Creepypasta

Date: 30/05/2020

Auteur: Lily Sawaka

Sujets à avertir aux lecteurs: Horreur 

N.A: Alors je stoppe ceux/celles qui croyaient un OS sur Creepypasta avec des personnages connus (Jeff The Killer, Ben, ...), non c'est pas ça du tout (enfin, pour l'instant). Ici, disons que à cause de ma merveilleuse et meilleure amie (TsumiKoori), j'avais très envie de me créer ma Creepypasta. C'est ma toute première et voilà? Je l'ai terminé le 30/05/20 à 1h30 du mat' mdr. Et comme je n'étais pas certaine que ce serait sympa, elle et mon autre meilleure amie (BaStasiaKa) m'ont lu et ont affirmé que c'était au contraire, très cool. Pour conclusion, je vous partage donc mon écrit. C'est mon petit début. XD (Ce n'est pas la première fois que j'écris du thème horreur hein.)

Ah et pour les curieux, euh, je ne suis pas une énorme fan de Creepypasta (mais j'aime beaucoup). C'est juste que je suis le type de personne à aimer se faire peur elle-même. (Donc idem pour les films horreurs. XD)

JURE, après le prochain c'est l'OS sur Sting X Reader! XD (je suis juste complètement éparpillé de partout!)

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Le Tatoueur


Salut les gars. Aujourd'hui, je vais vous parler d'un sujet. Et ce sera probablement, mon dernier article de blog de fan de foot.




Récemment, mon ami Josh avait envie de se faire un tatouage. Il passait clairement son temps à m'envoyer des textos avec plusieurs images ou photos, pour me demander mon avis. Personnellement, je n'y voyais pas trop l'intérêt. Mais n'importe quel ami, donnerait son opinion, pas vrai ? Au bout de deux semaines, Josh s'est trouvé le tatouage qui le correspondait et eut son rendez-vous. Pour l'après-midi, à une adresse peu connue à Moscou.



Bien sûr, il y a plein d'autres tatoueurs en Russie. Mais apparemment, de ce que Josh m'avait raconté, après avoir trouvé par pur hasard sur le web, un n'était pas trop cher et garantissait la sécurité, et affirmait avoir le potentiel pour faire un tatouage très sympa. Alors forcément, pour une première fois, on évite de trop être exigent.


Comme on l'avait convenu, j'ai été accompagné Josh en voiture. Bizarrement, je n'avais pas l'adresse sur mon GPS. En revanche, Josh, qui l'avait noté sur un papier, avec une carte à la va vite, m'avait assuré un « T'inquiète mec, va comme si tu allais en direction du bar ! Ce n'est pas trop loin, je continuerais à pied, comme la ruelle est étroite et c'est une rue impasse ! ». Je lui ai fait confiance.



Je me suis donc stationné à proximité du bar, comme il me l'avait indiqué et il m'avait rajouté qu'il serait mieux que je l'attende près de la voiture. Malgré que j'ai insisté à l'accompagner, ne serait-ce de attendre dans la salle d'attente, Josh m'avait sourit et secoué la tête. Je n'ai donc pas forcé et j'ai sagement obéit. Josh est mon ami, très têtu et borné, mais il est extrêmement fiable. Le connaissant, il voulait avoir un tatouage pour se montrer beau, histoire qu'il aime son corps un peu plus. Je me souviens que le pauvre, avait été souvent pointé du doigt à cause de son corps, étant un diabète, il manquait cruellement de confiance en lui. Je sais bien qu'il faut laisser du temps pour soi, de s'accepter, mais lui, après avoir atteint sa majorité, avoir quitté le domicile de ses parents, il avait du mal à se gérer de lui-même dans son propre appartement.



