et approche de la porte qui est  légèrement ouverte alors qu'elle est toujours fermée, tout doucement je la pousse du bout de mes doigts en braquant mon arme devant moi sur mes gardes et avance doucement en me rendant compte qu'elle a tiré les volets, alors je me colle au mur sur la droite et à taton je cherche l'interrupteur. 

__ Lou ça va ? Je grogne. 

Pas de réponse et mes nerfs son tendus comme une corde de guitare.

__ Lou bon sang réponds? dis-je en tâtonnant le mur.

Quand je touche enfin l'interrupteur, j'appuie, mais rien ne se passe, mon inquiétude grandit cette fois et touche des sommets.

__ Si vous touchez un de ses cheveux, je vous jure que je vous arrache la tête, Louuu ! dis-je énervé. 

Je jete un oeil sur la gauche où se trouve la salle de bain, je vois la porte grande ouverte et pas de lumière, pas de Lou non plus...mais où est elle ? merde ! Est-ce qu'elle est en danger ? Pourtant, je ne sens aucune présence, même si je reste sur mes gardes, je ne ressens aucune sensation de danger, mais putain qu'est-ce qu'elle fou ? J'avance encore pas à pas en faisant le moindre bruit prêt à attaquer, quand je me retrouve presque au milieu de la chambre et je sursaute surpris par un petit corps chaud tout en courbe et deux mains qui glissent sur mon ventre et mes pectoraux. Un sentiment de soulagement profond m'étreind le corps relâchant tout l'air de mes poumons, mon corps s'affaisse de lui même plus détendu et d'un coup je me sens idiot d'avoir sorti mon arme, j'aurai

pu la blesser avec ses idioties.

__ Un soucis Adam ? surssure une voix à la fois mielleuse et narquoise. 

Je lève les yeux au ciel en baissant mon arme et soupire.

__  Je t'en foutrais moi. J'ai failli faire une attaque putain !

Lou rigole en posant un baiser sur mon omoplate gauche.

__ Lou ! je gronde agacé.

Elle se colle plus à moi, en pouffant moqueuse, elle ne sait pas que j'ai eu peur pour elle. Lou a dû sentir mon coeur palpiter avec force dans ma poitrine.

__ Pourquoi t'as fait ça ? Tu m'as fait peur idiote, j'aurai pu te blesser.

Lou fait glisser lentement ses mains vers ma ceinture, sensuellement, je pose mes mains dessus pour arrêter les siennes, qui s'affairent à la défaire. 

__ Tu as bu Lou, j'aime pas  je ne veux pas profiter de ton état.

__ Et alors ?? Je suis parfaitement consciente de mes faits et gestes alors cesse de jouer au saint.

__ Je ne suis pas un saint, loin de là, mais je préfère attendre demain quand tu auras dégrisé. 

__ Mais je vais bien, constate le par toi-même.

Ne voulant pas me prendre la tête je devie la conversation.

__ Pourquoi il n'y a plus de lumière qu'as tu fais à l'ampoule ?

__ Je l'ai juste dévissé, pourquoi tu as sortie ton arme ? Tu risque rien ici.

Je me retourne brusquement Lou se retrouve coincée contre mon torse, je passe un bras au tour de sa taille pour la garder contre mon corps et je leve la tête au plafond et je vois que je suis juste en dessous de l'ampoule et que j'ai juste à lever le bras pour la revisser. La lumière éclaira toute la pièce je baisse la tête pour la regardé dans les yeux et je vois que ses pupilles sont beaucoup moins dilatées.

__ Alors verdict ? Me taquine t-elle en baladant ses mains sur moi.

Des frissons parcours mon corps jusqu'à l'échine, des fourmillements me gagnent envahissant ma peau. 

__ Mmh effectivement, tu as plus l'air shooté bébé. 

__ Ah tu vois j'avais raison.

__ Mais ça répond pas à ma question, à quoi tu jouais dans le noir ?

__ Hum à ton avis nigaud ? dit-elle avec sourire de diablesse aux lèvres.

Ses yeux ne quittent pas les miens, tout en glissant ses petites mains sous mon maillot.

