mais pourquoi il y a toujours un trucs pour tout gacher
Adam
Cela fait 1 mois et deux semaines depuis cette soirée, tout se passe bien entre nous.
Je suis sur un petit nuage, jusqu'à ce matin, où mon sixième sens me taraude à me rendre dingue, pour m'avertir d'un truc, qui ne va pas me plaire et je l'écoute pour une fois, car je sens que ça la concerne. J'étais peut-être détendu, disons plus jusqu'à maintenant, il est 15h, quand elle m'annonce qu'elle part en soirée avec Jenifer et Morane, puis d'autres femmes du clubs ont eu vent de cette soirée et ont decidé de se greffer à cette teuf entre filles et moi je fais la gueule, flippant comme un malade et ça la fait rire, car elle essaie d'oublier en allant de l'avant.
Et moi, je sais que je réagis comme un égoïste et puis mon sixième m'a bien fait comprendre, que je n'allais pas aimer et je réagis comme un gosse alors qu'elle a besoin d'air avant de craquer.
Tout se passe bien entre nous et son travail, qui lui prend beaucoup de temps et de temps en temps les blessures à soigner chez mes frères. Tous les soirs nous sommes réunis dans le lit de l'un ou de l'autre, à faire l'amour au gré de nos humeurs, tantôt sauvages, tantôt douces.
Ah au fait elle a déménagé pour une autre maison plus proche de la mienne. Elle ne voulait plus rester dans son ancienne maison, car trop de mauvais souvenirs s'y rattachaient. Je lui ai proposé une colocation, mais elle a refusé en déclarant que c'était trop tôt pour se mettre ensemble. Pour moi ça ne l'était pas, mais je la laisse aller à son rythme pour ne pas la braquer. Mais par contre j'ai réussi avec l'aide de Franck et de l'agence immobilière à lui trouver une location proche de chez moi. Après une chaude et sensuelle bataille entre les draps et tous les meubles,murs de mon appartement pour qu'elle accepte de louer la maison proche de la mienne, j'ai passé quand même toute la nuit à la faire gémir et crier mon nom. Bon d'accord ce n'était pas une mission très compliquée, car j'ai toujours envie d'elle, ça n'avait pas été dur pour moi de la savourer toute la nuit et le lendemain, je souriais comme un nase tant elle avait été crevée et ronchon, mais je m'en foutais.
Et maintenant, elle veut vivre, avancer telle une femme autonome et elle a raison. Rien ne sert de ressasser le passé.
Je ne veux surtout pas l'empêcher de vivre, je ne veux pas la priver de son autonomie, qui la fait rayonner tel un soleil dans la nuit. La priver serait la tuer à petit feu et ça ne serait pas juste pour elle. Mais j'avoue avoir encore des réticences à la laisser seule, quand elle part s'éclater le soir, pourtant je sais qu'elle ne sera pas seule, elles seront au moins 5 ou 6 avec elle dans un lieu public.
Alors pourquoi je flippe comme ça ? Alors que je sais qu'elle ne risque plus rien.
Je sais que les monstres de son passé ont la belle vie, dans nos mémoires il a marqué nos esprit à m jamais, alors pourquoi elle fait comme s'il n'avait jamais existé.
Tout le monde me dit que c'est normal, qu'elle tente de se réaproprier sa vie pour ne pas se noyer.
Même mes parents et mon cousin m'ont dit qu'elle ne risquait rien, vu que le Président a ordonné que des prospects les chaperonnent pour les protéger.
Je ne suis pas jaloux, enfin si, mais quand je la vois sursauter au moindre bruit quand vient la nuit, je m'inquiète pour elle. Comme m'a dit son psychologue, qui a souhaité me voir, car j'ai insisté pour qu'elle en voit un, m'a dit qu'il faudra du temps pour guérir de ce trauma.
D'ailleurs à ce sujet, on s'est beaucoup pris la tête, ne voulant pas admettre qu'elle en avait besoin, il a fallu que j'enregistre ses cauchemards pour après lui faire écouter pour qu'elle cède à ma requête.
