Dans le salon, quel que minute plus tard
Je ne croyais pas si bien dire. Après la scène qu'a faite Cookie a maman, papa est arriver et l'a consoler. Je ne savais plus ou me mettre, alors je me suis discrètement éclipser pour récupérer mon téléphone mais je ne sais comment papa est descendu plus vite que moi et a lancer :
- Mademoiselle que cherchez vous ?
- Heu... Mon portable ...
- Jusqu'à dernière nouvelle il est confisquer. A-t-il rétorquer très calmement
- Mais papa j'en ai discuter avec maman et elle est d'accord avec le faite que ma punition est levée.
Dans la précipitation du dialogue je ne me suis pas tout de suite aperçu que ses paroles n'a était qu'insinuer. J'ai immédiatement regretter d'être née au sain de cette famille, car mon imagination je la tien de mon grand-père, il est écrivain.
- A, oui et elle n'a pas penser une seul seconde a me consulter ? Il avait l'aire très sévère mais sa voit était douce et calme.
- Ben... j'en sais rien !
- Hum... Parfait, reprend ton téléphone et moi pendent ce temps je vais aller réglais des comptes avec ta chère maman ! Il avait perdue toute trace de douceur . Avent que je ne puisse enchaînée le dialogue il était déjà a l'étage en train de hurler après ma pauvre mère qui ne m'a même pas collaborée a ma libération. Mais ce n'était tout de même pas une asse bonne raison pour que je repende un mensonge contre elle. Par instinct, je prend mon téléphone avent de quittée la maison en courent. Bien que au début je ne savait pas où aller je me suis rapidement orienter verre la maison de Camille qui est a quelle que rue de chez moi. Je prend soin de lui donnée un rendez-vous en bas de chez elle pour évitée d'alarmer ses parents.
Une fois arriver au point de rendez-vous
Je me prépare a recevoir un questionnaire complet sur la dispute avec ma sœur. Quand la porte d'entre s'ouvre je sursaute, son expression interrogatoire me ramène a la réalités, elle prend une grande inspiration et :
- J'espère que tu a une bonne excuse pour m'avoir interrompue pendent mon bain !Allez je veux tout les détaille !
- Oui alors...
Il est inutile d'aller plus loin car vous connaissez déjà l'histoire.
A vraie dire je n'est presque pas écouter ce quelle a dit car je savait précisément ce que je devait dire. Pendant que Camille se séchait et s'habillait je me suis fait un discoure que je me suis répéter plusieurs fois de suite afin de l'apprendre par cœur.
Enfin Camille savait tout, il ne me restait plus qu'a attendre ses conseils qu'elle a toujours su me donnée.
- OK... Heu... Tu est un cas désespérer ! Mais comme toujours je vais trouver une super idée qui vas te sauvée la vie ! Non c'est rien je t'en prie j'ai l'habitude !
- Heu... Oui. Bon sa m'arrangerait que tu me sauve la vie maintenant !
Je n'ai jamais douter des capacité de mon amie a me sortir de situation difficile, mais il se trouve que il suffit d'une fois pour que tout rate alors mieux vaux prendre mes précaution en cherchent une famille d'accueillie pour les deux prochaine semaine. Cela ne veux pas dire que je n'ai pas pleinement confiance en Camille mais plutôt qu'au moindre faut pas on me jette au oubliette. Mais par pur respect j'ai fermer ma bouche et chasser ces panser qui pourraient mettre en doute mon amitié avec Camille.
- Tu a une idée pour me sortir du pétrin ? Je risque.
- Oui, mais pas qu'une seul ! Dit-elle avec un sourire en coin.
Je la regarde sans dire un mot. Je sais bien qu'elle en fait toujours un peut trop, mais je ne peu retenir un soupir de soulagement a l'idée que tout mes problèmes sont réglé. Enfin, pas tout a fait, il me reste une étape impotente de ma réussite :
Passer a l'action !
- Bon excellent, dit moi ton premier plan. Demandais-je.
- Oui,alors : Il y a un moyen qui n'est pas très sur mais qui te convaincra...
- Et c'est ? M'impatientais-je
- C'est dire « Pardon ».
- OK... Et la solution bien plus prometteuse, c'est quoi ?
- Attendre. Dit-elle parfaitement détendue.
- Attendre quoi ? Risquais-je intrigué
- Attendre que je trouve une autre solution !
- Je vois...
