Chapitre 5 SMUT
mon cœur s'emballa à mesure que le bruit de lourdes bottes approchait. Les parfums enivrants de caoutchouc, de sueur et de luxure remplissaient l'air. Le sol froid et impitoyable sous moi ne semblait plus aussi dur maintenant que j'étais pleinement exposé à la présence dominante de Bubba.
Le bout enveloppé de latex de son membre durci a taquiné mon entrée, provoquant un gémissement de ma part qui a été étouffé par le béton. Le pouce de Bubba trouva mon bout enflé, son sourire narquois me disant qu'il appréciait ma réaction. Il me taquina davantage avec des poussées lentes et délibérées, la tête recouverte de latex franchissant finalement mon entrée étroite.
Une poussée puissante envoya un halètement aigu s'échappant de mes lèvres, mes yeux s'écarquillant alors qu'un mélange de douleur et de plaisir parcourait mon corps. Les poussées lentes et délibérées de Bubba augmentèrent progressivement en vitesse, les gifles rythmées de chair et les bruits humides étant notre seule bande sonore. Son emprise sur moi se resserra, ses poussées puissantes menaçant de m'écraser.
Je me suis entièrement concentrée sur les sentiments accablants qui m'envahissaient, la peur et la confusion que je ressentais autrefois remplacées par de pures sensations. Les poussées de Bubba devinrent frénétiques et, à mesure que la chaleur dans mes reins augmentait, nos gémissements se fondirent en une symphonie primale.
Notre libération fut immédiate, une éruption qui nous fit frémir et nous laissa tous les deux haletants. La graine de Bubba m'a rempli et j'ai renversé la mienne sur le sol froid. Alors que l'intensité s'estompait, je restais allongé là, exposé
se fils de pute etais fier de sa connerie,
je me relever difficilement et remis la robe en place puis je partis en haut en boitant , drayton n'étais pas la , je pense que lui étais parti travailler meme si il etais assez âgé mais bon je suis pas surpris car bubab a environs 76ans et il pète la forme se con.
je m'affaler sur le canapé fait d'os puis je regarder le plafond, le soleil me tapper au visage pendant que face a moi il y avais nubbins face a moi qui faisait ses sculptures d'os humains et d'animaux , le mec devrais vraiment travaille rdans la taxidermie mais quand je lui en parle il me fait une tête bizzare
-sa pue tes trucs nubbins
-s-se nes pas grave ! sa par-parfume la maison!
-drayton va te defoncer
-c'est qu'un cuisinier
woah la vieille phrase
je me prelassait jusqu'a se que se sale chauve se mis a hurler derrière moi
je sursauter soudainement en hurlant se qui frappa nubbins et se connard de chop top d'un fou rire
Leurs rires résonnaient dans la pièce, remplissant l'air de cette ambiance malsaine propre à cette maison. Je me redressai lentement, ma patience atteignant ses limites.
"Arrêtez donc de rire comme des hyènes défoncées !", criai-je, mes mots résonnant contre les murs délabrés. Mais bien sûr, mes paroles tombèrent dans l'oreille d'un sourd. Chop Top continuait à se tordre de rire, son rire strident faisant écho dans ma tête.Je me levai brusquement, une rage sourde montant en moi. Nubbins leva les yeux de sa sculpture d'os, son regard vide rencontrant le mien."Vous êtes tous des malades !", crachai-je, mes poings se serrant avec frustration. Mais ils semblaient ne pas comprendre, ou peut-être ne voulaient-ils tout simplement pas comprendre.Je décidai alors de partir, de quitter cette maison de fous où le chaos régnait en maître. Peu m'importait ce que Drayton penserait. Je devais m'éloigner de cette folie avant qu'elle ne me consume totalement.Je franchis la porte, laissant derrière moi le bruit incessant de leurs rires déments. Dehors, l'air chaud du texas me frappait au visage, j'avais la haine mais je continuer ma vie dans cette maison de cannibale, je boiter jusqu'a la station service de drayton et m'installer sur la chaise, je regarder drayton qui faisait son barbecue pour une fois dehors
-pourquoi tu continue de travailler a ton age ?
-la retraite paye pas assez , sinon on ne serais même plus cannibale et j'aurais meme pas virer bubba a l'ophelinat
-c'est vous qui l'avez virer ?
-pas trop le choix, la salope de blonde nous avais balancer a la police mais par chance elle n'a pas parler de nous , doux Jesus merci- mais ceci a changé bubba, avant il nosu respecter et avais peur de moi mais maintenant il hesite même plus a me frapper si j'essaye de le frapper
Je regardais Drayton avec un mélange de compassion et de dégoût. Sa vie semblait être un cycle infernal, piégé dans les rets de cette famille dysfonctionnelle. Mais malgré tout, il y avait une lueur de résignation dans ses yeux, comme s'il avait accepté son sort depuis longtemps.
-Tu mérites mieux que ça, Drayton
murmurai-je, sentant une boule se former dans ma gorge. Mais mes paroles semblaient tomber dans le vide, perdues dans le crépitement du feu du barbecue.
Il haussa simplement les épaules, retournant ses steaks de viande humaine sur le grill avec une habileté indéniable.
-C'est ma vie, et je fais avec.
Je baissai les yeux, sentant le poids de la fatalité s'abattre sur mes épaules. Dans cette maison, chacun semblait être prisonnier de son propre destin, condamné à répéter les mêmes erreurs encore et encore.
Je me laissai tomber sur la chaise à côté de Drayton, sentant la chaleur du barbecue se mêler à l'atmosphère pesante qui régnait autour de nous. Les mots de Drayton résonnaient dans ma tête, révélant les fissures dans le masque de normalité que cette famille s'efforçait de maintenir.
Je passai une main sur mon visage, sentant le poids de mes réflexions peser sur mes épaules. Rester ici signifiait accepter ce mode de vie, avec toutes ses horreurs et ses contradictions. Mais partir... partir signifiait abandonner tout ce que je connaissais, pour affronter un monde qui pourrait être encore plus impitoyable.
Drayton interrompit mes pensées en m'offrant une assiette remplie de viande grillée.
-Tu veux en manger, gamin?
Sa voix était empreinte d'une tendresse étrange, comme s'il essayait de compenser le chaos qui régnait autour de nous par des gestes simples et familiers.
Je secouai la tête, repoussant l'assiette avec délicatesse.
-Non merci, Drayton. Je ne suis pas très faim.
Il haussa les épaules, reprenant sa tâche avec un soupir résigné.
-Comme tu veux.
Le crépitement du feu devint le seul bruit dans la cour, laissant un silence tendu entre nous. Je regardai autour de moi, voyant les vestiges d'une vie normale cachés derrière les apparences grotesques de cette famille.
Je savais que je devais réfléchir sérieusement à mon avenir ici. Rester signifiait me plier aux règles tordues des Sawyer, mais partir... partir signifiait abandonner toute chance de comprendre ce qui se cachait derrière les masques de ces gens.
Je me levai lentement de ma chaise, sentant le poids de ma décision peser sur moi comme un fardeau insupportable. Mais pour l'instant, je savais que je devais prendre du recul, réfléchir à la façon dont je voulais vivre au milieu de cette folie dévorante. Et peut-être, juste peut-être, trouverais-je un moyen de m'accrocher à ma propre humanité, même au cœur des ténèbres..
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top