Pour passer le temps, étant un additif, j'avais sorti de ma poche mon paquet de clope et mon briquet. Fumer m'aidait à me détendre et à passer le temps. Après avoir soigneusement rangé mon matériel, j'entraînais mon portable en main. Parcourant le web, je m'informais où en était mon match de football. J'adorais ce sport. Collé au clapot de ma magnifique Ford noire, je levais mes yeux de mon écran, en direction de la ruelle qu'avait emprunté Josh. Etonnemment, malgré ce magnifique temps, qu'on était un samedi, il y avait peu de passants. Peut-être qu'il fait trop froid pour sortir ?




Les minutes passèrent et je me suis laissé tenter pour allé au bar, histoire de boire un coup sur la terrasse, à fumer en même temps. Adossé contre mon dossier, j'extirpais la fumée depuis ma bouche, éloignant mon joint de mes lèvres. Je commençais à m'ennuyer à attendre. A l'heure actuelle, c'était bien d'avoir son portable pour visionner mon match de foot, mais dans le froid, ce n'est pas à mon goût. Je me demandais à ce que ressemblerait le fameux tatouage de Josh. Il ne m'avait donné qu'un bref détail, alors ça attise ma curiosité.



Plus tard, je me suis bougé. Je suis allé en direction de cette fameuse ruelle dont il était question. Mes battements de coeur étaient trop persistant et mon esprit était trop obsédé pour savoir ce qu'il faisait là-bas. Je jetais ma cigarette à la poubelle après l'avoir écrasé contre un cendrier et je m'engageais à suivre ma destination, les mains dans mes poches. A quelques pas, effectivement, non loin du bar, il y avait cette drôle pancarte, sale, presque illisible accrochée au mur de béton. J'espère que Josh ne s'est pas gouré. C'est ennuyeux de ne pas pouvoir lire une pancarte.


L'autre panneau, désignait l'impasse. J'avançais, calmement, ayant du mal à stabiliser mes battements de coeur. Je ne suis pas du genre à avoir de l'hypertension. Alors pourquoi tout d'un coup, je me sentais comme stressé ? L'air me semblait s'alourdir à cet instant et plus je m'engouffrais dans cette impasse, plus il me manquait de la clarté. Ah, j'espère que Josh ne m'a pas lâché ici pour aller se balader ! Ou probablement il s'est rendu compte que ce n'était pas la bonne adresse et avait déguerpit. Ce serait fâcheux qu'il ne m'ait pas prévenu !



C'était calme, il n'y avait aucun bruit. On entendait même pas les voitures passer sur la route, étonnamment. Ca commençait à m'inquiéter et ma voix intérieure me soufflait de faire demi-tour. Ce que au final, je fis. Josh me préviendrait s'il y avait quelque chose, je le connais. Ce qui se suivit me fit sursauter. Du rap se jouait derrière moi, m'incitant à me tourner vers la source du bruit. Je remarquais un drôle d'individu, avec un bandage sur son crâne et cachant la moitié de son œil et cou. Je grimaçais, me sentant inconfortable. Non pas avec sa musique qui s'échappait de son enceinte, ni de son style un peu trop décontracté, mais plutôt de ces bandages. Visiblement, cet homme capta et m'adressa la parole avec un large sourire. Il me semblait très jovial !



« Toi aussi tu vas voir le tatoueur ? »

« Je viens chercher mon ami... Alors il est là le magasin ? »

« Ben oui ! Avance jusqu'au fond, tourne à droite, y a la porte ! Tu ne peux pas louper ! Et tu veux voir ce qu'il m'a fait ? »



Je constatais qu'il avait ses bras complètement tatoués, son torse aussi, il semblerait, vu quelques dessins colorés derrière son tissu – il portait un tee-shirt noir sans manches -. Je le dévisageais dès qu'il défaisait son bandage, sans gêne, toujours avec son expression tout joyeux. Bon sang, il s'est tatoué aussi une partie de son visage et il avait du plastique dessus, légèrement ensanglanté. Ca doit être douloureux !



