Undertale
Game: Undertale
Titre: The Wrong Way?
Auteur: Lily Sawaka
Date: 03/09/2016
Note de l'auteur: The explication! J'ai écris avec "Tu" pour qu'on soit incarné dans le personnage de Frisk. (il y a un mélange de T/P et "tu"). MOUAIS, CE O.S EST VRAIMENT BIZARRE, JE SAIS. J'ASSUME OK!
J'ai modifié beaucoup de chose, bien évidemment, la fin et la BAD ending du début. C'est sous le thème de l'amitié. Enjoy!
Sujets traitant à avertir aux lecteurs: Amitié
ooooOOOOOOOoooooooOOOO
Tu étais tombé, dans un autre monde. Entre la guerre contre les humains et les monstres, cela avait fait rage il y a des années de cela, chacun furent séparés: les humains possédèrent la Terre tandis que les monstres vivaient enfermés sous-terre. Hélas, tu n'étais qu'un simple enfant qui s'amusait à courir dans le territoire interdit. Tu es tombé, tu as atterris dans la zone des monstres.
Les fleurs jaunes avaient amortis ta chute, tu étais encore conscient, sauvé de la mort certaine. Tu scrutais les alentours, quelque peu frustré, où étais-tu? Aussi bien que des questions frappaient ton esprit, l'angoisse te rongeait, comment allais-tu remonter à la surface, où tes semblables vivaient dans la paix et l'harmonie? Tu avais peur, ton corps tremblait par la fraîcheur soudaine. Tout était si sombre, les parois montaient jusqu'en haut, sinon le reste était vide. Cependant, tu étais un enfant déterminé, tu étais décidé de rentrer chez toi. Tu te levais, malgré que tes jambes étaient alourdis. Tu avançais... avançais dans les ténèbres qui étaient en face de toi, le coeur battant à la chamade. Qu'allait-il t'arriver maintenant?
Un monstre se trouvait derrière une porte. Une fleur jaune, étrangement effrayante. Son nom était Flowey, il voulut te manipuler pour te tuer. Or, tu étais un enfant innocent, tu ne pouvais comprendre ce qu'il allait t'arriver... "C'est tuer ou être tué" t'a-t-il dit avec une certaine ironie. Tu l'ignorais, en marchant vers la prochaine sortie. Arrivé dans des ruines, quelqu'un t'accueillis chaleureusement. Une chèvre... Vêtue d'une robe bleu foncé, ses oreilles blanches pendaient vers le bas et ses yeux étaient noirs. Appelée Toriel. Si on peut utiliser le terme "femme" ou "maman", tu le ferais. N'est-ce pas T/P? Oui, c'était ton nom.
Elle t'interdisait de sortir de sa maison, par peur que d'autres monstres ne t'attaquent ou te blesse. Une charmante personne n'est-ce pas? Tu l'adorais, sa gentillesse était sans défaut. Toutefois, sa gourmandise pour des tartes aux escargots... Toriel en raffolait. Bien sûr, tu lui répondit timidement que tu n'aimais pas manger des escargots. C'était bizarre, ce monstre était calme, tu voulais presque qu'elle devienne ta mère... - Car en effet, ta mère, sur terre, état d'une sévérité sans nom et ton père braillait toujours. C'était insoutenable chez toi. Quand tu avais décidé de jouer dehors, te voilà arrivé ici - . La mother goat préparait des tartes pour toi quand tu dormais, elle te lisait des contes, te racontait l'histoire sur les monstres qui vivaient sous-terre... Mais tu devais rentrer chez toi. Car en effet, ce n'était pas ta vraie maison. Et puis, vivre enfermé ici pendant des jours, ce n'était pas ce que tu désirais. Même si Toriel ne voulait que ta protection. Son inquiétude la rongeait plus qu'autre chose, c'était une personne fiable et adorable. Cependant, tu étais déterminé à partir, tu étais prêt à affronter les dangers. T/P regardait les flammes rougeoyantes brûler le bois dans la cheminée. Tu étais assis sur le tapis, songeur tandis que Toriel bouquinait un roman assise sur un fauteuil vert, les lunettes sur ses yeux.
