Texte 31

A  T R A V E R S       L E S   E T O I L E S

( Deuxième parties )

Quand je me réveille subitement ton visage n'était plus.
Autour de moi la forêt renaît, et l'herbe renaît de terre, et s'affiche plus verdoyante que jamais.
La pluie commence à tomber, et je prend froid sous mon arbre géant.
Et j'attend assise, recroqueviller que la pluie s'arrête.
En regardant au plus haut dans le ciel, un arc-en-ciel se dessine au loin.
De toutes ses couleurs multicolores, je le regarde jusqu'à ce que la pluie cesse.
Et que peu à peu l'arc-en-ciel disparaît.
En laissant le ciel devenir un bleu clair, sans aucun nuage à l'horizon.
J'entend pour la première fois les oiseaux qui chantent, et qui annoncent que la forêt renaît de ses cendres.
La forêt est enfin vivante, après un long sommeil dans l'obscurité la plus profonde.
Les fleurs se mettent à éclore grâce à ce que la pluie a offert et laissé.
Les rivières circulent de nouveau et alimentent les arbres géants. Serait ce un signe de ta part ?. Quand le soleil vient s'inviter à ce merveilleux spectacle, pour venir réchauffer la forêt, et mon corps si froid.
Grâce au soleil, il fait meilleur et le froid n'est plus qu'un mauvais souvenir.
Je reprends des forces, et je me décide à reprendre mon chemin jusqu'à toi.
En marchant, les routes que je mène à présent sont plus agréables.
Sous mes pieds je ne sens plus que l'herbe chatouillée mes pieds nus à la place de la boue.
Des cailloux et des rochers, semer un peu partout dans la forêt.
De nouveau chemin plus dégagé, apparaisse au fur à mesure de mon ascension.
Grâce au soleil, peut-être que les choses seront plus facile à présent.
Dans le chemin de l'amour. 

*"J'ai suivi les étoiles pour te retrouver.
J'ai suivi tes pas pour te chercher. J'ai suivi les battement de ton coeur pour sentir ta présence.
J'ai suivi tes yeux pour t'apercevoir.
J'ai suivi ton ombre pour te poursuivre". 

 Tout le long de ma route, je te l'ai déjà dit, je te retrouverai où que tu sois.

J'escaladerai toutes les plus hautes montages de ce monde.
J'irai marcher dans les endroits les plus froids.
Recouverts d'un blanc immaculé, où à la place de la pluie, tombent des cristaux blancs.
Tout droit descendus du ciel. 
J'irai traverser toutes les plus longues routes.
Et qu'importe comment elles sont.
Même au péril de ma vie, par vent et mer.
Qu'importe le temps que ça prendra, où chaque minute. Chaque heure que je perd,
qu'importe les distances.
Tout ça n'a pas d'importance.   

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