« C'était gratuit ça ! »

« Gratuit ? Tu es ami avec lui ? »

« Non, non ! C'est mon troisième rendez-vous, il m'a dit que si j'étais d'accord, il continuait et gratuitement ! »



Chacun ses goûts je dirais. Je le laissais filer, notant qu'il boitait en même temps. Drôle de type... Non, c'est normal de se sentir toute chose après de se faire tatouer au visage. Avec la confirmation de cet homme, je m'encourageais à reprendre mon chemin, pour voir Josh. Cette fois-ci, je vois une femme. Livide, les yeux ronds, toute sourire. Elle boitait aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais mon malaise commençait à croître à vue d'oeil avec ces personnes très... spéciales ? Je finis par trouver la porte et je fronçais des sourcils. Pas une fenêtre ! C'était si renfermé ? En plus, il n'y avait aucun signe distinctif pour affirmer aux clients que le salon de tatouage s'y trouvait.


A coté, plusieurs sacs de poubelles refermés. Je me pince le nez. L'odeur était répugnante et j'observais ces mouches voler au-dessus. Il y avait plus d'une dizaine qui jonchaient le sol ! Je me re-concentre sur mon objectif et à peine que je pose ma main sur la poignée, je vois Josh sortir, tout sourire.

Encore ce sourire qui me semblait forcé et pas rassurant. Comme si ils avaient vus une merveille dans cet endroit.



« Josh ? »

« Il est génial ! Je reviendrais ! »

« Si tu le dis... On devrait partir. »

« Bien sûr ! Oh ! Et tu ne veux pas lui parler ? Pour que tu vois pour un futur tatouage ? »



Pourquoi soudainement il était tout excité ? Pourquoi m'inciter à en faire alors que je n'ai aucun intérêt ? Je refusais poliment et le conduisit jusqu'à ma voiture. Etrangement, après avoir quitté ces lieux, il avait gardé son sourire, rêveur et silencieux tout au long du trajet.






Les jours ont passé. Régulièrement, Josh et moi on communique par portable ou on se rejoignait à notre café préféré après le boulot. Je n'ai eut aucune nouvelle depuis son rendez-vous chez le tatoueur. J'entrepris de l'appeler, et il avait répondu qu'il était occupé et qu'il me contacterait plus tard. Je lui faisais confiance.





Une semaine après, j'eus un étrange appel. Cela venait d'un homme et il me demandait si j'étais bien l'ami de Josh. J'avais répondu que oui. Il m'avait questionné sur les goûts de mon ami, sans préciser qui il était, ce qui m'avait interloqué. C'était son tatoueur. Pourquoi voudrait-il des renseignements sur mon ami ? Dans quel but ? J'avais fini par le couper au nez, dès qu'il m'avait demandé quel style de tatouage me plaisait, même si je n'étais pas intéressé.





Je me sentais observé. Aussi bien chez moi que à l'extérieur ou au boulot. Et ça persistait, j'avais peur de devenir fou. Des fois, je surveillais avoir bien fermé tout à clé, y comprit ma cabane du jardin, comme j'avais mes bricoles là-bas. Je travaillais en chantier, et dès fois, on m'embauchait pour travailler chez des personnes à domicile si nécessaire, ce serait bête de perdre mes affaires par vol.



Un soir, en me posant sur l'ordinateur, alors que je me mangeais une pizza, j'avais vu un drôle de mail. Encore de ce tatoueur, qui, m'invitait à dîner dans son atelier. Bon sang, comment avait-il pu obtenir mon adresse e-mail ? Mal à l'aise, je le supprime, ignorant. S'il persiste, j'irais porter plainte pour harcèlement. Ca devenait clairement glauque, sachant que en plus, Josh ne m'a plus donné de nouvelle. Je branchais mon portable après avoir mit mon réveil et je me couchais après mon feuilleton du soir.