Ce jour-là, j'ai souffert autant qu'elle dans mes chaires, quand je l'ai vue se décomposer à entendre ses propres hurlements à travers le micro de mon portable. Ce jour-là, mon cœur s'est alourdi de chagrin en voyant ses larmes ruisseler, quand elle déposa les armes à mes pieds, tout en se réfugiant dans mes bras pour déverser sa peine dans un ruisseau d'eau salée, dans un écoulement sans fin inondant ses joues et le pire, c'est le moments où elle a enfin exprimé tout ce qui est resté coincé en elle. Chaque mots qu'elle a prononcés étaient aussi affûtés qu'une lame, ils étaient douloureux, marqués par l'incompréhension qui la tiraillait, ne s'arrêtant qu'une fois les mots déversés par ses lèvres tremblantes et mes mots d'amour et d'espoir pour la rassurer, comblant le vide qu'elle a cru ne jamais pouvoir combler elle-même.
Ç’a été difficile et ce moment, nous l'avons passé à nous câliner pour encore une fois nous rapprivoiser, car j'ai cru un instant repartir en arrière avec elle, de la perdre, mais elle a su me rassurer en me disant que nous n'étions pas comparables avec ce Declan.
Alors que moi je jouais à l'ado débile depuis que je la connais, lui commençait à développer une obsession malsaine à l'université, malgré ce brouillard opaque, Lou a su nous différencier, ça m'a soulagé et rechauffé mon cœur qui n'aurait pas survécu à ce nouveau rejet.
Après ça, nous n'en avions jamais reparlé et Lou a fini par accepter de consulter pour se décharger de toutes ses peurs, doutes et chagrins.
Alors qu'est-ce qui me fait peur alors que le monstre de son histoire n'est plus ?
Une très mauvaise nouvelle, celle qu'on a du mal à digérer.
.....
Mon père m'a appelé et m'a demandé de le rejoindre chez lui et rien dans sa voix n'aurait pu me préparer à ça. Quand j'ai raccroché, j'ai ressenti un malaise, comme s'il me cachait quelque chose et en voyant la moto de Luk et Benson devant chez lui, cette sensation est revenue plus forte cette fois.
Au ralenti, j'ai éteint le moteur de ma moto, j'ai enlevé mon casque prenant le temps à la réflexion, du pourquoi ils étaient là.
Que peut-être ils y avaient des choses à me dire, que personne d'autre devait entendre.
Depuis la mort du démon, nous n'avons pas eu de nouvelles, ce qu'on a trouvé étrange, mais pas impossible. Normalement son corps devait être récupéré et la scène nettoyée par les prospects des trois clubs habilités à ça.
Mais rien...ils pensent que l'on a été doublé par un ou plusieurs types se faisant passer pour tel, car son corps est nulle part, comme envolé et pour nous ça ne signifie qu'une chose cet enfoiré n'est pas mort.
Voilà ce que j'ai appris chez mon père, ce soir, en compagnie du VP et mon Président.
Ils ont décidé comme un accord d'en parler le lendemain pendant une messe à la Chapelle et j'étais d'accord avec eux, pour que tous nos frères soient au courant, afin de se préparer au pire.
Notre Geek a craqué les caméras de la boîte de nuit à partir du moment où il y a eu l'attaque jusqu'à la fin. Il s'est avéré que le traître n'était pas seul, qu'il a agi dans notre dos.
Si les Red Shark avaient eu des alliers, ils les auraient aidés, mais personne n'est intervenu en leur faveur ?
Il faut qu'on retrouve le corps du démon, car l'image des hommes qui ont ramassés son corps et nettoyés la scène est inexploitable. Certains nous tournent le dos et ils portaient tous un masque et un sweet à capuche de couleur sombre et des gants. Benson insiste sur le fait qu'avant de paniquer il faut qu'on sache s'il est encore en vie ou pas.