Au milieu de la nuit, tu te réveillais, allongée sur un lit, dans une chambre en bleue. Quand tu te redressais, en posant tes pieds sur le sol froid, tu remarquais une tarte posée juste à coté de toi. Ton coeur se réchauffait, à cette tendresse que Toriel qu'offrait. Mais il était grand temps de partir. T/P prit ses chaussettes blanches et remit ses baskets. Tu ne portais qu'un short noir avec un pull à rayure bleue et violette. Tes cheveux étaient de couleur marron carrés, lisses et tes yeux étaient de couleurs châtain. Tu avançais prudemment jusqu'à la sortie, en évitant de la réveiller. Cependant Toriel était sur ton chemin, débout devant la sortie. Elle barrait ta route, en répétant d'aller dans ta chambre, si tu insistais... tu devrais la battre. Avant sa rencontre avec elle, T/P avait trouvé un couteau argenté dans les ruines. Tu l'avais prit. Au cas où. Et on t'empêchait de rentrer chez toi...
Elle te gêne, tue-la. Elle veut pas que tu rentres chez toi. C'est une manipulatrice... C'est un monstre n'est-ce pas? Quel est ton choix? Tu restes sagement ici, à être enfermé jusqu'à l'éternité? Ou tu veux rentrer chez toi?
Cette étrange voix avait réussi à faire parcourir ton corps de frisson. Quelqu'un te parlait? Qui? Tu te retournais, une sueur coulant sur ta joue. La mother goat restait impassible, toujours en restant devant la sortie. T/P se sentait mal à l'aise. Mais tu ne veux blesser personne...N'est-ce pas? Tu veux ne faire de mal à personne.
Toriel t'affrontais avec son pouvoir. Tu esquivais, en essayant de la raisonner, tu ne veux blesser personne. Sinon tu le regretteras. Tu n'es qu'un enfant après tout. Une attaque par derrière t'acheva, ta vision devint floue, tu t'évanouis, en perdant conscience. La monstre lâcha un soupir, un peu attristée.
" Je ne voulais pas te faire du mal Frisk... C'est trop dangereux dehors, je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Les monstres détestent les humains, mais ce n'est pas mon cas. "
Alors que Toriel s'apprêtait à porter T/P, l'enfant se réveilla et des yeux rouges avaient apparut. Il leva son couteau qu'il avait caché dans son short et la trancha...
Tu te réveillais en dehors des ruines. Tu avais froid, tu étais allongé sur la neige. T/P frotta ses yeux, encore un peu assommé puis se releva. Tu regardais les alentours, le paysage remplis de blanc par la neige, des sapins étaient en files... Tes pas restaient derrière toi quand tu t'enfonçais dans le froid. Un léger vent soufflait, faisant bourdonner tes oreilles. Tu croisais tes bras et tu te frottais pour essayer de te réchauffer. A chaque fois que tu soufflais, tu échappais de la vapeur. Tes cheveux flottaient derrière toi. Ce lourd silence te pesais, tu commençais à avoir peur. D'ailleurs, pourquoi T/P s'était retrouvé à l'extérieur? Qu'est-il advenu de Toriel? T/P ne savait pas. Peut-être elle t'avait mit dehors pendant que tu étais inconscient...
Elle te retenait entre ses griffes. Remercie-moi T/P, te voilà à nouveau libre.
Encore cette voix! On te suivait? Tu te retournais, en scrutant les alentours, en haletant. Un bruit de pas s'avançais vers toi, tu sentais des frissons parcourir ton corps refroidit.