On me susurrait quelque chose à l'oreille. Je grimaçais et ouvris péniblement mes yeux. J'étais fatigué, j'espérais rêver. Et là, je tressaillais, voyant une silhouette noire en face de mon lit, se mouver dans la pénombre. Je me redressais et j'émis un cri de surprise, sentant cet inconnu poser ses mains sur mes genoux. J'étais en short, et je pouvais sentir sa peau glaciale. Et quelque chose de pointue me frôler. Il se mouvait, lentement. J'avais l'impression qu'il souriait et sa voix était glaciale et très grave :



« Tu aimes le foot ? Ca te dirait de te faire marquer un ballon sur son bras ? Ton dos peut-être ? Ou tu veux peut-être un symbole des joueurs de Russe... »



Ma gorge était nouée, tellement j'étais paralysé par la peur. J'étais terrorisé de ce qui se passerait si j'omis de bouger ne serait-ce un orteil. Ma respiration était saccadé et je sentis des sueurs froides se déverser sur le long de ma colonne vertébrale. Je tremblais comme une feuille. Puis, cette personne qui devait être ce foutu tatoueur, leva son dermographe vers moi. Je sentais l'aiguille chatouiller ma joue.


Je tentais de me dégager et je me suis mis à lui hurler de partir. Et là, je fais un black out en sentant une douleur à ma nuque.




Au matin, j'ai eu des SMS de mes amis, après mon réveil. Avais-je cauchemardé ? Je ne sais pas. La porte n'était pas ouverte, aucun signe d'infraction. J'en concluais donc que je devenais parano. Mes amis disaient avoir vu Josh. Et ils m'affirmaient qu'il avait énormément changé. Ils m'ont aussi avoué qu'il allait régulièrement chez le tatoueur. Ce fut de trop. Pas question que mon meilleur pote devienne fou et accro aux tatouages comme ça ou sa santé va en pâtir! Je prévenais mes amis que j'y aillais et parmi eux, mon amie d'enfance m'interpella.

Elle me disait que son copain, qui était dans notre cercle d'ami, avait suivit Josh et lui aussi, agissait bizarrement et s'inquiétait. Je lui rassurais que je le ramènerais avec Josh, ce qui avait l'air de la rassurer. Ca craint si nos amis deviennent bizarres après le rendez-vous de cet inconnu...




Je m'aventurais donc de nouveau à cet endroit qui me donnait la chair de poule. Et qui occupait mes pensées depuis le fameux jour. Garé au même endroit que la dernière fois, je pressais mes pas pour aller à cette ruelle. Je pris une grande inspiration et avançais, ignorant encore les clients sortir du salon, tout sourire, avec des bandages. Par contre, il y avait un truc qui changeait. L'odeur qui empestait ces lieux s'était amplifié. Et les murs de bétons, me paraissaient plus sombres que l'autre fois. J'entendais un ricanement à coté de moi. Mais j'ignorais. On se moquait de moi avec ma tête ? Je ne savais pas, mais à vrai dire, j'étais trop furieux contre ce tatoueur. Une fois près du lieu, je vis un type poser un gros sac poubelle, un peu rouge vers le bas. Un filet rouge, s'y échappait.



Et là, je me stoppais, plaquant ma main sur ma bouche, en voyant ce sac noir se déchirer, le contenu, s'y échappant, chutant bruyamment. Cela ressemblait à des tripes, des oeils, des organes et du sang... Je reculais, et ce fut ma plus grosse erreur. Le tatoueur pivotait sa tête, m'ayant aperçu. Il avait la moitié de son crâne tatoué, tout sourire. Il était chauve, maigre et portait un tablier maculé de sang. Son regard, semblait briller, comme s'il venait de trouver sa prochaine proie. J'avais voulu m'enfuir et j'ai heurté quelqu'un. On me saisissait fermement par les épaules, pour me retenir.



« Не уходи мой друг»



J'écarquillais mes yeux, sous le choc. Mon propre ami, Josh, venait de me dire en russe, d'une voix forte, un « Ne pars pas mon ami. ». Forcé, entraîné, bien que je me débattais, on m'avait poussé à franchir le seuil de la porte. Le tatoueur souriait, enjoué et entra à son tour, laissant derrière lui, ses horreurs.



