Il était une heure du matin, elle était allonger dans son lit, enfin dans un lit puisqu'elle n'était pas chez elle.
En effet elle était chez sa meilleure amie pour la soutenir car elle venait de perdre son père, d'ailleurs on venait de l'enterrer, la journée avait été longue et épuisante et elle s'était attendue à deux scénarios possibles quant au moment du coucher. 
Sois resté éveiller pour consoler son amie en pleur, sois s'endormir comme une masse.
Mais aucun des deux scénarios n'étaient arriver, elle avait bien réussi à dormir un peu cependant en plein milieu de la nuit elle c'était réveiller, sans doute à cause du vent qui rugissait dehors et depuis un moment. Elle n'aurait su dire si c'était des minutes ou des heure, elle fixait le plafond, les yeux grandsouvert et elle écoutait le vent.
Quelque chose au loin claquait doucement, sûrement une fenêtre que l'on avait oublier de fermer.
Quand tout à coup elle entendit une respiration, elle eu un moment de surprise et de peur quand elle se souvient son amie était entrain de dormir juste à coter d'elle, alors elle décida de fermer les yeux, dormir. C'est ce qu'elle avait envie de faire plonger dans le monde des rêves et ne se réveiller que quand le soleil sera de retour avec le chant des oiseaux.
Mais elle rouvrit les yeux très vite, quand elle se rendu compte que la respiration venait non pas de sa droite où son amie dormait mais de la porte à gauche.
Celle qui donnait sur le couloir et la chambre des parents, un frisson incontrôlable la parcourra. 
Sa première penser fut :

"Un fantôme !"

Et puis elle se ravisa,

"Je suis bête, se doit être le vent, tout le monde sait que les fantômes n'existent pas".

Elle se tourna vers sont amie et ferma les yeux.
Ses peurs enfantine avait tendance à resurgir dans quand la nuit était avancée mais elle n'était plus une enfant et ce depuis un moment, elle savait rationaliser, les monstres n'existent pas.
Pourtant, elle avait maintenant une furieuse envie de regarder vers la porte et elle commençait à avoir des sueurs froide.

"Reste calme, au pire je fonce dans la cuisine, je sais exactement où est le sel, oui le sel est la meilleure arme contre les fantômes ".

Elle ferma de plus en plus fort ses yeux et ce replia sur elle même en ce bouchant les oreilles pour ne plus avoir à entendre cette horrible respiration.
Mais soudain elle eut l'impression qu'une main froide venait lui toucher le dos alors d'un bon elle se leva et ce précipita dans la cuisine.
Elle était là debout dans la cuisine en pyjama, pied nu sur le carrelage avec le sel dans ses mains tendues en avant, elle tremblait, elle entendait encore la respiration.
S'arment alors du peu de courage qu'elle avait elle décida d'aller trouver la source de ces malheurs.
Elle attrapa la poignée de la porte et l'ouvrit d'un coup puis tendis l'oreille. La source du bruit venait de la droite, pas à pas tout doucement et dans les ténèbres les plus totale elle avança jusqu'à s'arrêter à une porte qui donnait sur le salon.
Ici la respiration était encore plus forte, elle entra, le souffle court, elle était dans l'antre de la bête.
Elle avait juste à dépasser le mur sur la gauche pour voir quelle horreur ce tenais là.
Elle avança petit à petit toujours avec son sel dans la main.
Une fois au bout du mur elle tourna doucement la tête à gauche.
C'est là qu'elle le vit, il était plein de long poiles noir avec une langue sortie entre des crocs acéré, elle pendait, on aurait dit qu'elle fessait deux mètres de long et ses yeux brillaient dans cette obscurité.
C'était une vision d'horreur.
C'était si terrible qu'elle faillit pousser un cri d'effroi mais elle s'arrêta.

C'était Toto, le chien de son amie, qui respirait fort car il était malade depuis quelques jours.