__ Tu trouves pas que tu es trop habillé ?

__ Tu trouves ?

__ Bah oui regarde moi, je me suis mise à l'aise. dit-elle sur un ton suave.

Perplexe, même si je sens un désir monter lentement en moi, je l'écarte légèrement et quand je vois dans quel déshabiller elle s'est glissée, ma queue me fait comprendre qu'elle apprécie la vue.

__ Effectivement, très sexy même, dis-je excité l'emmenant vers le lit.

Alors que je la surplombe de ma hauteur, j'admire dans son ensemble, le corps envoûtant de Lou dans ce magnifique ensemble rouge, son bustier à balconnet fait ressortir sa poitrine déjà bien généreuse, je ne peux que m'émerveiller devant ce tableau très tentateur. Alors qu'elle me regarde, en appuie sur ses coudes avec un sourire étrange, son regard intense, j'avais l'impression qu'un plan avait germer dans sa tête et que j'en étais le principal acteur. Je pose l'arme au sol, à mes pieds, hypnotisé par son charme décuplé par cette tenue sexy à mort, alors qu'elle suivait mes moindre gestes en silence, souriante.

Pour en savoir plus sur ses intentions je me rapproche et au moment où mes genoux touchent le bord du lit, elle écarte légèrement les cuisses pour me faire une place, de ses yeux elle m'incite à me placer entre elles, en passant sa langue sur sa lèvre inférieure, son regard était subitement plus chaud et attisa encore plus mon envie d'elle. Alors je m'y glisse sans attendre et un sourire incurve ses belles lèvres pulpeuses, telle une prédatrice qui me fit douter, quand remontant je suivis le mouvement pensant qu'elle voulait se mettre à l'aise au moment où mes reins touche les siens Lou resserre ses cuisses assez rapidement et sans que je le vois venir nous bascule en sens inverse et je me retrouve à mon tour sur le matelas les poignets attachés au montant du lit.

Mais...

__ Maintenant tu es à moi !

__ Comment tu as eu le temps ? dis-je effaré, mais pas en colère.

J'avais conscience de qui elle était, que je pouvais lui faire confiance, avec une autre ça aurait été différent. 

__ Ça c'est mon secret... As-tu assez confiance pour me laisser faire ce que je veux ?

Et déjà des images sensuelles défilent dans ma tête et pour toute réponse.

__ Je suis tout à toi bébé, dis-je fiévreux.

Lou descend doucement en frôlant mon corps avec le sien, ses mains voyageant sans hésitation vers le sud de mon corps les yeux déjà attirés par la bosse que m'a queue fait à travers le tissu rêche de mon jean. 

__ Tu fais bien, alors maintenant regarde et profite, dit-elle langoureuse. 

__ Je n'attends que ça...en fait c'est ça que tu préparais.

__ chuuttt, regarde je t'ai dit et laisse toi faire. 

Lou sourit tendrement les yeux pétillants, tant que ses mains défont ma ceinture, dézippe la fermeture, puis remonte vers le haut, de ses mains remonte mon maillot sur mes yeux me barrant la vue, dans le noir je reste perplexe.

La réaction de mon corps a dû être un indicateur pour elle, car elle me dit en carressant mes abdos de ses lèvres. 

__ je te l'ai dit, laisse moi faire tu vas voir tu va aimer.

C'est la question, mais c'est une première pour moi.

Mon cœur s'emballe inquièt, jusqu'à ce que je sente mon jean et mon caleçon glisser vers le bas, rien ne se passe pendant quelques secondes me laissant dans l'expectative jusqu'à sentir un objet glacer et humide < glaçon >, qui me fait frissonner, un long coup de langue qui part de la base de mon sexe jusqu'en haut, puis un truc léger comme l'air caressant mon gland, glissant sur ma longueur me fait bizarrement me détendre alors que je ne reconnais pas l'objet < une plume > suivie d'une bouche chaude qui me sucote et tout ça en alernant à chaque fois, qui petit à petit fait monté l'envie et le désir. Ma tête sous cette gentille attention s'y met aussi en me proposant des images assez chaudes, qui commencent graduellement à me rendre dingue. 