" On se sert la main? "
T/P se retourna à nouveau. Un squelette devant toi? Il était vêtu d'un short noir, d'un tee-shirt blanc avec un gilet bleu avec de la fourrure blanche dessus. A ses pieds, des baskets. Bien sûr, tu avais accepté. Un bruit de coussin péteur résonna lors du contact dans sa main squelettique. Il releva sa tête et se moqua de toi, il était du genre blagueur, son nom était Sans. Amicale, feignant et cool. Son job était de vendre un peu partout... Ici, il devait empêcher les humains pénétrer dans le royaume des monstres, au niveau du pont suspendu, derrière lui. Cependant, Sans était tellement crédule qu'il te laissa passer, tu marchais à ses cotés en faisant connaissance avec lui. Il était si ... sympathique. Ses blagues pourris te faisaient rire bêtement, tu te sentais à l'aise, en sécurité à ses cotés, bien qu'il ne faisait qu'environ cinq centimètres de plus que toi, et il était un peu enrobé.
Après avoir passé le pont, il t'ordonna de te cacher derrière une lampe un peu déformé. Un autre squelette plus grand et maigrichon apparut, avec des bottes rouges, un sorte de costume... bleue, jaune et blanc. Il avait une écharpe rouge autour de sa clavicule puis il avait des gants rouges. En effet, c'était le frère de Sans. Lui, c'était Papyrus. Il lui réprima de bien faire son boulot, de surveiller s'il y avait un humain, car Papyrus devra le capturer pour obtenir le poste du meilleur soldat de la garde royale - en rajoutant qu'il deviendrait populaire -. Plus tard, T/P et lui se rencontrèrent en face avec Sans à ses cotés. Papyrus n'en croyait pas ses yeux, il était fou de joie, tellement qu'il avait du mal à tenir en place. Il te fit faire d'innombrables puzzles, vous êtes même battus gentiment jusqu'à devenir amis. Ces deux squelettes étaient tes meilleurs amis, complètement cinglés mais adorables et fiables. Papyrus était un fou de spaghettis, Sans de ketchup. De plus, tu avais même fait un rendez-vous avec Papyrus chez eux, la ville où ils habitaient était charmante, sympathique et tous les monstres l'étaient aussi. Tu n'avais aucun problème. Pourquoi les humains et les monstres étaient séparés alors qu'ils ne sont pas du tout violents?
Cependant, tu ne savais pas qu'on voulait te tuer. L'un des tueurs te poursuivait, c'était Undyne. Bien que ton ami Papyrus essayait de la convaincre pour lui affirmer que tu étais quelqu'un de bien, Undyne voulait ta peau. Tu avais exploré différents lieux, tu avais même appris au sujet de la guerre entre les humains et les monstres, ce qu'ils avaient fait après, leurs souffrances... T/P avait pitié d'eux, comme tu le sentais. Tu voulais les aider, en plus que tu rentres chez toi. En outre, tu souhaitais secourir les autres en priorité. Tu étais remplis de détermination.
Tu étais maintenant arrivé devant une grotte, en haut, Undyne. Elle te défia, tu refusais de te battre avec elle, à chaque fois qu'elle te retenait, tu esquivais et tu t'enfuyais. Le paysage se défilait quand T/P courait, les parois étaient énormes, les rochers étaient brûlants. En effet, il faisait une chaleur pas possible ici, on était près d'une zone volcanique? Undyne s'évanouie au bout du pont suspendu. Après tout, c'est un poisson... Tu ne pouvais pas la laisser mourir ici, c'est qu'elle était armée d'une armure, pas étonnant qu'elle crève de chaud dedans!
Elle est inutile. Laisse-la.
T/P ne prêtait aucune attention envers cette voix étrange. Tu courais à la recherche d'une source d'eau. Par pure chance, tu avais trouvé un verre puis un réservoir d'eau. Pourrait-on se demander ce que ça fichait ici? Qu'importe, tu pris rapidement de l'eau et tu le jetais sur Undyne qui se leva aussitôt, rafraîchit. Tu étais quelqu'un de timide, peu bavard. T/P entre-ouvrit ses yeux châtains vers le monstre qui partit sans rien dire dans la direction opposée où tu allais dès le départ. Ravi d'avoir pu l'aider, tu souris et tu repris ton chemin. Papyrus était devant toi, ses mains squelettiques sur ses hanches. Il lui demandait de lui suivre jusqu'au laboratoire d'Alphys qui pourrait t'aider à rentrer chez toi.
