~ Chapitre 1 - Part.2 ~
C'était par une simple nuit hivernale, sans aucune étoile qui ne brillait dans le ciel, caché par de gros nuages, ne laissant que les ténèbres nocturnes engloutir le monde. Notre même humaine faisait, comme chaque soir, un tour de son potager pour s'assurer qu'aucune plante n'était mourante. Cette nuit, elle n'était pas seule dehors, quelques autres passants passaient devant son chez elle, habillée de gros manteau à fourrure pour se tenir chaud.
Le vent soufflait froidement, surtout la nuit. Même les gros manteau à fourrure ne les protègerai pas très bien du froid intense de cet soirée.
La jeune femme, dans son potager, était, elle, couverte d'un long et grand manteau, presque trop grand pour elle. Elle avait une écharpe autour du coup, des gants au mains, un bonnet pour cacher les oreilles, et de grosses bottines qui n'était pas tres util pour empêcher le vent glacer de gelé les pieds, mais très pratique pour empêcher de glisser sur le verglas.
Pointant du doigts chaque plantes, elle comptait dans sa tête. Tout semblait être en ordre, mais il vaut toujours mieux faire plusieurs tous pour s'assurer que l'on ne n'en oubli pas.
Alors qu'elle finissait de compter le nombre tomate qui poussait pour la 4ème fois, un cri glaçant résonna dans ce petit village de campagne, ainsi qu'une voix pour ma foi bien monstrueuse retenti:
- Sous ordres du Roi, nous devons raser ce village. Pour ce qui s'agit des habitants, fuyez tant qu'il est encore tant ! Nous ne vous laissons que quelques minutes !
Apeurée, beaucoup de personnes qui avaient entendu cette voix menaçante sortaient de chez eux en courant, ne prenant même pas la peine d'emballer quelques affaires utiles, par peur de ne pas avoir le temps.
La jeune femme rentra immédiatement chez elle, ouvrant juste une toute petite fenêtre pour entendre d'autres voix quelconques. Mais tout ce qu'elle entendit... ce fut des cris d'agonie de gens qui n'étaient pas sortis à temps, ou qui, tout simplement, ne voulaient pas quitter leur village natal. « Nous sommes nés ici, c'est ici qu'on sera éliminé. » Qu'ils disaient.
Comprenant qu'elle n'aura jamais le temps de fuir, et que si elle sortait, elle finirait par se faire assassiner, elle préféra aller se cacher.
Mauvaise idée, bien entendu, bientôt, une odeur de brûlé se fit sentir, et cela ne provenait pas de la maison voisine; ça provenait du toit !
En vitesse, l'humaine sortit de sous le lit, terrifiée par l'idée de mourir brûler. Elle courra jusqu'à la porte de la cuisine, opposée à celle de l'entrée principale qui, elle, était bloquée.
Une fois dehors, sa première vision fut celle de corps inanimés, de maison enflammer, de la cendre ainsi que de la fumée qui se formait dans l'air et sur le sol, et par dessus tout, une odeur nauséabonde de pourriture, pire que l'odeur du poisson pourri.
Mais ce n'était pas le moment de vomir, et encore moins de s'arrêter sur ces détails, le plus important en ce moment, c'était de sortir de cette terreur, et en VIE.
Elle se boucha le nez pour masquer un minimum l'odeur de pourriture qui héritait ses narines et se mis à courir à travers poussière et fumée à toute vitesse, sa vie en dépendait.
Bien évidemment, la jeune fille prenait soin de ne pas se faire repérer par les étranges formes noires qui semblaient être la cause de ce massacre.
En parlant de ses formes, voici leur description, elles étaient assez grandes, avec un corps mince mais plutôt large au niveau de la poitrine, et à travers la fumée, elles étaitent comme des ombres qui se fondait dans le noir de la nuit.
Armée de ce qui semblait être des lances ou des épées, elles attaquaient à tout va, ne laissant presque aucun survivant.
Ces formes noires, elles étaient très bien connues... C'était les soldats du maître de ce monde !
Heureusement, pour notre humain, la chance lui avait souri, elle avait réussi à leur échapper, n'étant désormais plus très loin de ce qui semblait être une sombre forêt peu accueillante. Mais c'était son seul échappatoire.
Entre une forêt sombre et un village en massacre, le choix est parfois vite fait.
Après quelques pas rapides supplémentaires, elle n'était plus qu'à quelque mettre de l'atteindre.
L'humaine posa un premier pied en avant, mais pile, pile à ce moment-là, elle fut repoussée vers l'avant à cause d'un coup qui fut donné à quelques centimètres de son corps.
Elle fut projetée un peu loin, atterrissant dans l'herbe foncée et peu douce de la forêt, le corps ayant subi quelques égratignures et sa vision se faisant floue.
Au loin, la jeune fille semblait apercevoir une forme qui ressemblait aux autres d'avant, mais plus petite. Pour avoir une meilleure vue, elle plissa les yeux pour mieux la discerner.
Tout ce qu'elle réussit à voir, ce fut un personnage à l'allure squelettique et semblant enduit d'un liquide noirâtre.
La peur l'a pris soudainement, la peur que cet forme n'en finisse avec elle.
Mais ce que cette dernière disa, la surpris plus que tout:
- Tient donc, une petite survivante... Mais quel chance as-tu de t'en être sorti jusqu'ici, petite. Je te dois des félicitations, ce n'est pas toujours simple d'échapper à mes soldats. *marmonne la dernière phrase* malgré leur stupidité...
L'inconnu, que l'on devine être responsable de cet attaque et le chef des soldats, s'approcha doucement de la petite humaine, mettant un genoux à terre pour être à sa hauteur, mais toujours en ayant une pointe de plus de hauteur.
- Quel pauvre enfant, fais-tu. Seul et perdu... Juste par simple curiosité de l'avenir, je vais te laisser la vie sauve.
L'être regarda l'humaine se relever, se levant à son tour en la regardant de haut, une pupille bleu glacé brillant dans son corps noir.
Ce que la jeune fille avait devant-elle l'effrayait, malgré sa forme inconnue, et peu rassurante, une sorte d'aura démoniaque tournait autour de lui, comme si c'était un avertissement de sa personne.
La phrase qui fut ensuite dite la figea, reculant en arrière comme pour se préparer à fuir.
- Ne prends pas ton mal en patience. Je te laisse la vie sauve, certes, mais ce n'est pas pour cela que tu dois rester à me fixer. Alors va, fuit loin...
Ces phrases sonnent comme un déclic, faisant réagir le corps de l'humaine qui se mit à courir dans la forêt, bien loin de cette forme qui la laissait trembler sur place.
Avant de complètement disparaître de sa vue, les derniers mots qu'elle l'entendît gelèrent son âme de mal-être.
- Il y a des chances pour que nos chemins se croisent à nouveau... Ce n'est sans doute qu'un au revoir.
Un rire sinistre retentit à travers les bois, son âme gelée de frayeur se serrant dans sa poitrine tout comme son corps. Oh combien, à cet instant, TOUT allait changer à jamais...
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3eme jour, 3eme chap !
Ouais, je vais presque toujours ecrire a la fin des chaps, vous allez faire quoi ùnù ?!
Blep!Shatty; Te sucer =) !
0-0 ? Blep ????
Blep!Shatty; *suce une sucette* Ouiiii :0 ?
0-0 .... *soupire de soulagement*
Blep!Shatty; ;v; ?
Bobye ;v;
(PS; Vous trouvez que ce chap est bien en lien avec celui d'avant ;v; ?)
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