Voyez-vous ce rondouillard mécoptère pas plus gros qu'un mégot nageant dans les rideaux du trottoir ? Il transporte mon ego sur ses ailes noires, et ses globules qui glandouillent ne savent plus rien voir. Les rebonds de son front cherchent à tirer les cachemires empesés de l'empyrée enfumée et l'entreprise douteuse de son emprise racoleuse. Les rébus jonglent avec ce rebus, mais les diptères ont de jolies manières de fouiller les récipients de nos résipiscences. Je voudrais tenir comme lui la bride haute aux brimades de mes recoins, mais mes gènes viciés et mon fond crapahutent à la recherche d'une cahute bonne à revisitée de cryptiques embuscades. Et je me pose un ultimatum, avancé au-devant de l'ultima forsan, forcené malheureux, mouches de repentirs, remplissez-moi à nouveau d'un autre revif que le dégoût. Je ne me sens plus haut que le pandémonium et rempli de bassesse plus profonde que mon dossier tacheté qui m'achètera encore au dernier soupir. Je m'essaye puis je retombe, mes redondes se plombent d'elles-mêmes, et revoir de bels gens-génies dans leur prose me fait mal. J'ai goûté la rose jusqu'à la racine de son mal, j'en ai sucé la tige pour sentir la périlleuse élévation, pour être ensuite pillé sans remords, un biesse bestion au plafond. Pamphlet du pamphile de la pinède se réduit à un schéol soufflé par Eole. Les serres des serfs de l'incertitude m'enserrent de ses turpitudes et insèrent mes viscères dévissées. Mes fantômes, mes rejets ! Laissez-moi trouver le relais pour le prochain replay qui bourdonne et de sa trompe vrombissante m'épargne du pardon. Je ne sais si je me dévalorise ou si je me remise. Aide-moi à revivre encore une mort ! Je suis cette Mouche l'Infâme, mais les pieds qui m'écrasent ne font que de la bouillie de mes ailes irisées, mes Iris rouillent, épargnez-moi encore deux heures, juste un supplice, une lice prolixe à la Putréfiée, la Nyx édifiante ! Défie-moi ! Défie-moi de ne pas tenir encore toute une vie !

Je m'aurai à l'usure, comme une drosophile sous ta chaussure.