Un mal de tête t'empêchait de hocher de la tête. Tu passais péniblement ta main droite sur tes cheveux en grimaçant. Au départ Papyrus croyait que tu t'amusais à le faire rire, mais ce n'était pas le cas. Tes jambes devenaient lourds, ta vue brouillait et tes oreilles bourdonnaient. Tu tombas sur le sol.
Papyrus, complètement paniqué se pencha vers toi, en essayant d'appeler son frère Sans pour qu'il t'aide. Cependant il relâcha son téléphone dès qu'il vit que T/P se redresser.
" Ah tu vas bien humain! Tu m'as fait peur--"
Tes yeux étaient d'un rouge sang, une nouvelle fois et un sourire psychopathe s'afficha sur tes lèvres.
" Oh oui je vais bien. Tu me bloque le passage. Lui répondit Chara, cette voix qui te possédais, sur un ton froid.
- Hein? Mais de quoi ...
- Assez, tu es un idiot naïf. Trancha t-il. "
Chara sortit son couteau déjà ensanglanté. Papyrus se releva en reculant, il ne savait pas ce que tu faisais à ce moment. Il voulut te raisonner mais ce fut trop tard. Il lui trancha sa tête. Sans était derrière un mur, en regardant la scène complètement choqué. Papyrus murmura:
" C-Ce n'est pas ce que j'avais prévu... M-Mais! Je te crois encore! Tu peux mieux faire, mieux agir devant les autres..! Même si tu ne le pense pas... Je te le promet! "
Il disparut sous les yeux de son frère qui avait tout vu. Sans resta sans voix et Chara avança jusqu'au laboratoire, où tu repris conscience.
Tiens? Où était ton ami Papyrus? Un peu triste, tu regardais les alentours puis tu repris ton chemin. Après tout, un ami t'abandonnera jamais.
Et si tu me donnais ton âme? Hein dit?
Tu t'arrêtais, en ouvrant entièrement tes yeux châtains, arrondis. Pourquoi ton corps tremblait? Tu ne savais pas, à force d'entendre, d'écouter cette voix... Tu avais peur, mais avec ta gorge asséchée, tu lui demandais qu'il y était. Chara? C'était son nom, il lui disait qu'il était toi, en quelque sorte. Non! Un assassin! T/P aperçut dans sa main un couteau ensanglanté. Il la lâcha par terre, ses yeux brillaient. Enfin, tu comprenais ce qu'il t'arrivait... Quand Flowey te disait dès le début que c'était "tuer ou être tué..." On te possédait. Et on te contrôlait.
De tes propres mains, tu avais tué. Tué ceux que t'aimais, sans que tu ne puisse t'en apercevoir. Pourquoi ce malheur t'abattais? T/P pleura en tombant sur ses genoux. Ta détermination était fracturé, dans ton coeur.
Tu étais maintenant qu'une poupée de Chara, qui s'amusait à utiliser ton corps pour tuer les monstres, pour son propre désir et idéologie. T/P pleurait, l'autre tuait... Undyne n'était plus qu'un lointain souvenir dorénavant. Mettaton? Ce robot célèbre? Mort. Alphys était celle qui l'avait crée, elle aimait énormément Undyne. Complètement emportée dans sa dépression, elle se suicida peu après. Chara riait du malheur et de la souffrance que tu éprouvais envers les autres monstres. Cependant, à la fin... Il restait deux obstacles: Sans et Asgore, le Roi.