Pour moi il n'y a pas besoin de réfléchir, tout est là sous nos yeux, grâce aux cameras. Quand ils l'ont ramassé il était inconscient et ne bougeait pas, mais ça ne veut pas dire qu'il soit mort, ça... ça me stresse beaucoup, car quand Lou va savoir ça elle va s'effondrer, je le sais.
Elle se bat tellement pour avancer et s'épanouir, que cette nouvelle sera dure à digérer, mais je serai là pour elle, je ferai tout pour la garder en vie quitte à mourir pour elle. A cette révélation qui me perturbe et je me rends compte d'une chose qui percute mon âme et mon coeur. A une époque j'aurai paniqué, mais plus maintenant, en me rendant compte que mes sentiments sont bien plus forts que je ne le pensais.
Je l'aime... Je l'aime vraiment beaucoup, non je crois que le mot est trop faible pour décrire ce que mon cœur me fait ressentir, quand je pense à elle, ou quand nous sommes ensemble. Moi qui pensais que ce n'était qu'un petit béguin, qui dure depuis des années, car il m'a été refusé.
Mais en repassant les images de tout ce qui est arrivé, depuis qu'elle est revenue vivre ici, le constat est clair, mon cœur lui appartient.
Je l'aime grave, je l'aime à en mourir et mon père qui me connaît bien, me tape la cuisse et me dit sur un ton de la confidence.
__ T'inquiète pas mon fils, pour l'instant elle est bien entourée et puis je pense qu'il va se faire oublier pendant un temps avant de réattaquer, mais par contre, si j'ai un conseil à te donner ne lui cache rien, je sais que ça va être un moment très dur, surtout oblige la à continuer de voir le psychologue.
__ Mais j'y compte bien, je ne lâcherai rien et s'il le faut je la ramènerai là-bas par la peau des fesses.
__ C'est bien, dit Benson qui entendu la conversation... Pour le moment nous ne savons encore rien, mais nous n'allons rien lâcher et demander à nos alliés encore un coup de main, on va pas attendre qu'il agisse.
Nous acquiessons tous, d'accord avec lui et nous nous séparons après un dernier conseil. Les femmes n'ont pas à se mêler des histoires du club, mais quand ça concerne l'une d'elle en particulier, nous faisons exception, car après tout c'est sa vie qui a été mise en danger. Après les salutations d'usage, je sors rapidement dehors me sentant rapidement étouffé par la colère qui gronde en moi, en sachant que cette enflure est peut-être quelque part dans la nature et qu'à tout moment il pourrait lui tomber dessus. J'inspire l'air frais devant ma moto, après plusieurs respirations pour retrouver un peu de calme, j'envoie un message groupé pour savoir si la soirée se passe bien et je reçois un réponse aussitôt accompagnée d'une photo qui se veut drôle, réussissant quand même à me faire sourire, allégeant momentanément mon cœur bien trop lourd et meurtri par la nouvelle.
__ On va pas tarder à les ramener à bon port mon frère, me dit Steeve un prospect avec qui je m'entends bien, mais je te préviens, elle est chaude comme la braise, dit-il en mettant un smiley d'un homme qui rit.
La tête pleine de ce que je viens d'apprendre, je ne réagis pas tout de suite.
__ Hein ?
__ Par inadvertence, j'ai écouté leurs conversations mon frère et je peux te dire que bourrée, elle se lâche, elle n'a parlé que de toi toute la soirée de tes attributs et tes prouesses au lit, se marre-t-il.
__ Ta gueule sale curieux ! lui dis-je alors qu'il rit ouvertement, quand un truc qu'il m'a dit m'a fait réagir au quart de tour, c'est impossible elle ne boit pas.
__ Ah bah pourtant... me dit-il en m'envoyant comme preuve une petite vidéo ou on la voit chancelante, zizaguant, pour se diriger vers les WC femmes.
On ne peut pas le nier en voyant cette vidéo elle est saoule, c'est bizarre elle qui refuse de boire.
__ Tu es sûr de toi ? qu'est-ce qu'elle a bu ce soir ?
__ Attends je regarde, dit-il... Du soda, mais c'est bizarre il n'y a aucune odeur d'alcool, dit-il perplexe.
Angoissé, je l'appelle.
