Point de vue de Stephen

Je suis installer dans le canapé, les écouteur dans les oreilles. Après ce que m'as dit Ben hier, je suis totalement perdu. Les autres sont sortit se promener dans le domaine. Ils disent que nous devons parler tout les deux. Je redoute ce moment.

Ben vint s'installer à coté de moi.

- Il faut qu'on parle.

Je retirai un écouteur, et me tournai vers lui.

- Pourquoi tu me fuis? Encore.

- ....

- Stephen, regarde moi s'il te plaît.

Je relevais ma tête vers mon ami.

- Je suis sincère, j'ai réfléchis. Et je..... je....

Ben se pencha pour m'embrasser, mais je me redressais subitement, et le repoussais.

- Non! Non, pas encore. C'est comme ça que tu parle au gens toi?

- Stephen. Je t'aime.

- Non, non. Tu,... tu

- Calme toi est écoute moi. Je ne sais pas ce que tu as peur que je te fasse, mais je suis sincère. Je t'aime et je t'ai choisi.

Je me rassis à coté de mon ami, et prit ma tête entre mes mains.

- Mon premier copain s'appelait Mathéo.
Il,... j'étais fou de lui. On est sortit ensemble pendant deux mois. Mais pendant notre relation, il flirtait avec une fille. Je me disais que je n'avais rien à craindre, il était avec moi, un mec. Mais, il était aussi avec elle. Et quand je l'ai appris il m'as brisé. Il est partit avec elle.

- Je suis désolé. Mais je ne suis pas ce connard de Mathéo. Je ne vais pas te faire autant mal.

- Tu dis ça maintenant, mais tu sais pas ce qui peut arriver demain. Je suis tellement amoureux de toi. Je... je...

Ben refis un mouvement et m'embrassa. Je le laissai faire. Je l'aimais tellement, mais si il y a un moindre doute entre elle et moi,... je veux pas avoir mal encore. Je l'embrassai comme si c'était la première et dernière fois.

- Je t'aime, je t'aime Stephen.

Je pleurai. Je pleurai sans m'arrêter, silencieusement. Il essuya mes larmes délicatement de ses doigts. Il m'aime. Je veux le croire. J'en ai besoin.

- Je suis désolé.

- Pourquoi tu t'excuses?

Mais je ne m'adressais pas à lui. Manon nous regardait, et pleurai elle aussi. Elle s'approcha de nous. Elle était en colère. Mais elle savait.

- Je ne t'en veux pas. Il était écrit d'avance que l'un de nous souffres.

Elle m'embrassa. Puis monta à l'étage. Ben m'enlaça. Il me rassura. M'embrassa, me faisait me sentir bien. Cela faisait tant de mois, qui formait tant d'année. Tant de temps que je l'aime et maintenant il est à moi. Rien qu'à moi. Nous montâmes dans ma chambre lorsque les autres rentrèrent et passâmes la soirée allonger dans le lit à s'embrasser et se câliner. Je ferai tout pour lui. Tout pour que cela dure.

Le lendemain en descendant prendre le petit déjeuner, cela se voyait que l'on était plus fort. Tous. Plus heureux d'avoir enfin avouer nos sentiments. Nous étions plus unis.