Chara s'arrêta au milieu de la salle lumineuse, vide, les piliers dorés maintenaient le plafond du château d'Asgore. Sans était devant toi, un vent froid passait. Il avait mit sa capuche bleue sur son crâne et avait autour de son cou l'écharpe rouge de son frère assassiné. Le squelette enleva sa capuche puis dit qu'il faisait beau, les oiseaux chantaient... Non, l'atmosphère était très pesante. Sans t'en voulait à mort pour avoir tué Papyrus et Undyne. Aussi bien que Chara avait assassiné Toriel. L'enfant sourit, ses yeux rouges sangs étaient bien visible.
" Tu vas passer un mauvais moment. " Te déclara Sans sur un ton menaçant.
Vous vous êtes battus, sans même épargner l'autre. T/P pleurait, Chara riait. Sans était ton meilleur ami. Il était... L'affreux monstre qui te possédait donna un coup fatal, tuant Sans. Le garçon haleta en riant à chaque minute pour reprendre son souffle. Chara prit le gilet du squelette et le mit sur lui, en souriant. Ca l'amusait tellement de faire ça, de tuer! Cependant, Chara se sentait étrangement euphorique à ce moment... Tu entrais dans la salle où Asgore t'attendait, son expression sur le visage était mélangé par la colère et la tristesse. Chara le tua.
Maintenant, tu as tué tout le monde. Il n'y avait plus aucun plaisir. Le monde des monstres étaient complètement détruit, les survivants avaient perdus espoir. Chara avait tout gagné, il avait même tué Flowey dès le début...
La route Génocide était la plus amusante qu'il soit. Tuer, tuer, tuer et encore tuer....!
Tu te réveillais, un peu abasourdi. De nouveaux sur des fleurs jaunes? Tu te redressais, avec un mal de tête. T'aperçu Toriel venir un peu inquiète.
" T/P! Je me faisais un sang d'ancre! Où étais-tu?
- Ah... "
Tu avais en effet, fait un cauchemars. Depuis déjà deux jours tu restais chez les monstres, tu avais suivis le chemin Pacifique. Tous les monstres vivaient en harmonie avec les humains. Et tu avais décidé de vivre chez Toriel, qui était pour toi, ta mère. T/P avait peur du monstre qui était caché en lui, parfois il entendait des voix... Pas assez bien, mais il l'entendait... Chara. Ou plutôt, le premier humain à être venu ici, le premier ami de Asriel, qui est ton meilleur ami.
Chara devait être mort, mais il te suivait, pour te hanter. Si tu pouvais juste le faire mettre dans la bonne direction, si tu pouvais lui faire comprendre que faire du mal n'apporterait rien? Tuer ne servirait à rien? T/P pleurait en serrant contre lui la mother goat qui lui rendit son étreinte. En surface, tes parents n'avaient rien à faire de toi, personne ne se préoccupait de toi depuis ta disparation. Ta timidité et gentillesse était mit à l'écart, par les autres enfants. Le fait que tu ne parles peu ennuyait tes parents. Ici, tu étais bien aimé, tu te sentais accepté.
D'ailleurs, où tu étais assis c'était dans le palais d'Asgore. Papyrus arriva, avec un sceau remplis d'eau. Le bruit de ce liquide s'entendait à cause de l'agissement que faisait le squelette.
" Oh humain! Tu dormais ici?!!! ...Quelle bonne idée!!!
- T/P a fait un cauchemars. Lui expliqua Toriel calmement.
- Ah bon?! Ecoute humain, pense aux spaghettis! Ca fera oublier tout tes tourments!!! "
Le fait que Papyrus essayait de se rendre utile était amusant. T/P retrouva le sourire, tu étais remplis de détermination. Asriel était partit pour un moment, tu voulais le revoir. Tu te levais, encore un peu alourdit et tu marchais jusqu'à l'extérieur. Tu aperçus Sans en train de vendre des hod-dog au ketchup devant un petit stand. Il lui sourit:
" Hey gamin, what's up?
- Ca va. Répondit Frisk.