__ Ouais ?
Ne le laissant pas en placer une.
__ Va la voir ! dis-je sur un ton tranchant, prêt à exploser.
Quelque chose cloche.
__ Mais c'est les toilettes des filles, râle Steeve.
__ Fait ce que je te dis prospect !
__ OK ok
Le silence s'abat sur nous et je l'entends respirer très fort, puis ses mouvements, grâce aux froissements de sa veste en cuir.
__ Oh Eh ! ça va là dedans ?
__ Ouiii sort d'ici ! crie une voix que je reconnais, je pouffe en me sentant soulagé.
Mais Steeve ne se démonte pas de peur de se faire engueuler et crie.
__ Lou, ça va ?
__ Mais oui, oui ça va, tu peux lui dire que l'on va rentrer, dit-elle d'une voie agacée et pâteuse, qui ne lui ressemble pas.
Je tique quand même, car elle n'a jamais aimé être dans cet état, mais je ne dis rien en me disant qu'elle a dû se sentir en sécurité et que par conséquent, s'est laissée aller juste pour une nuit, afin d'oublier tout ces souvenirs malsains qui lui pourrissent l'existence... Mais j'ai du mal à y croire, à ce lâcher prise ce n'était pas son genre.
Même si personne ne me voit, je souris, crispé, quand je ressentis un besoin urgent de l'entendre au plus prêt de l'appareil pour être sûr qu'elle allait bien.
__ Dès qu'elle sort des toilettes, dis lui de répondre au téléphone.
__ OK, dit-il.
Et j'ai dû attendre quelques minutes avant d'entendre sa petit voix, dans le combiné du téléphone, ce qui sans m'en rendre compte détendit tous mes muscles.
__ J'ai laissé mon téléphone dans le casier avec mon manteau, disait-elle d'une voix incertaine et pâteuse.
__ Steeve passe lui ton téléphone.
Ce qu'il fit quand j'entendis le bruit du cuir se froisser dans le mouvement de son bras.
__ Oui, dit-elle après quelques minutes.
A l'entente de sa voix, je me racle la gorge pour essayer d'avoir une voix tout à fait calme.
__ Tu t'amuses bien on dirait, dis-je d'une voix enjouée.
Mais l'alcool et le shit avait la particularité de délier les langues et parfois c'était drôle à entendre... Parfois non, mais dans son cas énormément intéressant à entendre.
__ Je...Je sais que je n'ai jamais fait ça... et... et que je t'ai toujours dis que jamais je toucherais à ces trucs là, mais j'en avais tellement besoin pour me détendre juste une fois... une fois pour oublier alors...oh merde sa tangue, pouffe-t-elle puis reprend, quand les filles et moi on a pris l'air côté fumeur et qu'elles m'ont donné un peu de ce qu'elles fumaient, j'ai accepté sans me poser de question... Maintenant... maintenant, je regrette un peu...ou pas, rigole-t-elle.
Je ris tout seul dans mon coin, car je compris que les filles lui avait fait fumer du shit, pour la détendre. Eh oui ses agresseurs l'avaient soûlée pour pouvoir l'agresser, mais pas fumer, donc pour elles, c'était un bon moyen pour la détendre. Lou déteste être trop entouré ça l'effraie et même si elle pensait bien faire, ça reste dangereux quand même, heureusement que des prospects sont là pour les protéger en cas de danger.
__ Tu rentres à la maison ?
__ Oui je crois que c'est plus raisonnable.
Je ne dis rien, mais j'étais heureux de sa décision. Aussi sur un coup de tête et surtout par envie possessive.
__ Bouge pas, j'arrive, je viens te chercher.
__ Aaah, mais je bouge pas, je t'attendrai à l'entrée bien sagement, dit-elle en bafouillant.
J'ai bien rigolé et lui demanda de me repasser Steeve.
