Il se trouve que cette nuit (2-3 août), j'ai fait un rêve.

- Bah oui, comme tout le monde, on s'en fout un peu.

Oui, mais ce rêve, il était GRAVE LONG PU**** !! Et en plus je me souviens de pleins de détails !

- Ok, mais on s'en fout toujours...

Et bah j'en ai rien à foutre ! C'est un recueil de bordel, je mets ce que veux dedans !

Je vais donc vous le raconter, sous forme d'histoire. Tout le monde sait que transformer une image en texte n'est pas facile, je vais faire de mon mieux. Ce sera difficile à croire, mais si, je me souviens vraiment de autant de détails, c'est pour ça que ce rêve est collector !

  J'étais dans un complexe militaire, futuriste, assurément, car le portail était hyper bizarre. Je venais ici pour un entraînement au sniper. Me demandez pas pourquoi, un souvenir d'Assassination Classroom, j'imagine... J'ai donc effectué cet entraînement en extérieur, à un endroit avec des arbres je crois. À la fin, je suis monté à la cour principale par un petit escalier en demi-cercle. À l'autre bout de la cour se trouvait un énorme bâtiment, celui de la  remise des prix. Arrivé là-bas, je me trouvais dans une salle blanche avec un couloir en face. Tous les autres élèves attendait ici. Je regardais le tableau des scores. Mon nom y figurait, mais sans score. Je demandai à une animatrice pourquoi. Elle me répondit que la personne avec qui nous avions effectué l'entraînement nous avait donné notre score et qu'il fallait l'écrire ici. J'avais dû être dans la Lune, encore. Une jeune fille s'avança vers moi. Je ne me souviens pas de son visage mais je sais que c'était Émilie, instinctivement. Elle me dit que j'étais à quelques points de figurer sur le premier classement. Je n'étais donc même pas dessus ! J'étais nul, même en quelque chose que j'aime bien. Je repartis en pleurant avec le reste de la classe.

* * *

Nous passâmes par le portail. C'était un grand mur en forme de godet, qui s'ouvrait en se soulevant et en pivotant. Je passais le portail quand j'aperçus Guillaume, au loin. Quand il arriva à ma hauteur, il m'expliqua qu'il avait réussi à sécher l'entraînement mais qu'il s'était fait prendre. D'où le garde qui le tirait par le bras. Lorsque l'adulte passa le portail, Guillaume se détacha de son emprise et couru dans l'autre sens en rigolant. Le portail de referma et le garde fut coincé de l'autre côté.

* Téléportation *

Je me retrouvai sur le toit d'un immeuble, ou plutôt sur le haut d'un immeuble à moitié cassé, des bouts de fenêtres était encore debouts. J'étais accompagné de ma mère et de mon frère. Un frelon vint se poser sur mon épaule. J'étais paralysé. Le frelon s'envola et commença à s'approcher de ma tête. Je ne pouvais pas supporter. Je me mit à donner des coups dans tous les sens en criant. Le frelon bourdonait encore, de plus en plus fort, en faisant de cercles et des approches. Je réussis à le toucher une première fois. J'appelais à l'aide, mais ma mère était désemparée. Mon frère n'était même plus là. Je réussis à asséner un deuxième coup au frelon. Il se prit le mur, ce qui le sonna assez pour que je l'écrase avec mon pied.

* * *

Juste après m'être remis de cette bataille. Je remarquai que ma mère avait disparut. J'étais toujours au même endroit, mais le ciel était gris. Des plantes grimpantes étaient apparues sur les murs qui n'était pas encore en ruines. Un souvenir de Stranger Things, cette fois. Une voix off commença à parler. Je ne raconterai pas les véritables paroles, seulement ce que j'en ai retenues.

- D'un coup le garçon vit un monstre qui le poursuivait. dit la voix off.

Je me retournai et effectivement un monstre sortit du sol comme un fantôme.
Il ressemblait à un poulpe avec la tête aplatie, peut-être ? Sa peau noire et marron foncé gonflait puis se dégonflait. Ses tentacules s'agitaient dans tous les sens, glissant sur le sol. Il n'avait pas de bouche, la peau de son visage se déchirait pour laisser entendre ses cris horrifiant. Je courus, aussi vite que je pouvais. Je pris un chemin sur le côté, c'était un cul-de-sac. Le monstre manqua de me toucher quand je revins en arrière pour prendre l'autre chemin. Je courais maintenant dans des galeries souterraines. La voix continuait de me stresser en disant des phrases du genre :

- Le garçon continuait de courir, mais les cris se rapprochaient.

Maintenant que j'y pense, c'est peut-être un souvenir de Stanley Parable. Je traversai une double porte. J'ouvris une des deux et donnai un coup dedans pour la refermer. Mais la porte resta entre-ouverte. Je m'attendais à ce que le monstre l'ouvre en donnant un grand coup dedans. À la place, il passa simplement à travers les deux portes, sans aucun respect. J'arrivai dans une salle. Deux escaliers descendait doucement vers une porte, en contournant un autel.

- Le garçon atterri dans une salle, dit la voix off, il devait activer le processus qui ouvre la porte. Heureusement, il avait un ami.

Un homme en armure à la Halo sortit de nulle part et activa le processus. Un chargement apparût.

- Soudain, ajouta la voix off, un gardien apparut.

Un petit gardien (comme dans Breath of the Wild) sortit du mur de la salle et se jeta sur l'homme en armure. Les deux se livrèrent une bataille pendant que je tournais avec le monstre autour de l'autel. La porte s'ouvrit enfin. L'homme partit en courant, je le suivi. Deux chemin s'ouvrait à nous, devant. L'homme pris celui de gauche, je pris celui de droite. J'arrivai devant une énorme porte de métal. L'homme en armure avait pris le mauvais chemin, c'était ici : la " Zone Sûre ". Je m'approchai du panneau de contrôle toujours en courant. J'entendis un immense cris venant de derrière moi. Je me retournai. Je n'eû que le temps de voir le visage du monstre, à quelques centimètres du mien. Mais il ne me tua pas. À la place, mon corps fût recouvert par une matière noire. Je n'avais plus le contrôle de mon corps. Le monstre appuya sur le panneau de contrôle pour ouvrir la porte. Mon cerveau se réveilla.

- Attends, dis-je au monstre, c'est pas logique ! Tu traverses les murs, t'es pas censé pouvoir appuyer sur le bouton. Tu devrais passer à travers !

Le monstre me répondit qu'il avait pris contrôle de mon corps et que, par conséquent, il pouvait appuyer sur le bouton. La porte s'ouvrit. Derrière elle se trouvait une immense cafétéria comme on en voit dans les prisons. Sauf que c'était un bunker. Je n'ai pas compté, mais il y avait beaucoup de personnes. Mon rêve s'arrête après. Je me suis réveillé parce que c'était le matin. Trop de suspens ! Mais je vais pas vous mentir, j'attends pas vraiment de suite à ce rêve. Il est déjà assez long ... et puis ... merci le stress mais non merci !

C'était un plaisir de partager ce rêve avec vous.
Au revoir !

PS : pour ceux qui se pose des questions, ne cherchez pas : la logique est enterrée dans la cour de mon collège.