Dés qu'elle m'a répondue sa je me suis mit a rougir de colère. Mais je me suis contrôler en me disent que mes problèmes sont compliquer, et que c'est pour sa que ma meilleure amies qui est la personne la plus positive de ses 100 dernière année ne parvient pas a me sortir de là.
Un peu plus tard
Je suis dans la chambre de Camille. On regarde un film, elle a tout arranger avec ses parents : ils m'autorisent a passer la nuit chez eux, je dois rentré demain avent midi. Mais d'ici là, Camille m'a promis de trouver une solution. Nous avons déjà chercher dans tout les magasine et maintenant nous passons aux cours métrages sur YouTube. Sa c'est le point fort de ma meilleure amie : elle ne laisse jamais tomber. Nous mangeons du pop corne en regardant se que conseil Maria Sash pour gérer ses parents. Mais le moment du dîner met fin a notre rigolade partie. Au menu des pattes au pesto.
A table avec : les frères de Camille, son père, sa mère, Camille et moi.
- Serve-toi Limon. Me propose gentiment la mère de Camille.
- Non merci madame, je suis déjà remplie.
- Pas grave tu veut un désert ? Me demande Arthur un des deux petits frère de Camille.
J'ouvre la bouche pour le remercier, mais Camille me devance :
- Non elle ne veux rien ! A ton avis si elle te dit qu'elle a plus faim esse qu'elle vas accepter un désert ?
- Je n'en sais rien vue que tu ne la laisse jamais répondre ! Protesta Arthur.
Mais mon amie tourne les talons en me fessent signe de la suivre. Je m'exécute aussi tôt.
Je reste un moment semi inconsciente perdu dans mes panser. Je m'aperçois tout a coup que Camille était en train d'essayer d'entrer en contacte avec mon être alors je secoues la tête comme pour prouver que je suis bien connecter a la terre et lui demande un peu absente :
- Heu... Oui... Heu... Tu peu répéter ?
- Grrr... Laisse tomber ! Me dit-elle avec un ton agacer.
- Ho, désoler !
- Sa vas, bon tu a au moins trouver une solution a ton problème ?
- Heu... Non ! Répondue-je un peux honteuse.
- Bien super ! S'exclame-t-elle, ironique.
Et avent que je n'est eu le temps de répondre, la mère de Camille entre ( sans frapper, ce que je trouve grossier ) et nous rejoins assise sur je tapie. Elle nous demande de quoi nous parlions. J'ouvre la bouche pour répondre mais Camille ne perd pas une seconde pour lui rétorquer que sa ne la regarde pas. Face a cette réponse Mme Bonus tourne les talons et sort de la pièce en disent que nous devions être au lit a 22 heure maximum. Je m'en veux qu'elle soit partie aussi déçu. Ho, et si Camille continue a me couper la parole je jure sur la tête de Perla mon chat qu'elle ne m'entendra plus jamais prononcer son prénom !
Plus tard, verre 21heure 30 :
- Bon alors, tu a trouver quel que chose pour que tes parents te pardonne dans les romans de problèmes familiaux ? M'interroge Camille en levant le nez de son bouquin.
- Rien a part fuguer pour qu'ils s'inquiètent tellement qu'ils passent a coté de la punition. Et sa c'est évidement ors de question !Et toi ?
- Rien de moins que la solution a tout tes problèmes. Dit-elle d'un tons blasé qui lui donnait l'aire de s'ennuyer a mourir. Alors vous pouvez imaginé que je n'est pas tout de suite réagis, mais quand j'ai compris la signification de ces... 10 mots, j'ai cru que j'allais m'évanouir.
Mais mon enthousiasme fut immédiatement réduit a néant quand mon amie me fit part de son plant (et j'utilise ses mots) :
On vas fugué ! Oui ! Ou plutôt tu va fugué. Oui, car je dirais a ma mère que je vais dormir chez une amie et toi tu ne dira rien a la tienne. On vas aller dans un endroits ou on pourra passer la nuit. Et comme j'ai trouvé la solution c'est a toi de trouvée le lieu ou on vas aller.
Quand j'ai entendu sa j'ai presque vomis de terreur. Mais je ne pouvais pas refusée la seul solution qu'on a put trouvé en 7 heures de recherches, alors j'ai accepter.
