Prologue [en correction]

Bonjour, je préviens avant, ne vous inquiétez pas pour le changement d'écriture c'est parce que je copie colle de word, donc la nouvelle version aura une autre écriture x').

Dragons. Premier. MMMM... MMM... Mo ? Mo... Mo... Hein ? Mot ! Dragons... Premier... mot... Ah ! Dragons est le premier mot... De ?! Mal... Tête... À quoi ? Aïe... Migraine... À quoi je pensais avant ça ?

Je me souviens plus... Aïe, mal à la tête ! Finis... S'il-te-plaît !! Finis... de ?

Comprends rien !!

Hein ? Aaaah. Enfin. J'ai plus mal. À quoi je pensai déjà ?

En haut c'est la reecriture version 2.0. 

*J'ouvre les yeux.*
Quesque ? Heu... Blanc ? Je vois trouble !! Le mur est blanc ? Depuis quand le mur de ma chambre est blanc ?! Attends... Il y a un problème...
*Je cligne plusieurs fois des yeux et fronce les sourcils.*
Heu...
« Heu... Heins ?!
Ah... J'ai juste parlé à voix haute...
- Qu'est-ce que ? »
Depuis quand ma voix... C'EST PAS MA VOIX ÇA !! Et? Aaah !!! Je vois trouble ! Plus qu'avant !! Ma joue est mouillée... Ah... Comme j'ai paniqué j'ai versé quelques larmes sans faire exprès...

Ma vue ! Elle n'est plus trouble !! Par réflexe je cligne plusieurs fois des yeux pour être sûr d'avoir une bonne vue. Sûr ou sûre ? Mince ! JE SAIS PLUS ! Bon, du calme... Ça va te revenir. Ah au moins j'ai pas oublié comment... Comment quoi ? Comment parler ! C'est déjà un bon point ! Sans compter que ma vue est reve...
J'entends des pas.
*La porte s'ouvre d'un coup sec.*
« Bip. Bip. Bip. Bip.
Heins ?! Ah c'est... Je suis donc dans un hôpital ! C'est étonnant que je n'ai pas remarqué plus tôt ce chahut que fait cette machine ! C'est peut-être à cause de ce machin que j'ai eu une de ces migraines, foutus trucs !
Une infirmière se précipite alors vers moi.
- Tu te sens mieux ? demande une femme assez âgée.
- Heu, oui. Toujours mieux qu'une migraine, dis-je en lâchant un grognement.
La femme en question me sourit.
- Au moins, tu n'as pas perdu ton sens de l'humour.
Je lâche un soupire un peu sec... Un soupire où en sorti une part de mon stresse. Comme un rire sans joie mais retirant la pression accumulée.
- Bon, *soupire-t-elle à son tour*, tu veux boire ou manger quelque chose ?
- Hum... Pourquoi suis-je ici ?
- Tu te rappelles pas ? Ton saut en parachute qui a mal tourné ?demanda-t-elle avec douceur.
- Vraiment ? Un saut en parachute ? Non ? C'est une blague, n'est-ce pas ?fis-je
- Non...
Malgré la panique qui la gagnait, elle resta douce avec moi.
- Tu as sauté en parachute... dit-elle, comme pour confirmer que ceci n'était pas une blague mais quelque chose à assimiler.
- Te souviens-tu de ton nom ? demanda-t-elle avec tellement de délicatesse que je commençais à stresser face à la réponse que je devais formuler... Ceci n'est pas du tout ironique... Je ne me souviens plus de mon nom... Et d'ailleurs je me souviens même plus du son de ma propre voix.

J'optai alors pour un hochement négatif de la tête. La dame me regarda avec pitié... Comme si elle voulait se faire pardonner... Mais de quoi ? Elle n'a pas à se sentir coupable de quoique ce soit! Elle compatissait, mais elle était triste car elle savait que cela ne changerai rien. Qu'elle ne pourrait pas m'aider. Je supporte pas la pitié.

Je supporte pas ça car étant très sensible, j'ai presque chaque fois les larmes aux yeux. Bon d'accord, c'est pas que je ne supporte pas ça. Je comprends facilement les sentiments des autres, et ce, depuis toujours. Oh ! Je me souviens de quelque chose de moi! De mon identité, de ma personnalité ! Je souris, sans m'en rendre compte et la femme me demanda, malgré l'impatience de son expression, calmement, si je me souvenais de quelque chose. Je lui rendis cette fois un sourire incertain. Son sourire devint compréhensif alors que son regard, désolé.

Je me rappelle maintenant. Dragons. C'est le premier mot dont je me souvienne quand j'étais encore dans l'inconscience. Car oui, je suis une fille. Mais pourquoi ai-je dis dragon ? Enfin pensé... Dragons... Ça aurait pu être une envie ! Comme un coca ! Ou comme des moules ! Mmmm ça me donne envie de ça du coup. Sérieusement ? Pourquoi ma première pensée n'a pas été des moules?! Hein?! Ça doit être la faute de mon imagination ! Pfff. Hum, maintenant j'ai faim du coup. Plongée dans mes pensées j'ai complétement oublié ma seule compagnie du moment.
- Alors ? répéta-t-elle, du moins je crois par le regard qu'elle me jeta.
- De ?
- Tu veux manger quelque chose ?
- Ah heu, oui ! J'adore les moules.
- Ahaha, désolée ma chérie mais on est dans un hôpital. Si tu veux des moules, tu devras attendre de sortir d'ici. Et donc, après-demain. »

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top