L'intérieur puait le sang à gogo. Et aussi de l'urine. L'enfermé et la mort presque. Allais-je mourir ? J'étais tellement terrorisé, pâle, je pleurais comme un malade, implorant à ce que on me relâche, qu'on me laisse la vie. Je promettais même de ne rien dévoiler à la police ni aux autres. Actuellement, je pensais à ma propre survie. D'ailleurs, quand j'avais regardé Josh, il avait un œil en moins. Il avait son visage complètement tatoué. Il me force à m'asseoir sur une chaise de pierre et m'attache les poignées et pieds. J'étais pris au piège, on allait me torturer !



Autour de moi, plusieurs bassines, avec du liquide rouge métallique. Il y avait juste quelques meubles, avec des pots contenant d'étranges substances et en guise de décoration, des crânes de squelette. Il y avait un ordinateur au coin de la pièce, allumée et le kit pour le tatouage. A force de secouer ma tête, j'avais pu apercevoir des corps, presque méconnaissables à coté et là, je compris, que c'était le copain de mon ami et les passants de l'autre fois, nues, complètement tatoués. D'autres, ouverts, comme si on les avaient disséqués. Je retenais de vomir. Pris de spasmes, je me déchirais les cordes vocales, implorant ma vie.



Josh s'était placé devant moi, tout sourire, complètement hypnotisé, pâle, le regard vide. Le tatoueur se place derrière lui et leva son menton, pour planter l'aiguille qui servait à dessiner de son cou, au ventre. Il l'ouvrait en face de moi ! Mon ami se mit à agoniser, hurlant de douleur, comme s'il était revenu à lui. Il se tortillait et mourut sans avoir pu se débattre. Le tatoueur plongea sa main dans son corps tranché en deux et sortit un poumon et me le présenta en face.




« J'aime le football moi aussi. Tu vas voir, tu vas aimer le tatouage dessus, tellement que tu voudras que je t'en fasse un. »




Il était fou.



« Ton ami Josh ne parlait que de toi avant que je ne lui fasse son tatouage... le nom de sa petite-amie ! C'est beau l'amour ! »



Donc la famille de Josh et même sa petite-amie ont été ses cobayes.



Il ne s'attardait pas et avait bel et bien, travaillé dessus. Les vaisseaux ruisselaient le long de cet organe, qui finissait, par se réduire en chair. Je tremblais et pleurais, j'hoquetais et comprenais que je n'avais aucune issue échappatoire. J'ai souris. Si je cédais à son chantage, il me libéra !

Comme convenu, j'ai eu un tatouage au bras. Il m'avait dessiné une magnifique tête de mort, au-dessus d'un ballon de foot. J'avais eu mal au début, comme il m'avait dessiné dessus très vite, sans me laisser le temps de me préparer psychologiquement. Ni même me sécuriser. J'ai tellement hurlé. J'ai cru mourir. Lentement. Et il souriait. Et il me parlait de foot, comme si on se connaissait depuis un bail.



Il m'avait libéré avec un grand sourire, me laissant partir.




En ce moment, j'écris ce récit sur mon blog. Je sais, je n'y suis plus allé depuis la fac, gros feignant que je suis. J'espère qu'un de vous lirons ceci. En guise de témoignage. Pour que vous l'évitez ce tatoueur. Il est fou. Il me suit partout. Je ne dors plus. Je souris. Son tatouage est vraiment beau. Quel artiste !


... Je vous en conjure, que quelqu'un le mette sous les barreaux. Je ne connais même pas son nom. Mais sachez une chose. Il ne s'arrête jamais. Je deviens obsédé par lui. Par ses dessins. Je me sens obligé de le revoir pour contempler son travail. Vous voulez son adresse ? Désolé. Il m'a dit qu'il déménageait.




Allez, bon vent !





Mercredi 30 novembre, 17h29.

Un homme est retrouvé mort dans son domicile, tatoué de partout, éventré au ventre et la tapisserie au mur au-dessus de cette victime, des gribouillis, comme des ballons de foot.  



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