__ Oui ?
__ Raccompagnez-la à l'entrée de la boîte, ramenez les filles et moi je m'occupe d'elle, je viens la chercher.
__ OK ! Pas de soucis nous attendons, dès que tu arrives, Joé, les autres et moi, on ramène les filles chez elles.
__ OK, on fait ça, j'arrive tout de suite.
Je savais la boîte de nuit à l'autre bout de la ville, mais croyez-moi quand je vous dis que je n'ai pas mis longtemps pour les rejoindre, trop pressé de la ramener chez moi. Je mis 20 minutes pour les rejoindre et quand j'arrive sur le parking, je les vois tous attroupés à côté des portes, collées les unes autres autres, dans un état qui me fit rire. Quand je cale ma moto, je m'inquiète bien vite quand je ne la vois pas avec eux, Steeve qui s'approche avance tranquillement en ne me quittant pas des yeux, alors que moi je la cherche du regard.
__ T'inquiète Ruffin l'a accompagnée aux toilettes, elle avait envie de vomir, comme c'est le seul a avoir l'estomac bien accroché il s'est proposé.
__ Ca fait combien de temps ?
__ 10 minutes avant que tu arrives.
J'ai un mauvais pressentiment et pas rassuré je commence à sentir mon estomac se contracter.
__ Je vais la chercher et je te renvoie Ruffin pour ramener les poivrotes, dis-je sur un ton calme pour masquer mon anxiété.
Il rit à ma blague et acquiesce en retournant près des autres.
__ Comme tu voudras, me dit-il alors que l'on rejoignait tout ce petit monde.
Heureusement, je connaissais tous les videurs de cette boîte de nuit et j'étais assuré de pouvoir rentrer sans problèmes.
Une fois à l'intérieur, je me dirigeais vers les toilettes des femmes en courant, je sentis qu'autour de moi les gens se demandaient ce que je foutais à courir comme ça. Une fois devant le battant, je pousse la porte sans attendre et les toilettes sont vides et je ne vois pas tout de suite Ruffin dans l'angle d'une porte de toilette grande ouverte hors de ses gonds. Par contre ce que je vois me glace le sang, en voyant les miroirs brisés, le sang un peu partout, on voit qu'il y a eu une lutte. J'observe les alentours et je ne vois rien ni son sac à main, ni son portable, mais par contre non loin, je vois par terre des jambes couvertes d'un jeans déchiré et des boots noirs et vois Ruffin allongé par terre la tête en sang, inconscient et aucune trace de Lou.
Tétanisé par l'angoisse, mon corps ne répond pas tout de suite et quand c'est le cas, j'essaie de la joindre elle, mais son téléphone sonne dans le vide, quand je réitère l'appel, je tombe sur son répondeur. Quand mon corps décide d'obéir, j'avance à petits pas vers Ruffin, m’accroupis devant lui et tate son cou en faufilant mes doigts et vérifie s'il est encore vivant et souffle quand c'est le cas, alors je ne perds pas de temps en appelant la cavalerie, par le biais de mon cousin.
Je me relève en restant près du corps de mon frère.
__ Ouais, dit mon cousin au bout de deux sonneries.
__ Lou a disparu, je bafouille.
__ Hein ? dit-il ahuri en crachant dans le combiner...Encoore ? se plaint-il.
__ Il a profité de mon absence et que Ruffin l'emmène vomir pour le mettre hors d'état et me la prendre.
__ T'inquiète mon cousin, je préviens les autres frères, ton père, le Prez, à tout à l'heure, dit-il avant de raccrocher.
Et je m'empresse d'appeler Steeve.
__ Oui mon frère ? Pourquoi tu m'appelles ? rigole-t-il.
__ Parce que Ruffin est K.O. et Lou n'est plus là.
__ Merde ! gueule-t-il, on arrive.
__ Non, ramenez les filles et revenez. Eh au fait j'ai eu Sunny ils arrivent.
__ OK bon on fait comme ça, on ramène les régulières et on revient.
Mais j'ai pas le temps de raccrocher, que deux furies entre en force en criant énervées et inquiètes.
__ LOU !!
Jenifer et Morane.
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Corriger par Sophie erieau ❤️🔥
Recorriger par Céline allavena
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