On est en voiture. Le chemin à la maison est encore lointain. Ma mère est entrain de me raconter la visite de son PDG à son bureau, pendant que je regarde les immeubles rapidement filer à travers la fenêtre. Je ne sais vraiment pas quoi faire ces vacances. J'espère que Deku m'écrira ou quelque chose. Maintenant qu'il est parti, je me rapelle de toutes ces fois où on a commencé quelque chose de nouveaux moi et lui. ON est repartis sur des nouvelles base. Je pense que cet un autre effet du One for All: unir, que se soit l'union entre deux personne (dans ce cas moi et Deku), ou même l'union d'un peuple et son sauveur ( dans le cas de All Might, avant).
En ces trois dernières année, j'ai resenti plein de chose, comme de l'amour, de l'empatie, de la jalousie ou du courage. L'amour envers mes meilleurs amis et Deku, l'empatie avec toutes les filles du campus pendant leurs règles (oui, j'y vais molo dans les entrainements), de la jalousie quand Midoriya se rapproche trop de double-face, et du courage, que je n'avais pas pour admettre la force de Deku comparé à moi. Au fond, j'ai raison, il a besoin de moi. Mais moi, j'ai aussi besoin de lui. Son admiration pour moi est inhumaine. Ca me faisait flipper au debut. Là, je redoute toujours la présence de cette admiration, la flamme qui me fait bruler et qui me donne espoir en cette relation. J'ai constament peur qu'elle se consomme, qu'elle s'eteigne, que sa lueur me quitte. Cet ironique, puisque mon alter est l'explosion. Pourtant, si cette relation venait à se finir, je ne pense pas que je brillerai de la même façon. Et j'ai peur parce que je suis fautif. J'ai causé du tord à un si bel homme. J'ai presque ruiné sa vie. Je lui ai enlevé presque tout espoir. Maintenant, j'ai besoin de son espoir pour garder le mien. Moi et lui, nous vivons dans une certaine symbiose, un équilibre. Il faut une quantité précise pour faire réagir le mélange, en chimie. Enfin, vous voyez la métaphore. C'est compliqué. Je devrais être content pour lui, je le suis, par contre je suis aussi énervé.
Il m'a laissé tomber?
Peut être...
Non.
Je me fais des idées....
Ou bien il m'a quitté pour de bon.
A quoi bon, je suis le pire...
Mais, si il reviens, ça serait pour moi, non?
C'est pas sa responsabilté de s'occuper d'un ado de 18 ans, si?
"AAAAAGH" J'exclame. L'agonie prend le dessus.
"Mon chéri, tu vas bien?" Ma mère arrête la voiture et me regarde avec tendresse.
Un silence s'établi. Je ne peux rien lui dire. Elle ne sait même pas que je suis en couple. Je dois garder le calme. Maman ne doit pas s'inquieter pour moi. Je suis majeur maintenant.Maintenant que j'y pense, je devrais p'têtre prendre une voiture, qui sait? Euh, je devrait plutôt penser quoi lui dire...
"Bakugo Katsuki, tu vas m'expliquer se qui se passe. Tu me caches quelque chose." Elle dit d'un ton sérieux. Oups, j'ai plus de marche arrière. Une goute de sueur glisse sur mon visage. Je la regarde toujours dans les yeux, d'un air perplexe. J'hésite entre lui dire la vérité ou esquiver.
"Bordel, on bloque la route, avance et je te ranconterai a la maison". J'esquive. La goutte de sueur contiune a glisser, lentement. J'avale ma salive. Pourvu qu'elle laisse tomber.
"C'est sérieux alors. Bon fais ce que tu veux, mais t'as interet à trouver une bonne excuse pour que je laisse tomber l'affaire."
Et comme ca elle avait lu dans mon jeu. Elle se retourne et continue à rouler. Je ne la comprends pas. Elle fait semblant de ne rien savoir, et au moment de tension elle poignarde. Deku et différent. Si il sait quelque chose, il ne te trahira jamais. Il le dit en te faisant bien la morale, mais instantanément, en ajoutant son point de vue. C'est si adorable. Deku est une personne géniale. Deku je t'aime. Deku viens dans mes bras comme on le faisait avant. Quand tu me déposais une doux bisou sur ma lèvre inférieur, et que je correspondais sauvagement. Ton arôme à la menthe restera à jamais dans ma bouche, jusqu'au jour où tu reviendras. Tu aimais ça, je crois. Quand je te serrais fort dans mes bras, et que je te caressais, lentement, le dos, en te lachant des petites explosions qui te chatouilleaint, hein? Tu aimais ça, je pense. Tu m'aimais, je suppose.
J'ai mal. J'ai mal au niveau de la poitrine. J'ai mal à la tête aussi. Les yeux me piquent. La goutte de sueur fusionne maintenant avec une larme, qui déscent tout au long de mon coup à grande vitesse. Mais qu'est-ce qui ne va pas chez moi? Bien sur qu'il m'a quitté! Je ne suis qu'un vaut rien. Je pue, je sens la merde de tout les coins. Franchement. Qui voudrait sortir avec l'humain qui l'a presque tué d'angoisse, de peur, d'insécurité. Je ne pourrais jamais lui rendre tout ce que je lui es pris. Je suis le pire, JE SUIS LE PIRE!
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top