Le soir même alors qu'il était près de 23 heure :
J'étais allonger sur un matelas a coté du lit de Camille, j'étais épuiser mais je me forçais tout de même a gardée les yeux ouvrée. Mon amie se trouvait assise dans son lit et ne saissait pas d'évoquée ma fugue du lent de main, et moi par pur réserver je cherche désespérément un moyens de me maintenir éveiller. De moi même je ne m'imaginais pas sa possible. Moi, fugué ? Jamais je n'aurais osée. Mais a priori se n'était pas le cas de Camille. C'est une fille capable de tout et bien plus. Mais comment lui dire que c'est impossible, que je ne suis pas capable de fugué, que je préfère encor avoir a nettoyer pendant une semaine la chambre de Cookie, mais que je ne peu pas fugué. Je me suis dit que de toute magnanière je n'ai pas d'autre moyens que de lui dire, alors j'ai pris une résolution :
Demain avant de partir je lui dirais.
C'est alors que je me suis endormis en regardant le plafond rose de ma meilleure amie qui elle avait déjà sombré dans le sommeil.
Le matin verre 5 heure :
Camille me secouait en me disent « Aller debout ! ». Elle réussi sans mal a me tirée de mon sommeil, il faut dire que moi sa ne me dérange pas de dormir peu. En faite sa m'est égale ! Je me lève un peu étourdit, un vague souvenir de mon rêve en tête. « De quoi ai-je rêver cette fois? » me demandais-je dans ma tête.
Camille qui semblait lire dans mes penser poussa un soupir avent de m'attraper par le bras et de m'entrénner sur la balcon .
Après m'avoir murmurer quel que mots incompréhensible a l'oreille, elle se glissa dans le salon a pas feutrées. Ce qui était une énorme èreure :
Elle avait oublier que son petit frère se levait souvent dans la nuit pour boire. Et il nous avait repérer !
Camille n'avait sans doute pas remarquer sa présence car elle continuait a marcher verre la porte d'entrer le plus discrètement possible. Je devait faire quel que chose et sans tarder. Alors je me mit a parler d'une voix assé forte pour que le petit m'entende mais pas suffisamment pour réveiller les parent :
- Déjà réveiller ?lui demandais-je
Il fit signe que oui de la tête. Entre temps, Camille c'était retourner et m'avait rejoins. Cette fois elle avait remarquer Arthur.
- Qu'esse que vous faites ? A-t-il interroger
J'étais sur le point de trouver une excuse qui embrouille bien comme il faut de manière a ce qu'il en oublie même sa question. Mais Camille avait dut prédire que comme a chaque fois, sa risquait d'être une longue histoire qui nous ferait perdre plus de 40 minute. Elle m'a devancer :
- Limone avait envie d'aller au petit coin et moi j'avais soif. Mon amie avait une voix parfaitement poser calme se qui aurait sans doute put laisser croire a Arthur qu'elle disait la vérité si il n'y avait pas eu ce petit problème :
- Et pourquoi êtes-vous habiller ? Non franchement les fille dite moi le vérité !d'après sa voix on pouvait sans problème s'appérsevoir que la curiosité l'animer. Ceci est le petit point faible du petit frère de Camille, il a une voix trop expressif qui le trahie continuellement. En théorie je n'ose pas me servir des désavantages des autre mais là sa s'impose ! D'un petit signe mon amie me fait comprendre sa pane d'idée, il fallait que je me serve de mon dont. Après une profonde inspiration je me lance :
- Arthur, je ne voulait pas que tu le sache mais tu ne me laisse plus le choix ! Le Problème c'est que tu est somnambule, tu rêve a longueur de temps. Et quand on est somnambule les rêves sont tellement réaliste.
- Et toi qui est-tu ? Demanda le petit perturber
- Je suis la déesse du sommeil et je te commende toi et ton rêve !
- Tu as l'apparence de Limone, la meilleure amie de ma...
- Je sais ! Elle est ma représentation humaine, et elle le sais !
- Mais je... Heu...
- Tais-toi ! Et maintenant tu vas dans ton lit et tu attend le matin pour te réveiller !
- Mais pour quoi ? A son aire vulnérable on devinait qu'il était dérouter.Le pauvre.
- Il faut que j'inspecte ton rêve pour le laisser s'éffasser au petit matin. Si non tu l'aura sur la conscience pour toujours ! Vas-te coucher ! Répétais-je agacer par sa résistance.
- J'y vais mais a la condition que vous ne laisser entrer aucun cauchemars ! Dit-il en frissonnant.
- Très bien : Par le pouvoir des étoiles je t'accorde une nuit paisible sans fausse notes ! Proclamais-je, soumise
- Parfait et sur ce bonne nuit. Dit-il d'une voix princière.
