Ne crois tu pas
Que tu as suffisamment hanté mes pensées
Le vent n'a cessé de tourné mais ne t'a jamais ramené vers moi
J'ai le cœur qui saigne mais il est vide de haine

Je vis des songes et je respire de l'ombre
C'est dur à dire mais c'est mal écrit
Je me bats contre l'indifférence enchaînée par le souvenir d'une présence

Il faut du temps mais rien ne t'effaces
Je vieillis mais je n'oublie pas, je pense à toi
Tout est gravé noir sur blanc dans l'écorce
Ma chance et ma raison envolée, il ne reste que l'absence