__ Tu aimes ?

__ Oui...dis-je en serrant les dents, mais si tu continues je vais pas tenir longtemps 

Elle rit vaguement 

__ OK, alors ressens...

__ hein...?

Je n'ai pas le temps de finir qu'elle vient de gober mon sexe d'un seul coup et moi à moitié énerver par le faite de ne rien voir du spectacle quand le tissu glisse doucement me faisant voir Lou, la bouche autour de mon sexe, le nez à un millimètres de mes poils, les yeux braqués sur moi. 

La vision devant moi est tellement bandante, ma tête par un peu en arrière en extase, pendant que Lou m'aspire avec application, faisant tournoyer sa langue au tour de mes chaires, en me rendant complètement dingue et j'en redemandais tellement c'était bon, une décharge électrique me vrille les reins, mais je me retiens pour ne pas me répandre tout de suite et profite de se déferlement de plaisir. Jamais une pipe ne m'avait fait cet effet, c'est la meilleure de toute ma vie et je crois que je vais en devenir accro.

__ Encore bébé puuutain c'est trooop bon ! je serrais les poings dans les draps pour m'empêcher de jouir tout de suite, mais elle est tellement douée que c'est mission impossible. 

Ma tête par en arrière quand mes lèvres lâchent un râle d'extase qui me fait sourire et elle accélère plus franchement en pompant très fort me faisant planer comme jamais, je ne sais pas où elle a appris ça, mais franchement j'en  redemanderai.

__ Bordel je vais pas tenir, recule bébé, dis-je pour ne pas me déverser dans sa gorge.

Lou acquiesce puis sans que je ne le vois venir un de ses doigt glisse et carresse mes couilles, les presse fort et son autre main s'agrippe à ma hanche pour me garder prisonnier, une violente décharge me broie le bassin fourmillant en de milliers de picotements jusqu'à ma verge, qui palpite entre ses lèvres, me faisant sentir qu'un orgasme titanesque va bientôt me dévaster et qui va me laisser sur le carreau. Je baisse les yeux et vois Lou s'appliquer comme jamais en creusant encore plus ses joues, accélérant encore plus ses mouvements, ma tête part dans les affres du plaisir, qui montent en moi et après quelques coups de langue sur mon gland je ne retiens plus rien et gronde ma jouissance en crachant tout jusqu'à la dernière goutte, me laissant essoufflé et allangui.

__ C'est la meilleure pipe que l'on m'ait faite de toute ma vie bordel ! dis-je essoufflé.

Mais si elle croit que ça va m'arrêter.

__ Merci

Je relève la tête étonné.

__ Ah non, non, c'est à moi de te dire merci et je crois qu'après ça je ne vais pas m'en passer, dis-je sincère.

Lou se rapproche en se coulant sur mon corps jusqu'à mon visage pour m'embrasser en défaisant les menottes par la même occasion. Je ne lui laisse pas le temps de réagir une fois les mains libres, d'un coup de bassin je la retourne sur le matelas et la recouvre de tout mon corps en me glissant entre ses cuisses et lui dit au creux de l'oreille au moment où je mord la peau tendre de son coup.

__ Ah parce que tu crois qu'on va en rester là ?

Elle rigole, mais bien vite gémis, quand mes doigts s'enfoncent en elle d'un geste franc. 

__ À moi maintenant et attends toi à ne pas dormir.

__ Adaaam ! s'exclame t-elle.

__ Je vais te rendre au centuple ce que tu viens de me prodiguer, 

avec beaucoup de plaisir...

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Corriger ma super correctrice que  j'espere garder longtemps Sophie erieau