Face au monde, iel contemplait.
Le bleu se mêlait au mauve et les nuages se perdaient dans l'immensité de l'horizon. À celui-ci se dressaient la brique et les tuiles, aux reflets lilas, vestiges de la nuit.
Le vent soufflait, portait la fraîcheur et la paix.
Il l'enveloppait.
Des iris gris se plongeaient dans l'immensité du ciel, dans l'infini des nuances, au réveil de la vie, à la naissance de l'aube.
Iel resta longtemps à la fenêtre, au dessus des toits en côtoyant la voûte céleste.
Puis, soudain, l'humanité troubla la quiétude. La brise se fit bourrasques.
L'infini n'était plus.
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C'est magnifique, l'aube.
Un matin, posez vous, observez, écoutez, sentez, ressentez.
C'est magnifique.
(et je suis de retour :D)
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