Tes mots se posent sur mes lèvres et épousent ma langue. Tu me regardes, tu contemples mon visage de haut en bas, parfois tes yeux sont trop bas pour ne regarder que mon visage. Il me trouble, il m'embarasse ce regard qui m'embrasse, mais j'en suis ravie, j'en suis agitée, que mon petit décolleté décroche l'attention d'un sourire gêné.

Tu continues de me regarder, tu contemples l'étendu des dégâts et des plaisirs que ton corps trace sur le mien ; et puis tu me murmures quelque chose à l'oreille et ta voix me déshabille.