- Tu faisais un cauchemar? "
Comment avait-il deviné? Ah oui, c'est de Sans qu'on parle... T/P hocha de la tête, un peu triste. Il lui ajouta aussi qu'il s'agissait de Chara le problème, qu'il le hantait à chaque fois qu'il dormait... Sans l'écoutait attentivement puis fini par hausser des épaules.
" T'inquiète pas, on t'aidera tous au cas de problème, après tout on est tes squelettes-oeil-crevée. " Te réconforta Sans en faisant un clin d'oeil, après son jeu de mot pourris.
Tu souris, enfin soulagé. Maintenant que tu te sentais suffisamment déterminé pour aller parler à Chara, tu partis dans un endroit où il y avait un miroir. A la place de son reflet se trouvait Chara, la seule différence par rapport à toi, c'était son pull vert et jaune en rayure, son short marron et ses yeux rouges. Il te lança un regard noir, te faisant effrayer.
" Quoi?
- Devenons amis.
- Je refuse, tu vois pas l'opportunité de tuer les autres? Tu es beaucoup trop stupide.
- ...M-mais... "
Chara joua avec son couteau en attaquant dans le vide, la voix menaçante:
" Donne-moi ton âme! Je m'amuserais dans ton corps! J'en ai marre d'être seul!
- C'est pour ça que je te dis devenons amis! Répliqua T/P avec une voix plus forte. J-Je veux pas te laisser seul!
- Je veux pas de ta pitié! Et comment peux-tu être amis avec des monstres?! Les monstres sont cruels!
- Ils ne le sont pas! Ils sont admirables et gentils! "
Vous deux, vous lançaient des arguments pour défendre leurs causes. Tu voulais le mettre dans le droit chemin, aussi songeais-tu à la solitude de Chara. Il était seul, abandonné de tous, il devait avoir envie de se venger de sa solitude. Et T/P voulait l'aider. Il restait un humain, un être-humain qui avait ses propres sentiments. Et T/P avait balancé les quatre vérités en son sujet: "tu as peur, tu veux pas être seul, tu veux te venger juste à cause de ta solitude, tu ne veux que t'amuser comme les autres"... Chara voulait te tuer. T'étrangler, t'assassiner lentement avec son couteau. L'enfant serra ses dents puis se mordit les lèvres, en foudroyant du regard T/P.
Tous les amis de T/P apparurent, tous souriant et en tendant leurs mains. Tu fis de même.
" Je serais là, je t'abandonnerais pas. Devenons amis...Ok Chara? " Insistas-tu.
La tendresse que tu lui démontrait était sans faille. Des larmes coulaient sur les joues de Chara, en se sentant maintenant vulnérable. Pourquoi quelqu'un comme lui voulait se faire réconforter? Pourquoi après l'avoir hanté et lui montrer des horreurs T/P le pardonne? Tu tendais toujours ta main, avec un doux sourire. Chara relâcha sa lame et sourit à son tour.
" Merci... de me pardonner... pardon...
- Tout ira bien. On est amis après tout! "
Le reflet disparut du miroir en laissant maintenant ton vrai reflet.
" Et bien! Qui était-ce??! S'exclama Papyrus.
- Un de mes fans j'imagine! Répliqua Mettaton.
- Il te ressemblait le punk! Ajouta Undyne.
- O-Oui, c-c'est vrai! Acquiesça timidement Alphys.
- En tout cas, il était vraiment triste... Bien, si on fêtait votre amitié avec une tarte? Lui suggéra Toriel. "
Depuis, tu n'étais plus hanté par de mauvais rêves comme cela. Tu vivais en paix avec tes amis, et tu partageais d'excellent moments avec eux... De temps en temps, T/P pouvait voir Chara, ils discutaient amicalement. Sans aucun regret, sans même se mentir. Dans la vie, il est toujours bon de pardonner des personnes, même mauvais sont-ils. Car personne n'est mauvais, on a tous eu une période difficile. L'amitié est une chose importante dans la vie. On doit tous la chérir et la garder en soi.
° The End °
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top