«Je me soucie bien peu de l'accord des dieux, je ne suis que mon cœur qui brûle dans les feux ardents de ma passion
Il palpite, il jubile et rugit de frustration d'un amour imparfait pour les cieux. Mais qu'importe, au diable les interdits, je le désir, je veux le chérir, lui offrir mes plus belles attentions."
"Ma douce, laissez vous submergée par vos enivrantes pulsions et prouvons notre amour sous les cerisiers de printemps.
De la nuit tombée à l'heure dorée, du zénith de midi au couvre feu journalier
Je vous en prie, laissez-moi vous aimer»

Éteignez l'incendie qui vous consume et calmer vos agitations
Votre cœur brûle, le mien est gorgé d'une eau rappelant la gravité de tels violations
Mes sentiments doivent se terrer à jamais dans le printemps, le souvenir nocturne des cerisiers dansant au rythme de mes chants.
Faites vous violence pour oublier, je ne veux pas vous maudire si vous veniez à me faire perdre pied,
Si vous m'aimez autant que je puisse donner, préserver nos cœurs du châtiment céleste
Et fermons nos cœurs jusqu'au prochain printemps»

Le mal a fait son œuvre et pris sa place de trouble fêteur. Cet amour sacrilège, les aura condamné à erré seul après la mort sans jamais s'être retrouvé.