Quand j'eus entandut la porte claquer dérriérre le garçon, je me tournis brusquement verre Camille inquiète. Elle était le seul témoin de mon acte. Mon dont est de me servir de ma voix comme je l'entend, comme une sirène un peu près. A ce qu'il paraît un membre de ma famille en était une autre fois et d'après une légende qu'on a trouver sur internet le sirénism est une âme qui se réincarne dans le corps le plus pur portent son sang. Camille est la seul au courent de mes capaciter. On a aussi dénicher un règlement des sirène évoluer :
1) On ne doit révéler a personne notre nature
2) Nous n'avons le droit de nous servir de nos pouvoir que lors d'un cas d'extrême urgence.
3) Lors de la croissance de nos pouvoir a 13 ans il nous est interdit de parler de notre vrais voix.
Enfin bref vous voyer le types de règles stricte que nous impose se qu'on appelle « Le Code De La Mer ». Je ne sais pas si le cas d'extrême urgence fait entrer en compte la tentative de fugue. Grasse a son air perturber je m'aperçois que Camille est tout aussi perdu que moi, je n'ose pas lui supplier de rester. Mais dans la seconde suivent elle tourna les talons verre sa chambre ou elle s'allongea sans un mot, perturber je desside alors de l'imiter. Je n'arrive pas a m'endormir. Camille est au courent depuis longtemps, mais je ne lui ai jamais fait entendre ma vrais voix malgré le fait quelle me l'ai suplier. D'après ma mère enfin ma vraix mère celle qui est également une sirène m'a dit que quand je pourais utilisée ma vraix voix pour chanter la vie sera plus belle. Sauf que je ne desire pas m'aproprier la vie des autre, ma mère a ensorceler mon père pour me crée. Jusque là je devait paraître pour vous une personne normal, mon histoire semble tout a coup beaucoup moins crédible... Je ne veux pas resemblée a maman, ni a papa, qui depuis que ma mère l'a envouter est devenus son esclave. Maman fait tout pour que je sorte verre l'avant que j'ai sa vie de gloire, sauf que pour sa elle a renoncée a me traité comme toute les mère traitent leurs enfants : avec compassion .
J'ai un moyen de joindre ma famille biologique, grace a un téléphone en forme de coquillage je peu toujours parler avec mon père et ma sœur. Mais malheureusement c'est aussi un moyen pour ma mère de controler mes moindre fait et géste. A la base elle m'avait envoyer ici pour que je puisse m'entrainer sur de vraix humain. Sauf que j'aime tellement ma famille humaine que je n'ai pas osée... Ils ne savent rien de tout sa, pour eux je suis la gentil petite orpheline receuillie par une famille bien veillente. Camille, elle, ne peu rien pour moi, elle essaille toujours de me changer les idées, de me divertir, mais jamais elle n'a sut chercher assez profond en moi pour s'apercevoir que je soufre de l'absence de ma veritable vie. Et la préssion que je subie cotidiénnement par ma mère me rend vraiment complétement folle.
Camille est une bonne personne et je tient beaucoup a elle mais malheureusement elle ne poura jamais vivre ma vie, car c'est la mienne et que comme elle dit si bien : « (je) Tu est vraiment une personne exepcionelle, jamais personne ne te comprendra ... »
Oui... tu as raison... Personne ne pourra jamais me comprendre... Murmurais-je simplement avent de m'endormir.
Camille, moi et mes parents... Mes vrais parents
Quand je ré ouvre les yeux Camille n'était plus là, je me suis dit que il était tard et qu'elle devrais être en train de petit déjeuner. Sauf qu'elle n'était pas non plus dans la salle a manger, ni dans le salon, ni dans la cuisine, ni dans la chambre de ses petits frères, ni dans la chambre de ses parents, ni dans la salle de bain, et mais ... Je n'ai pas chercher dans les toilette réalisais-je alors que je partais pour la cave. Je me dirige rapidement verre les ... Heu... Cabinet et j'entends une voix familière m'appeler de la terace .
Ho zut ! Comment ne pas y avoir penser plus tôt ! M'énervais-je contre... Heu... Moi même.
Je rejoignis la famille heureuse qui déjeuner tranquille sans se soucié que j'ai passer près de 1 heure a les chercher dans chaque placard de cet appartement !
Enfin, je décide de mètre de côté ce petit détail très gênent, pour m'asseoir a côté de Camille a parement encore choqué des événement d'hier.
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